L'alternative au capitalisme est le socialisme
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Du 12 au 16 novembre, a eu lieu le deuxième Forum Européen à Paris. Presque 900 personnes ont pris la parole dans les 625 Conférences, séminaires et groupes de travail. La distribution des activités dans des différents banlieues de Paris et l'Organisation des évents dans des lieux différents, qui se trouvent très loin les uns des autres, ostensiblement a contribué à l'obstruction du mouvement commun des participants et à la création d'une expression confuse. Il paraît que les organisateurs avaient pris expérience des évents antérieurs et ont pu ainsi empêcher, cette fois d'une manière « démocratique» qui des gents de « l'extérieur» ne puisse parler et prendre la parole et qu'ainsi ne puissent avoir l'occasion de s'exprimer. Les organisateurs, des éléments réformistes et pacifistes, qui luttent pour « un autre monde est possible» et « une autre Europe est nécessaire», à l'intérieur du système capitaliste impérialiste, ne souhaitaient pas être gênés afin de pouvoir défendre leur propres positions et afin de guider les masses vers un changement à l'intérieur du système actuel.

Les forces pacifistes et réformistes, qui prédominent au Forum Social, ont appelle encore une fois de plus à des dizaines de milliers à réformer le capitalisme. Voulaient une Europe contre la guerre et une Europe de paix. Ils ont presque déclaré la « guerre» au néo- libéralisme. Ils parlaient d'une Europe où prédominent les « droits sociaux et démocratique». Sans toucher le système capitaliste, qui s'érige sur la logique du profit du capital, ils demandaient à s'opposer à la « logique du profit». Ils parlaient de lutte contre le racisme et la discrimination.

Le fait de que les organisateurs étaient gênés par la tournure de certains développements était aussi évident. Il n'a pas été un autre que B. CASSEN, le président d'ATTAC-France, qui a souligné que les actions de rue et le mouvement contre la guerre ont radicalisé la pensée du Forum Social. Selon ses éléments, le « mouvement contre la globalisation» devrait rester loin des tournures radicales.

Premièrement, le Forum Social a refusé de faire une déclaration sur la résistance en Irak. Selon les sympathisants d'ATTAC, la résistance en Irak devait rester en dehors du Forum Social. Finalement il a été accepté l'opinion du retrait des troupes en Irak.

En le comparant avec le premier, nous ne pouvons pas dire que ce Forum a été un succès. A Paris il n'y avait pas la même participation des masses ni l'enthousiasme comme à Florence. De plus, la deuxième fois n'avait pas la franchise qui existait la première fois. Les pacifistes et les réformistes, qui dirigeaient ce mouvement, ont déjà pris des mesures pour rendre inefficace l'opposition, les révolutionnaires et les communistes dans les assemblées.

Entre autres, on entend des choses contradictoires au Forum Social, il semblerait qu'il y aura des nouvelles discussions dans l'avenir à l'intérieur du mouvement. Il est bien clair que ceux qui pensent différemment, ne continueront pas à agir de la même manière.

Le PCML a participé en mobilisant quelques unes des ses forces à l'étranger pour le Forum Social à Paris. Il a utilisé de son droit d'intervention dans quelques occasions et au total il a distribué des pamphlets à plus de 40.000 personnes. Le message que nous avions transmis à des dizaines des milliers des personnes a été le suivant :

Il n'est pas possible d'obtenir des revendications qui soient formulées par une pensée réformiste et pacifiste de lutte. Réformisme et pacifisme, surtout, servent à refouler l'extrémisme des mesures de la globalisation et de l'exploitation impérialistes, guerre et agression, et d'obtenir que des millions des travailleurs dans le monde entier fassent leur paix avec le système existante capitaliste. La politique impérialiste n'expresse pas l'élection d'une ou autre personne, ou de tel ou quel monopole international. Pour cette raison, le changement de cette politique sera possible seulement avec la chute du système bourgeois. Un autre monde, une autre Europe, une Europe en paix et une Europe contre la guerre, seront seulement possibles dans la lutte contre le système capitaliste régnant. C'est ainsi, que l'alternative à la globalisation impérialiste ne peut être que la politique révolutionnaire, l'actions révolutionnaire et la révolution socialiste. C'est celui-ci le message qui a été transmis aux ouvriers et travailleurs qui cherchent.

L'alternative est le socialisme

et non le réformisme!

Non au pacifisme, oui à la lutte révolutionnaire!

 

 

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Du 12 au 16 novembre, a eu lieu le deuxième Forum Européen à Paris. Presque 900 personnes ont pris la parole dans les 625 Conférences, séminaires et groupes de travail. La distribution des activités dans des différents banlieues de Paris et l'Organisation des évents dans des lieux différents, qui se trouvent très loin les uns des autres, ostensiblement a contribué à l'obstruction du mouvement commun des participants et à la création d'une expression confuse. Il paraît que les organisateurs avaient pris expérience des évents antérieurs et ont pu ainsi empêcher, cette fois d'une manière « démocratique» qui des gents de « l'extérieur» ne puisse parler et prendre la parole et qu'ainsi ne puissent avoir l'occasion de s'exprimer. Les organisateurs, des éléments réformistes et pacifistes, qui luttent pour « un autre monde est possible» et « une autre Europe est nécessaire», à l'intérieur du système capitaliste impérialiste, ne souhaitaient pas être gênés afin de pouvoir défendre leur propres positions et afin de guider les masses vers un changement à l'intérieur du système actuel.

Les forces pacifistes et réformistes, qui prédominent au Forum Social, ont appelle encore une fois de plus à des dizaines de milliers à réformer le capitalisme. Voulaient une Europe contre la guerre et une Europe de paix. Ils ont presque déclaré la « guerre» au néo- libéralisme. Ils parlaient d'une Europe où prédominent les « droits sociaux et démocratique». Sans toucher le système capitaliste, qui s'érige sur la logique du profit du capital, ils demandaient à s'opposer à la « logique du profit». Ils parlaient de lutte contre le racisme et la discrimination.

Le fait de que les organisateurs étaient gênés par la tournure de certains développements était aussi évident. Il n'a pas été un autre que B. CASSEN, le président d'ATTAC-France, qui a souligné que les actions de rue et le mouvement contre la guerre ont radicalisé la pensée du Forum Social. Selon ses éléments, le « mouvement contre la globalisation» devrait rester loin des tournures radicales.

Premièrement, le Forum Social a refusé de faire une déclaration sur la résistance en Irak. Selon les sympathisants d'ATTAC, la résistance en Irak devait rester en dehors du Forum Social. Finalement il a été accepté l'opinion du retrait des troupes en Irak.

En le comparant avec le premier, nous ne pouvons pas dire que ce Forum a été un succès. A Paris il n'y avait pas la même participation des masses ni l'enthousiasme comme à Florence. De plus, la deuxième fois n'avait pas la franchise qui existait la première fois. Les pacifistes et les réformistes, qui dirigeaient ce mouvement, ont déjà pris des mesures pour rendre inefficace l'opposition, les révolutionnaires et les communistes dans les assemblées.

Entre autres, on entend des choses contradictoires au Forum Social, il semblerait qu'il y aura des nouvelles discussions dans l'avenir à l'intérieur du mouvement. Il est bien clair que ceux qui pensent différemment, ne continueront pas à agir de la même manière.

Le PCML a participé en mobilisant quelques unes des ses forces à l'étranger pour le Forum Social à Paris. Il a utilisé de son droit d'intervention dans quelques occasions et au total il a distribué des pamphlets à plus de 40.000 personnes. Le message que nous avions transmis à des dizaines des milliers des personnes a été le suivant :

Il n'est pas possible d'obtenir des revendications qui soient formulées par une pensée réformiste et pacifiste de lutte. Réformisme et pacifisme, surtout, servent à refouler l'extrémisme des mesures de la globalisation et de l'exploitation impérialistes, guerre et agression, et d'obtenir que des millions des travailleurs dans le monde entier fassent leur paix avec le système existante capitaliste. La politique impérialiste n'expresse pas l'élection d'une ou autre personne, ou de tel ou quel monopole international. Pour cette raison, le changement de cette politique sera possible seulement avec la chute du système bourgeois. Un autre monde, une autre Europe, une Europe en paix et une Europe contre la guerre, seront seulement possibles dans la lutte contre le système capitaliste régnant. C'est ainsi, que l'alternative à la globalisation impérialiste ne peut être que la politique révolutionnaire, l'actions révolutionnaire et la révolution socialiste. C'est celui-ci le message qui a été transmis aux ouvriers et travailleurs qui cherchent.

L'alternative est le socialisme

et non le réformisme!

Non au pacifisme, oui à la lutte révolutionnaire!