ELECTIONS MUNICIPALES EN TURQUIE
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Le 28 mars 2004 il y aura des élections municipales en Turquie et dans le Kurdistan du Nord. Nous pouvons supposer que les élections se feront entre le parti qui gouverne l'AKP (Parti de la Justice et du Développement) et le parti d'opposition, le parti du régime CHP (Parti du Peuple Républicain). Malgré que l'AKP se qualifie à soi même de «conservateur démocratiqu», de fait il s'agit d'un parti du régime et de la guerre, un collaborateur des EEUU et islamiste. Et le CHP est un parti d'Etat qui prétend être un parti social démocrate classique.

Entre autre les préparations des partis du régime fasciste réactionnaire, à l'approche des élections, se sont intensifié aussi les recherches et initiatives pour des alliances des partis réformistes petit bourgeois. Le parti légal des kurdes patriotes, DEHAP (Parti du Peuple Démocratique) est le plus important d'entre eux.

DEHAP a déclaré être disposé à participer dans les élections sous la coupe du SHP (Parti Social Démocrate du Peuple), un des partis réformistes bourgeois. Il a laissé en dehors les partis réformistes petit bourgeois comme l'EMEP (Parti du Travail) et le SDP (Parti Socialiste de la Démocratie), lesquels forment part du «Bloc de la Démocratie, de la Paix et du Travai» pendant les élections générales du 3 novembre 2002. Même les patriotes kurdes ont amené au gouvernement le SHP en participant à une alliance avec eux dans des élections antérieures. Et le SHP est devenu un des exécutants de la guerre sale et obscure contre les kurdes à travers le gouvernement de guerre formé par le SHP et le DYP (Parti du Juste Chemin) fasciste. Cette guerre a été nommée«guerre de basse intensit».

Pendant le gouvernement du DYP-SHP le régime colonialiste turc a condamné les peuples kurdes, a br»lé des bois et a augmenté l'armée de protecteurs de villages. Pendant cette période ont augmentée considérablement les actions contra révolutionnaires, les massacres, les exécutions extra judiciaires, les détentions et emprisonnements. Le chauvinisme turc était en colère et le mouvement national kurde a souffert des sérieux coups.

Aujourd'hui, les attentes des patriotes kurdes des partis du régime bourgeois les ont induit dans le même piège du SHP. Les autres partis réformistes petit bourgeois ont aussi annoncé qu'ils participeront dans cette alliance au niveau municipal. Les partis comme l'EMEP, SDP, lesquels se considèrent à soi même d'être«l'avant-garde socialist» n'ont hésité à aucun moment pour participer dans les espoirs d'alliance, qui servent au piège de la«réorganisatio» du SHP, qui a participé à la guerre sale.

Les partis, groupes et forces révolutionnaires et communistes ne possèdent pas les conditions pour développer des tactiques politiques avec la fin de participer aux élections municipales en tant qu'un seul bloc. Les partis et groupes qui forment le mouvement révolutionnaire ne sont pas prêts ni idéologiquement ni dans la pratique. Ainsi, ils n'existent pas les conditions politiques minimales pour une alliance centrale pendant les élections. La politique et tactique qui aura du succès dans la pratique pendant les élections sera de chercher des possibilités et des conditions pour des alliances locales avec d'autres groupes révolutionnaires qui participent dans les élections et de les mener à la pratique si possible.

Sous les conditions actuelles et dans la situation politique actuelle de la Turquie, le PCML participe dans les élections municipales, avec une ligne socialiste indépendante et en accord avec ses tactiques politiques.

Pendant les élections générales du 3 novembre 2002, le PCML a obtenu des succès et des possibilités politiques et organisationnels en«restant ferme et en dépassant ses propres limite». Il a cassé radicalement avec l'aliénation des masses et du travail avec les masses. A surpassé à la spontanéité révolutionnaire et a orienté à nouveau ses propres forces vers les activités politiques et organisationnelles importantes. Il a critiqué toutes les formes d'idéologies et positions bourgeoises et petites bourgeoises avec une ligne révolutionnaire et a fait de la propagande du socialisme, du seul chemin réel de la libération de la classe ouvrière et des travailleurs. Il a organisé des campagnes d'information entre les opprimés, ont expliqués des faits politiques et a fait un appel à notre peuple pour participer dans la lutte révolutionnaire.

Grâce à ses progrès politiques et organisationnels, le PCML est passé au premier plan et a pris forme. Le plus important dans les élections du 28 mars est de«garantir la continuité de la ligne du développement du parti et la définition de ses besoin» Pendant les élections il occupera une place politique et aura des possibilités d'augmenter et amplifier le degré organisationnel, avancer avec les actions des masses, développer des nouvelles méthodes et moyens de lutte et de les employer d'une manière plus efficace et en avançant mieux.

Le PCML invitera pendant les élections municipales par des appels politiques, des consignes, les candidats indépendants de la classe ouvrière, les masses travailleuses et tous les opprimés à lutter contre l'agression et l'occupation impérialistes, la répression économique et politique du régime colonial fasciste, la politique de la dénégation contre la nation kurde et contre les attaques envers la jeunesse.

En plus de la lutte pour les libertés politiques, le PCML continuera à avancer dans la lutte révolutionnaire avec la perspective de la lutte pour le socialisme et afin de devenir«un parti dirigean».

 

 

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Le 28 mars 2004 il y aura des élections municipales en Turquie et dans le Kurdistan du Nord. Nous pouvons supposer que les élections se feront entre le parti qui gouverne l'AKP (Parti de la Justice et du Développement) et le parti d'opposition, le parti du régime CHP (Parti du Peuple Républicain). Malgré que l'AKP se qualifie à soi même de «conservateur démocratiqu», de fait il s'agit d'un parti du régime et de la guerre, un collaborateur des EEUU et islamiste. Et le CHP est un parti d'Etat qui prétend être un parti social démocrate classique.

Entre autre les préparations des partis du régime fasciste réactionnaire, à l'approche des élections, se sont intensifié aussi les recherches et initiatives pour des alliances des partis réformistes petit bourgeois. Le parti légal des kurdes patriotes, DEHAP (Parti du Peuple Démocratique) est le plus important d'entre eux.

DEHAP a déclaré être disposé à participer dans les élections sous la coupe du SHP (Parti Social Démocrate du Peuple), un des partis réformistes bourgeois. Il a laissé en dehors les partis réformistes petit bourgeois comme l'EMEP (Parti du Travail) et le SDP (Parti Socialiste de la Démocratie), lesquels forment part du «Bloc de la Démocratie, de la Paix et du Travai» pendant les élections générales du 3 novembre 2002. Même les patriotes kurdes ont amené au gouvernement le SHP en participant à une alliance avec eux dans des élections antérieures. Et le SHP est devenu un des exécutants de la guerre sale et obscure contre les kurdes à travers le gouvernement de guerre formé par le SHP et le DYP (Parti du Juste Chemin) fasciste. Cette guerre a été nommée«guerre de basse intensit».

Pendant le gouvernement du DYP-SHP le régime colonialiste turc a condamné les peuples kurdes, a br»lé des bois et a augmenté l'armée de protecteurs de villages. Pendant cette période ont augmentée considérablement les actions contra révolutionnaires, les massacres, les exécutions extra judiciaires, les détentions et emprisonnements. Le chauvinisme turc était en colère et le mouvement national kurde a souffert des sérieux coups.

Aujourd'hui, les attentes des patriotes kurdes des partis du régime bourgeois les ont induit dans le même piège du SHP. Les autres partis réformistes petit bourgeois ont aussi annoncé qu'ils participeront dans cette alliance au niveau municipal. Les partis comme l'EMEP, SDP, lesquels se considèrent à soi même d'être«l'avant-garde socialist» n'ont hésité à aucun moment pour participer dans les espoirs d'alliance, qui servent au piège de la«réorganisatio» du SHP, qui a participé à la guerre sale.

Les partis, groupes et forces révolutionnaires et communistes ne possèdent pas les conditions pour développer des tactiques politiques avec la fin de participer aux élections municipales en tant qu'un seul bloc. Les partis et groupes qui forment le mouvement révolutionnaire ne sont pas prêts ni idéologiquement ni dans la pratique. Ainsi, ils n'existent pas les conditions politiques minimales pour une alliance centrale pendant les élections. La politique et tactique qui aura du succès dans la pratique pendant les élections sera de chercher des possibilités et des conditions pour des alliances locales avec d'autres groupes révolutionnaires qui participent dans les élections et de les mener à la pratique si possible.

Sous les conditions actuelles et dans la situation politique actuelle de la Turquie, le PCML participe dans les élections municipales, avec une ligne socialiste indépendante et en accord avec ses tactiques politiques.

Pendant les élections générales du 3 novembre 2002, le PCML a obtenu des succès et des possibilités politiques et organisationnels en«restant ferme et en dépassant ses propres limite». Il a cassé radicalement avec l'aliénation des masses et du travail avec les masses. A surpassé à la spontanéité révolutionnaire et a orienté à nouveau ses propres forces vers les activités politiques et organisationnelles importantes. Il a critiqué toutes les formes d'idéologies et positions bourgeoises et petites bourgeoises avec une ligne révolutionnaire et a fait de la propagande du socialisme, du seul chemin réel de la libération de la classe ouvrière et des travailleurs. Il a organisé des campagnes d'information entre les opprimés, ont expliqués des faits politiques et a fait un appel à notre peuple pour participer dans la lutte révolutionnaire.

Grâce à ses progrès politiques et organisationnels, le PCML est passé au premier plan et a pris forme. Le plus important dans les élections du 28 mars est de«garantir la continuité de la ligne du développement du parti et la définition de ses besoin» Pendant les élections il occupera une place politique et aura des possibilités d'augmenter et amplifier le degré organisationnel, avancer avec les actions des masses, développer des nouvelles méthodes et moyens de lutte et de les employer d'une manière plus efficace et en avançant mieux.

Le PCML invitera pendant les élections municipales par des appels politiques, des consignes, les candidats indépendants de la classe ouvrière, les masses travailleuses et tous les opprimés à lutter contre l'agression et l'occupation impérialistes, la répression économique et politique du régime colonial fasciste, la politique de la dénégation contre la nation kurde et contre les attaques envers la jeunesse.

En plus de la lutte pour les libertés politiques, le PCML continuera à avancer dans la lutte révolutionnaire avec la perspective de la lutte pour le socialisme et afin de devenir«un parti dirigean».