Le PCML, la direction politique du prolétariat en Turquie et au Kurdistan du Nord, a commencé à fêter son 10ème anniversaire sous la consigne de "transition au Parti dirigeant". Il s'efforce de mener à bout le travail et les actions pour le 10ème anniversaire, selon l'objectif de s'unir aux masses et de les politiser d'une manière révolutionnaire.
Comme tous les autres Partis Communistes, le PCML a vécu son histoire sous les conditions politiques et objectives de la région géographique où il travaille.
Ce processus historique s'est converti et s'est reproduit, s'est construit à nouveau, il a approfondi et déterminé ses bases politiques et organisationnelles, et, a produit ses particularités. D'un coté, le PCML s'appui dans la continuation des valeurs, traditions et triomphes révolutionnaires de ses prédécesseurs, mais au même temps, il a réalisé un dégagement et un saut révolutionnaires, par lesquels il se différencie des manières de travailler et de la compréhension politique des luttes traditionnelles déterminées par simple rutine et spontanéité révolutionnaires.
L'oeuvre continue dans la 10ème année de sa fondation! En premier lieu, cette oeuvre a été crée par nos camarades tombés et à travers la lutte d'autosacrifice, sang et sueur. Dans cette oeuvre prennent place, surtout: Hüseyin Demircioglu, membre de notre Comité Centrale, lequel a donné sa vie dans la grève de la faim jusqu'à la mort en 1996. Conséquent avec sa thèse "je dois être le premier", le camarade Süleyman Yeter, lequel est devenu, avec sa volonté révolutionnaire une barricade vivante contre l'encerclement politique, idéologique et organisationnel et contre les tentatives de liquidation du régime fasciste turc, avec notre parti et le mouvement révolutionnaire et il s'est sacrifié, le camarade Hasan Ocak, lequel à défié la mort dans une période où s'affrontaient fortement la volonté révolutionnaire et la volonté contre-révolutionnaire, la camarade Sengül Boran, avec sa volonté et courage révolutionnaires, laquelle portait dans son coeur la haine et la conscience des opprimés, le camarade Tuncay Yildirim, lequel a continué avec la grève de la faim jusqu'à la mort, à l'extérieur de la prison, jusqu'à sa mort, et tous les autres camarades, lesquels ont laissé leurs empreintes indélébiles avec leur pratique et leurs contributions révolutionnaires. Gloire aux martyrs de notre Parti!
L'action théorique et pratique du PCML a été déterminée par la volonté révolutionnaire qui a montré le Parti dans la période de l'unification des communistes et dans l'année de sa formation. Ainsi il a pris racine.
L'unité des communistes concrétisée avec le PCML dans les années 1990 en Turquie et Kurdistan du Nord n'a pas été un hasard. Bien au contraire, ceci a été le produit d'un travail conscient, de la volonté ferme et planifiée des cadres communistes, lesquels travaillaient en se dirigeant vers les exigences et devoirs nécessaires de la lutte de la classe ouvrière. Le caractère de changement et les résultats obtenus de la volonté révolutionnaire, ont été encore une fois démontrés avec le succès de l'unité communiste. Ceci a eu un rôle importante, quelque temps après, dans la détermination de l'action organisationnelle et politique du PCML. Au même temps, le PCML est un parti surgi des faits sociaux et politiques.
La bourgeoisie monopoliste collaboratrice et les grands propriétaires, lesquels étaient terrorisés dans la deuxième moitié du 20ème siècle en Turquie à cause de lutte du prolétariat et des peuples pour la liberté et le socialisme, ont essayé de gouverner à travers des coups d'état militaires fascistes et les "juntes", appuyés par l'impérialisme. Surtout il faut mentionner ici les coups militaires du 27 mai 1960, du 12 mars 1971 et du 12 septembre 1980. Pendant le coup militaire fasciste de 1980, des milliers des cadres et militants du mouvement communiste et révolutionnaire ont été emprisonnés. Des dizaines des milliers ont été arrêtés et torturés. Profitant des faiblesses et vices du mouvement communiste et révolutionnaire, la dictature militaire fasciste a pu obtenir une victoire facile et rapide. Elles ont été interrompues les activités du mouvement révolutionnaire. Le mouvement révolutionnaire a subi une défaite sans avoir lutté. Sous les conditions de la junte militaire fasciste, la capacité acquisitive des ouvriers, employés et travailleurs a chuté de 100%. Des organisations des masses ont été interdites ou dissolues. Autant les conséquences sociales de cette défaite comme aussi la destruction politique, idéologique, sociale et morale, référent au mouvement révolutionnaire, existent encore aujourd'hui.
A cette défaite, il faut aussi ajouter la dissolution de l'Union Soviétique sociale impérialiste et des pays de l'Europe de l'Est moderne-révisionistes des années 1989-1991, la capitulation de l'Albanie socialiste et la propagande de la bourgeoisie impérialiste qui disait: "Le socialisme a été vaincu".
Dans les files du mouvement révolutionnaire, cette situation a donné lieu à une crise sérieuse de conviction et a été à l'origine du développement des tendances de liquidation idéologique et politique. Quelques organisations politiques petit bourgeoises ont été dissoutes, d'autres partis révolutionnaires et communistes ont pris le chemin du réformisme.
Mais, sous ces conditions, se sont développés aussi des dynamiques et des possibilités révolutionnaires. Sous la direction nationale révolutionnaire du PKK, il a commencé l'apogée de 1984, la lutte de la guérilla en Kurdistan du Nord. Cette lutte a excité la résistance et le réveil de la nation Kurde. La lutte de libération nationale kurde s'est développée vers la révolution nationale kurde. Ce développement a signifié un soutient moral important et une opportunité historique et politique pour le mouvement révolutionnaire turc. Le mouvement révolutionnaire s'est trouvé face au devoir de divulguer la révolution unie, laquelle a commencée avec la révolution de libération nationale kurde, dans toute la Turquie.
Cependant, seulement le développement d'un mouvement ouvrier révolutionnaire dans l'Ouest pourrait conduire a une révolution unie. Les groupes prédécesseurs du PCML ont commencé à approfondir ses efforts et idées dans cette direction.
Dans l'année 1987 et dans la période postérieure, notre pays, surtout Istanbul, a vécu une vague de résistance, grèves et protestes de la classe ouvrière. Des syndicats et organisations des masses sont devenues actives. Ont augmenté les efforts politiques et organisationnels des ouvriers dirigeants. Le mouvement communiste, se trouvant dans un état de dispersion, de séparation, dominé par la spontanéité et l'insignifiance, ne pouvait pas être une réponse à ces efforts. Les conditions historiques et politiques d'alors, obligeant les communistes à se consacrer à solutionner ces besoins et ces devoirs. Sans aucun doute, aussi les groupes communistes TKP/ML Hareketi (Parti Communiste de Turquie-Mouvement Marxiste Léniniste), TKIH (Mouvement Ouvrier Communiste de Turquie) TDKIH (Mouvement Révolutionaire Ouvrier Communiste de Turquie) et TKP-ML-YIO (Parti Communiste de Turquie/Marxiste Léniniste/Organisation de Reconstruction), qui sont les prédécesseurs du PCML, possèdent un passé dans lequel ont réussi des devoirs historiques et politique actuels, souvent avec succès. Pour cette raison il était naturel que ces groupes aient évaluée ainsi la situation.
Après 1975, les groupes communistes, qui sont les prédécesseurs de notre parti, marchaient séparément, mais, ils ont vécu un processus de développement théorique, politique et organisationnel parallèle. En somme, cette vérité objective a confronté les cadres dirigeants communistes avec le devoir historique de "l'unité des communistes".
Le PCML a surgi comme le résultat des discussions internes et entre les groupes communistes, qui après se sont joint à lui. La fondation du PCML prends base après cinq années de travail et discussion. A chaque fois que l'occasion s'est présentée il y a eu des conflits, des résistances et des "attitudes conservatrices" pendant cette période. Mais les besoins de la lutte politique et les devoirs rationnés avec ceci, ont toujours garanti le triomphe de la volonté révolutionnaire et le triomphe de l'unité. Quelques personnes que ne se satisfaisant pas des structures du Parti ont arrêté la lutte et se sont séparées. Mais le PCML a conclu son organisation dans la concrétisation de l'unité, grâce à la volonté ferme et à l'action des cadres qu'appartenaient aux groupes antérieures du Parti dans ses propres files.
En Turquie, déjà avant il y a eu diverses tentatives d'unir la gauche. Mais, tous les efforts se sont soldés par un échec après l'annonce de l'unité. Des nouvelles tentatives pour l'unité ou créer des efforts dans ce sens impliquait des risques. Car, il n'existait pas un héritage révolutionnaire dans ce domaine (mis à part de la mal connue fondation du TKP dans l'année 1921) et une défaite, très probable, aurait pu créer une méfiance encore plus importante de nos peuples.
Les communistes qui ont construit le PCML se sont confrontés à toutes ces difficultés et ont obtenu un premier triomphe avec cette étape. Ils ont compris que non seulement obtiendraient l'unité organisationnelle des communistes, mais aussi, la capacité et la force pour la direction de la lutte unie du mouvement révolutionnaire. Plus ils ont avancé avec le travail et la méthode d'unité des communistes, plus encore leurs particularités et le chemin vers la victoire se sont faits évidents.
L'unité des communistes a été considérée comme un principe et comme une question politique. Comme principe parce que la situation disperse et séparée des communistes ont été inefficaces pour eux. Une question politique car l'unité n'est pas un problème d'aujourd'hui mais un problème actuel.
Il a été conçu d'une manière vivante et dynamique le concept "d'organisation" et sa théorie. Il n'a pas été idéalisé l'organisation, mais il a été considéré comme un moyen pour arriver à l'objectif. Ce qu'il y avait à faire c'était de créer ce moyen effectif et révolutionnaire.
Dans le travail pour l'unification des communistes, il n'a pas été mis l'accent sur les différences, mais sur les ressemblances. Car il existait le danger de présenter dans les désaccords les petites différences et les grandes divergences d'opinions.
Dans les discussions pour l'unité, ne participaient pas les organisations, mais les communistes en tant qu'individus et ont obtenu leur finalité. Chaque communiste s'est efforcé d'accomplir son rôle comme individu collectif actif. La garantie fondamentale pour la réalisation et la permanence de l'unité a été l'apogée de la lutte politique. Parce que l'unité des communistes avait pour finalité d'accomplir les devoirs et besoins de la lutte politique.
Le PCML a été fondé avec cette méthode et avec ces caractéristiques. L'expérience de la "révolution unitaire" du PCML, est une expérience importante dans le mouvement communiste international.
Le PCML-C (C: Construction) a été fondé le 10 septembre 1994 dans le Congrès d'Unité (Congrès de la fondation) avec la participation du TKIH (Mouvement Ouvrier Communiste de Turquie) et du TKP/ML Hareketi (Parti Communiste de Turquie/ Mouvement Marxiste-Léniniste) celles-ci sont les organisations prédécetrices du PCML. (Le TDKIH s'était déjà uni avec le TKIH antérieurement). Le programme, les statuts et les principes ont été décidés pendant ce Congrès et menés à bout dans l'action du Parti, se fondant dans ces bases. Pendant le printemps 1995 il a été crée la silhouette du PCML avec le soulèvement dans le quartier de Gazi, à Istanbul. Le PCML a pris la tête de ce soulèvement et a essayé de l'étendre et l'amplifier. Il a organisé la violence révolutionnaire des masses, avec des barricades et des luttes des rues. Peu après, Hasan Ocak, membre fondateur de notre Parti et commandant du soulèvement de Gazi, a été kidnappé et assassiné par le régime fasciste. Avec la campagne menée après les disparitions, suite à la disparition de Hasan Ocak, a commencé à se former la ligne fondamentale de la lutte politique du Parti. Le PCML-C a analysé sa propre pratique révolutionnaire en 1995, dans la première Conférence (du Parti et de l'Unité) et en a sorti des conclusions de ceci. Il s'est uni avec le TKP-ML YIO (Parti Communiste de Turquie/Marxiste-léniniste/Organisation de Reconstruction) et a annoncé la fondation du Parti. Au même temps, il pratique une auto critique de l'attitude perfectionniste vers le Parti et sa pratique.
Avec la consigne d'un parti jeune et en voies de développement, le PCML s'est imprégné des événements politiques et historiques.
A développé une "forme nouvelle" en ce qui concerne sa compréhension de la lutte politique et de sa pratique, ses méthodes de travail organisationnel, son armement avec sa théorie et la production théorique, relations internationales, de solidarité et ses différentes devoirs. Cette forme nouvelle signifie surmonter la manière rigide, statique, coutumière et spontanée.
le développement de la volonté révolutionnaire, d'agir en dirigeant et des plans d'action dans la lutte politique, reflets politiques, politique dirigée vers l'extérieur, campagne et volonté dans l'unité, la mise à profit de tous les moyens d'organisation et de lutte, l'organisation de la violence révolutionnaire des masses dans la lutte politique, la pratique politique et en formulant des consignes, menant à bout des campagnes comme réponse aux événements politiques, etc.., étaient des lignes importantes du Parti.
Dans sa manière de travail politique organisationnel, le PCML prends appui dans la force et capacités collectives. Pendant 10 ans le Parti a organisé trois Congrès du Parti, trois Congrès de la KGÖ (Organisation Communiste de la Jeunesse), trois Conférences du Parti et plusieurs autres conférences, entre lesquelles des conférences locales. Ainsi il a souligné sa pensée collective. A vécu les conséquences productives et avant-gardistes de la démocratie socialiste. Chaque une des plateformes mentionnées plus haut, de la PCML étaient un moyen pour renforcer la conscience, pour relever le niveau d'organisation et e lutte politique.
Le PCML ne traite pas de manière statique et rigide la théorie Marxiste Léniniste, mais d'une manière vivante et dynamique.
En partant de sa conviction de la force de la théorie Marxiste Léniniste, d'éclairer et créer des changements dans la lutte des classes, et, en partant de la nécessité des nouvelles solutions, éclaircissement et productions nouvelles dans ce domaine, s'est proposé ainsi des nouveaux devoirs.
Il était convaincu, que seul le principe et la compréhension de l'internationalisme prolétarien pouvaient avoir une réponse d'une manière révolutionnaire, s'ils sont liés avec une action politique concrète et avec la question organisationnelle Le Parti a organisé ses activités pratiques grâce à ceci. Il a signalé qu'il est nécessaire de développer une nouvelle forme dans les relations internationales et dans la solidarité, et qu'il sera seulement possible avec la lutte politique. Ce principe le démontre dans sa pratique révolutionnaire.
Le PCML, qui a réalisé courageusement et avec volonté ferme les devoirs historiques et politiques de la transition d'un Parti d'avant-garde à un Parti dirigeant, a souffert des sérieuses pertes entre ces cadres et au niveau d'organisation après les attaques de la contre-révolution en 1996 et 1997. Cette situation a amené à un affaiblissement de la volonté et actions politiques. Et, de cette manière, le Parti a souffert une«ruptur» dans sa ligne politique et organisationnelle, qu'il a développé entre 1997-2000. La faiblesse de cette période de la direction dans sa capacité dirigeante et dans sa force a mené à une attitude de«conformism» avec la situation existante au Parti, à la bureaucratie et à la spontanéité révolutionnaire. Ceci a mené le Parti à une passivité politique.
Avec le III Congrès, célébré en avril 2002, le PCML a mis en valeur à nouveau la volonté, l'esprit et la manière de penser révolutionnaires communes et a commencé à chercher à nouveau la ligne pour donner un saut en avant. Le III Congrès, a été un Congrès dans lequel le Parti a travaillé d'une manière critique sa pratique politique et organisationnelle, a tiré des conclusions et renforcé la force de la critique révolutionnaire. Le PCML, lequel a augmenté et amplifié le niveau de sa direction dans le III Congrès, s'est perfectionné politiquement. Le Parti a démontré sa capacité à diriger et sa force à mobiliser ses activistes à la lutte politique avec ses campagnes politiques, ses actions avec lesquelles il a répondu aux revendications et besoins actuelles de la lutte des classes, sa participation couronné de succès aux deux processus électoraux et sans sa lutte contre le sommet de l'OTAN à Istanbul en juin 2004.
Avec la lutte du PCML contre l'Otan à Istanbul, le Parti est arrivé à un point dans lequel il était possible d'intérioriser toutes les lignes et particularités de la pratique politique antérieure à son existence, en se basant dans ceci il a été possible d'obtenir l'apogée. Ceci veut dire, qu'il a pu avancer. En amenant avec soi, dans la lutte anti-impérialiste les forces progressistes et révolutionnaires de base, de l'opposition contre l'OTAN, en appliquant toutes les formes de lutte, y compris des actions de violence révolutionnaire, et, en conduisant toutes les forces dans un domaine avec le même but, avec une direction centrale politique gagnante, le PCML a démontré ceci.
Le PCML, considère cette nouvelle période, dans la dixième année de sa fondation, comme la«transition du Parti d'avant-garde à parti dirigean».
Sans aucune doute, l'action et devoirs, autant du Parti d'avant-garde comme celles de Parti dirigeant, sont un processus étroitement liés l'un et l'autre. Mais, pendant que le parti d'avant-garde se prépare, active, organise ses propres forces pour la lutte politique et les mobilise vers l'action dirigeante, le Parti dirigeant assure le degré des capacités et caractéristiques qu'il a construit jusqu'à présent, et, il dirige, organise et mobilise les masses vers la lutte.
Sans aucun doute, le fait que le PCML est arrivé à un tel niveau de direction, a aussi une relation avec le fait d'avoir trouvé des réponses à quelques questions théoriques et d'avoir mené à bout des devoirs comme d'analyses théoriques sur la base des faits historiques. Malgré des succès importants et des riches expériences, les tentatives de la construction du socialisme dans le 20ème siècle, ont échouées.
Le fait qu'à la fin du 20ème siècle, le socialisme a quelque peu perdu le respect et la crédibilité, et a été obligé à une lutte d'identité, et aussi la crises organisationnelle et idéologique du mouvement communiste international, en ce qui concerne la théorie et la pratique, et, ses réalisations, mettent en évidence l'existence du devoir d 'éclaircissement socialiste. Mener à bout la lutte idéologique contre les groupes ennemis du Marxisme-Léninisme, comme également de gagner la sympathie pour la pratique et la théorie du socialisme, que s'est déjà vécu, ce sont des devoirs urgents d'aujourd'hui.
Une autre dimension de la force directrice du PCML est constituée dans l'organisation du mouvement communiste international à nouveau et dans la promotion de l'action unifiée. Ce devoir pourra promouvoir autant la révolution en Turquie et au Kurdistan du Nord, comme aussi, il deviendra le sol nourricier pour une manière et une organisation des nouvelles relations internationales.
Dans son dixième anniversaire le PCML est conscient des devoirs historiques et politiques, à une échelle mondiale, et, en Turquie/Kurdistan du Nord, avec sa ferme volonté pour la voctoire et l'apogée.
Gloire au 10ème année du PCML !
Vive la Révolution et le Socialisme !
Vive l'Internationalisme Prolétaire !
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