VIVE LA SOLIDARITE DE LA CLASSE OUVRIERE
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Des Actions Ouvrières en Turquie et Kurdistan du Nord en février 2004

La Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), laquelle a augmenté la rapidité de sa campagne dans les élections municipales, qui auront lieu le 28 mars en Turquie, participe au même temps activement dans la résistance des ouvriers, des travailleurs et des étudiants contre le gouvernement collaborateur de l'AKP lequel essaye d'imposer des agressions de restructuration à travers des attaques néo libérales et des privatisations. Le ESP essaye de mener ses résistances et de donner un pas en avant.

Le 30 janvier, le syndicat Krsital-Is, affilié à la fédération syndicale Türk-Is, a commencé une grève incluant 6 entreprises et 13 usines de Sisecam dans toute la Turquie. Le même jour, 5 mil ouvriers ont déplié une pancarte que disait«Dans cette entreprise il y a une grèv», et ont commencé à défier les patrons de la Sisecam. La ESP, qui considère la grève comme la résistance de tous les opprimés, a fait un appel à tous les opprimés à lutter avec les ouvriers de Sisecam contre les agressions néo libérales du gouvernement collaborateur de l'AKP. Avec la perspective d'organiser la résistance populaire unie. La ESP a fait de l'agitation et a distribué des pamphlets dans les entrées des usines et dans les lieux où passent les ouvriers vers le travail dans différents quartiers.

Le 7 février, le Comité de Solidarité avec les Ouvriers de Sisecam, fondé par la ESP, a distribué des pamphlets dans le quartier de Gazi à Istanbul, avec le but de porter la voix des ouvriers de Sisecam dans les quartiers d'habitation des travailleurs.

Le 8 février, la police a attaqué les militants de la ESP pendant la manifestation à Istanbul-Ümraniye dans le quartier 1er Mai, qui était organisée avec le but d'appuyer la grève continue des vitriers. Malgré les tanks de la police, les militants de la ESP ont défendu leur action légitime et juste en criant des consignes comme:«les ouvriers de Sisecam vaincron» et«rébellion, grève, insurrection contre les lois d'esclavag» et luttaient contre la police en construisant des barricades.

Malgré l'arrestation par la police de 8 militants de la ESP, qui a continué avec sa résistance, les travailleurs du quartier ont défendu les membres de la ESP. Les travailleurs locaux ont accouru de leurs maisons et des cafés et ont lancé des pierres contre la police. Le 14 février, 16 jours après son début, la grève a été prohibée. La ESP a protesté contre l'ajournement (prohibition) de la grève par le Conseil de Ministres, sous le prétexte de«danger pour la santé générale et la sécurité national», avec une conférence de presse organisée devant la centrale de la Banque Is-Bank le 18 février.

Le 11 février, les ouvriers de Bossa, sont sortis dans les rues pour protester contre le préavis de 398 ouvriers de Bossa, sortis de leur travail car ils étaient organisés dans le domaine du textile de DISK (Confédération des Syndicats Révolutionnaires des Ouvriers) à Adana. Eux aussi ont été appuyés par ses frères de classe de la région. L'action a eu lieu dans le parc d'Inönü et a été un bon exemple pour la solidarité des classes. L'action a été appuyée par plusieurs organisations des masses et partis, entre les ouvriers de Mensa, les ouvriers de la municipalité, étudiants de l'Université Cukurova, la ESP et EKB (Union des Femmes Travailleuses) Près de mil personnes ont participé au meeting avec les consignes«les ouvriers de Bossa ne sont pas seul» et«Mensa, Bossa côte à côt».

La résistance des ouvriers de l'usine de Kimmet continue encore dans le domaine industriel Cigli à Izmir, lesquels ont été licenciés pour être des associés du syndicat Birlesik Metal-Is. Les ouvriers sont depuis le 30 janvier devant l'entrée de l'usine et exigent de pouvoir retourner à leur travail comme associés du syndicat. Ils ont été visités par un groupe de 300 personnes, associés de Genel-Is et Birlesik Metal-Is, ouvriers de la ESP et dirigeants du TKP et de l'EMEP.

La police a agressé le bloc de la ESP pendant la manifestation organisée le 21 février à Amed (Diyarbakir) pour KESK (Confédération des Syndicats du Secteur Public) en protestant contre«la loi de base de l'administration publiqu» qui a été appuyé par beaucoup des syndicats et d'organisations des masses démocratiques. Les syndicalistes, ouvriers et employés venaient des provinces se Malatya, Van, Bitlis, Adiyaman, Urfa, Sirnak, Elazig, Dersim et Mardin se trouvaient devant la gare ferroviaire de Diyarbakir et protestaient contre le projet de«la loi de base de l'administration publiqu». Environ 7000 personnes ont participé à la manifestation.

Les gens de la ESP sont venus des différents villes du Kurdistan et malgré qu'ils ont été arrêtés fréquemment par la police en entrant dans la ville, ont réussi à participer au meeting avec les gens de la ESP-Amed. La ESP est entrée dans le lieu du meeting avec leur pancarte que disait«La loi d'esclavage ne passera pa», vêtus avec des chemises ou ont pouvait lire:«le seul chemin est la révolutio»,«unité, lutte, solidarit» et«vote pour les candidats révolutionnaires socialistes indépendant» et criant la consigne«unité, lutte, triomph». La police a attaqué le bloc de la ESP dans le point de contrôle établi par elle à l'entrée de la place de la manifestation finale. Les militants de la ESP ont opposé résistance contre la police et ont défendu leurs droits. Après ils ont été bloqués et frappés d'une manière brutale par les unités spéciales de la police du département anti-terroriste. 35 personnes de la ESP ont été arrêtées et torturées.

 

 

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La Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), laquelle a augmenté la rapidité de sa campagne dans les élections municipales, qui auront lieu le 28 mars en Turquie, participe au même temps activement dans la résistance des ouvriers, des travailleurs et des étudiants contre le gouvernement collaborateur de l'AKP lequel essaye d'imposer des agressions de restructuration à travers des attaques néo libérales et des privatisations. Le ESP essaye de mener ses résistances et de donner un pas en avant.

Le 30 janvier, le syndicat Krsital-Is, affilié à la fédération syndicale Türk-Is, a commencé une grève incluant 6 entreprises et 13 usines de Sisecam dans toute la Turquie. Le même jour, 5 mil ouvriers ont déplié une pancarte que disait«Dans cette entreprise il y a une grèv», et ont commencé à défier les patrons de la Sisecam. La ESP, qui considère la grève comme la résistance de tous les opprimés, a fait un appel à tous les opprimés à lutter avec les ouvriers de Sisecam contre les agressions néo libérales du gouvernement collaborateur de l'AKP. Avec la perspective d'organiser la résistance populaire unie. La ESP a fait de l'agitation et a distribué des pamphlets dans les entrées des usines et dans les lieux où passent les ouvriers vers le travail dans différents quartiers.

Le 7 février, le Comité de Solidarité avec les Ouvriers de Sisecam, fondé par la ESP, a distribué des pamphlets dans le quartier de Gazi à Istanbul, avec le but de porter la voix des ouvriers de Sisecam dans les quartiers d'habitation des travailleurs.

Le 8 février, la police a attaqué les militants de la ESP pendant la manifestation à Istanbul-Ümraniye dans le quartier 1er Mai, qui était organisée avec le but d'appuyer la grève continue des vitriers. Malgré les tanks de la police, les militants de la ESP ont défendu leur action légitime et juste en criant des consignes comme:«les ouvriers de Sisecam vaincron» et«rébellion, grève, insurrection contre les lois d'esclavag» et luttaient contre la police en construisant des barricades.

Malgré l'arrestation par la police de 8 militants de la ESP, qui a continué avec sa résistance, les travailleurs du quartier ont défendu les membres de la ESP. Les travailleurs locaux ont accouru de leurs maisons et des cafés et ont lancé des pierres contre la police. Le 14 février, 16 jours après son début, la grève a été prohibée. La ESP a protesté contre l'ajournement (prohibition) de la grève par le Conseil de Ministres, sous le prétexte de«danger pour la santé générale et la sécurité national», avec une conférence de presse organisée devant la centrale de la Banque Is-Bank le 18 février.

Le 11 février, les ouvriers de Bossa, sont sortis dans les rues pour protester contre le préavis de 398 ouvriers de Bossa, sortis de leur travail car ils étaient organisés dans le domaine du textile de DISK (Confédération des Syndicats Révolutionnaires des Ouvriers) à Adana. Eux aussi ont été appuyés par ses frères de classe de la région. L'action a eu lieu dans le parc d'Inönü et a été un bon exemple pour la solidarité des classes. L'action a été appuyée par plusieurs organisations des masses et partis, entre les ouvriers de Mensa, les ouvriers de la municipalité, étudiants de l'Université Cukurova, la ESP et EKB (Union des Femmes Travailleuses) Près de mil personnes ont participé au meeting avec les consignes«les ouvriers de Bossa ne sont pas seul» et«Mensa, Bossa côte à côt».

La résistance des ouvriers de l'usine de Kimmet continue encore dans le domaine industriel Cigli à Izmir, lesquels ont été licenciés pour être des associés du syndicat Birlesik Metal-Is. Les ouvriers sont depuis le 30 janvier devant l'entrée de l'usine et exigent de pouvoir retourner à leur travail comme associés du syndicat. Ils ont été visités par un groupe de 300 personnes, associés de Genel-Is et Birlesik Metal-Is, ouvriers de la ESP et dirigeants du TKP et de l'EMEP.

La police a agressé le bloc de la ESP pendant la manifestation organisée le 21 février à Amed (Diyarbakir) pour KESK (Confédération des Syndicats du Secteur Public) en protestant contre«la loi de base de l'administration publiqu» qui a été appuyé par beaucoup des syndicats et d'organisations des masses démocratiques. Les syndicalistes, ouvriers et employés venaient des provinces se Malatya, Van, Bitlis, Adiyaman, Urfa, Sirnak, Elazig, Dersim et Mardin se trouvaient devant la gare ferroviaire de Diyarbakir et protestaient contre le projet de«la loi de base de l'administration publiqu». Environ 7000 personnes ont participé à la manifestation.

Les gens de la ESP sont venus des différents villes du Kurdistan et malgré qu'ils ont été arrêtés fréquemment par la police en entrant dans la ville, ont réussi à participer au meeting avec les gens de la ESP-Amed. La ESP est entrée dans le lieu du meeting avec leur pancarte que disait«La loi d'esclavage ne passera pa», vêtus avec des chemises ou ont pouvait lire:«le seul chemin est la révolutio»,«unité, lutte, solidarit» et«vote pour les candidats révolutionnaires socialistes indépendant» et criant la consigne«unité, lutte, triomph». La police a attaqué le bloc de la ESP dans le point de contrôle établi par elle à l'entrée de la place de la manifestation finale. Les militants de la ESP ont opposé résistance contre la police et ont défendu leurs droits. Après ils ont été bloqués et frappés d'une manière brutale par les unités spéciales de la police du département anti-terroriste. 35 personnes de la ESP ont été arrêtées et torturées.