Les visites en Turquie des directeurs du FBI et de la CIA
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La Turquie a été envahie par les organisations d'intelligence des EEUU, la première moitié du mois de novembre. Les visites une derrière l'autre de R.Mueller, directeur du FBI et de P. Goss, le directeur de la CIA, ont été suivies de la visite de Jaap De Hoop Schefeer, Secrétaire Général de l'OTAN. Le directeur de la CIA a préféré réaliser la visite avec 22 agents hauts placés. Le FBI a travaillé en collaboration avec le MIT (Organisation Nationale d'Intelligence) de Turquie dans son bureau et avec ses officiers à Ankara pendant une période.

Au même temps, le Général Yasar Buyukanit, lequel a été démasqué comme criminel quand il a protégé les responsables de l'action contre guérilla de l'Etat dans la ville de Semdinli en Kurdistan, a réalisé une visite aux EEUU. En considérant que les autorités civiles et militaires hautes placés des EEUU, ont réalisés des nombreuses réunions similaires dans la récente période, nous pouvons dire que les EEUU font des préparatifs pour attaquer quelques cartes concrètes.

De cette manière, les activités des contre agents des EEUU en Irak, dans d'autres pays au Moyen Orient et en Turquie, ont augmenté au plus haut niveau pour les interrogatoires et prisons secrètes et le développement de l'intelligence vive avec la reconstruction de la CIA et ses activités pour réaliser les mêmes opérations. Et maintenant ces activités se sont intensifiées et combinées avec les objectifs concrets d'attaquer l'Iran et la Syrie, dans le cadre du Projet Grand Moyen Orient.

Il n'existe pas de doute que la fréquence et la mobilité de ces visites, avaient pour objectif d'ap-profondir et d'augmenter la dépendance de la Turquie, laquelle est coincé dans le « proces-sus de l'établissement d'un état» en Kurdistan du Sud et les rébellions au Kurdistan du Nord, à l'impérialisme yankee sous le nom de « association stratégique», plus que l'objectif de répondre à la demande du régime fasciste colonialiste de « liquidation du PKK». Car les EEUU veulent employer la Turquie comme un état de la région conjointement avec Barzani-Talabani au Kurdistan du Sud, pour continuer l'occupation et leur présence militaire en Irak d'une autre manière, pour exercer une pression sur Iran et la Syrie, ou les attaquer avec le but d'occulter ou faire oublier au monde le processus de défaite qui a commencé depuis les élections en Irak. Les EEUU pensent que l'Iran et la Syrie « soutiennent le terrorisme» en Irak et qu'ils sont très dangereux pour Israël.

Bush a déclaré récemment avec un grand sans gêne que « il n'y a pas autant des rentrées du pétrole en Irak, comment ils avaient espérés». Après ceci, il a confessé dans son discours au peuple nord américain qu'il sait que « quelques décisions avaient causés des terribles pertes...» Et que « cette guerre est questionnable». Mais il a exprimé qu'ils vaincront et que le retrait de l'Irak causera des graves résultats, et a dit :»Si nous nous retirons trop tôt de l'Irak, nous aurions laissé nos amis iraquiens seuls, nous aurions donné au monde le message que les EEUU ne tiennent pas leurs promesses, nous ferions les dictateurs locaux se moquer de nous, nous aurions laissé l'Irak à nos ennemis, lesquels ont promis de nous attaquer et le mouvement global terroriste sera encouragé et deviendra encore plus dangereux que jamai». Signale ici « le danger» car la retraite mentionnée, signifie la défaite des EEUU et des autres impérialistes et la victoire des forces résistantes et anti-impérialistes et des peuples du monde.

Les affaires discutées et les recherches d'accords dans les discussions ont été occultées. Mais les « affaires connus» n'étaient pas imprévisibles. L 'ambassadeur des EEUU, Wilson, a résumé les recherches d'accord et les discussions comme suit : « Nous avons la même opinion sur la question d'Iran et la Syrie. Mais nous avons des différences sur quoi faire. Les différences mentionnées sont que les EEUU se préparent pour un bombardement contre la Syrie et surtout contre l'Iran, mais la Turquie pense qu'une pression diplomatique est plus nécessaire maintenant qu'une agression militaire. Le Ministère des Affaires Extérieures a déclaré comme une nécessité de « l'association stratégique» que les sévères déclarations de Ahmednecad, le Président d'Iran, sur Israël ont causé « instabilité et crises de méfiance», en disant « Nous n'avons pas une baguette magique pour le PKK. Les ressources financiers du PKK sont en Europe» et en exprimant que l'Iran ne considère pas le PKK comme une organisation terroriste, l'ambassadeur des EEUU a expliqué qu'il ne considère pas une attaque militaire contre le PKK opportun dans les conditions actuelles, car ils ne souhaitent pas ouvrir un nouveau front alors qu'ils se battent dans le marécage iraquien. Ils savent qu'ils seraient en échec dans une attaque militaire contre le PKK. Et, ils ne souhaitent pas avoir des problèmes avec les forces kurdes en Kurdistan du Sud. De plus, il est une réalité connue que l'existence de la question kurde en Turquie, fait que la Turquie se soumette facilement, comme un esclave sous les ordres des EEUU. Un des ex présidents de la Turquie, Ecevit, a exprimé qu'il ne comprenait pas pourquoi la CIA, La Maussade et autres organisations d'intelligence, avaient donné A. Ocalan à l'Etat turc.

Les EEUU veulent utiliser la Turquie dans le harcèlement, pression et attaque contre l'Iran et la Turquie, et la préparer pour un possible bombardement. Et Turquie est sous la peur inquiète devant la possibilité d'un « Kurdistan indépendant et uni» au Moyen Orient. D'u coté souhaite continuer son alliance et affinité avec la Syrie et Iran contre le mouvement national kurde, car deux parties du Kurdistan sont dans ces régions, et d'un autre coté, pense qu'il peut empêcher la formation d'un « Etat kurde uni», non pas pour agir contre les EEUU, mais seulement pour la collaboration avec ceux-ci et avec Kurdistan du Sud. L'Etat fasciste et colonialiste vit la suffocation et la douleur de former ou d'éclaircir sa politique kurde nouvelle, sous les conditions des nouvelles relations de pouvoir d'alliances et volontés nouvelles au Moyen Orient, en Iran et en Turquie.

 

 

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La Turquie a été envahie par les organisations d'intelligence des EEUU, la première moitié du mois de novembre. Les visites une derrière l'autre de R.Mueller, directeur du FBI et de P. Goss, le directeur de la CIA, ont été suivies de la visite de Jaap De Hoop Schefeer, Secrétaire Général de l'OTAN. Le directeur de la CIA a préféré réaliser la visite avec 22 agents hauts placés. Le FBI a travaillé en collaboration avec le MIT (Organisation Nationale d'Intelligence) de Turquie dans son bureau et avec ses officiers à Ankara pendant une période.

Au même temps, le Général Yasar Buyukanit, lequel a été démasqué comme criminel quand il a protégé les responsables de l'action contre guérilla de l'Etat dans la ville de Semdinli en Kurdistan, a réalisé une visite aux EEUU. En considérant que les autorités civiles et militaires hautes placés des EEUU, ont réalisés des nombreuses réunions similaires dans la récente période, nous pouvons dire que les EEUU font des préparatifs pour attaquer quelques cartes concrètes.

De cette manière, les activités des contre agents des EEUU en Irak, dans d'autres pays au Moyen Orient et en Turquie, ont augmenté au plus haut niveau pour les interrogatoires et prisons secrètes et le développement de l'intelligence vive avec la reconstruction de la CIA et ses activités pour réaliser les mêmes opérations. Et maintenant ces activités se sont intensifiées et combinées avec les objectifs concrets d'attaquer l'Iran et la Syrie, dans le cadre du Projet Grand Moyen Orient.

Il n'existe pas de doute que la fréquence et la mobilité de ces visites, avaient pour objectif d'ap-profondir et d'augmenter la dépendance de la Turquie, laquelle est coincé dans le « proces-sus de l'établissement d'un état» en Kurdistan du Sud et les rébellions au Kurdistan du Nord, à l'impérialisme yankee sous le nom de « association stratégique», plus que l'objectif de répondre à la demande du régime fasciste colonialiste de « liquidation du PKK». Car les EEUU veulent employer la Turquie comme un état de la région conjointement avec Barzani-Talabani au Kurdistan du Sud, pour continuer l'occupation et leur présence militaire en Irak d'une autre manière, pour exercer une pression sur Iran et la Syrie, ou les attaquer avec le but d'occulter ou faire oublier au monde le processus de défaite qui a commencé depuis les élections en Irak. Les EEUU pensent que l'Iran et la Syrie « soutiennent le terrorisme» en Irak et qu'ils sont très dangereux pour Israël.

Bush a déclaré récemment avec un grand sans gêne que « il n'y a pas autant des rentrées du pétrole en Irak, comment ils avaient espérés». Après ceci, il a confessé dans son discours au peuple nord américain qu'il sait que « quelques décisions avaient causés des terribles pertes...» Et que « cette guerre est questionnable». Mais il a exprimé qu'ils vaincront et que le retrait de l'Irak causera des graves résultats, et a dit :»Si nous nous retirons trop tôt de l'Irak, nous aurions laissé nos amis iraquiens seuls, nous aurions donné au monde le message que les EEUU ne tiennent pas leurs promesses, nous ferions les dictateurs locaux se moquer de nous, nous aurions laissé l'Irak à nos ennemis, lesquels ont promis de nous attaquer et le mouvement global terroriste sera encouragé et deviendra encore plus dangereux que jamai». Signale ici « le danger» car la retraite mentionnée, signifie la défaite des EEUU et des autres impérialistes et la victoire des forces résistantes et anti-impérialistes et des peuples du monde.

Les affaires discutées et les recherches d'accords dans les discussions ont été occultées. Mais les « affaires connus» n'étaient pas imprévisibles. L 'ambassadeur des EEUU, Wilson, a résumé les recherches d'accord et les discussions comme suit : « Nous avons la même opinion sur la question d'Iran et la Syrie. Mais nous avons des différences sur quoi faire. Les différences mentionnées sont que les EEUU se préparent pour un bombardement contre la Syrie et surtout contre l'Iran, mais la Turquie pense qu'une pression diplomatique est plus nécessaire maintenant qu'une agression militaire. Le Ministère des Affaires Extérieures a déclaré comme une nécessité de « l'association stratégique» que les sévères déclarations de Ahmednecad, le Président d'Iran, sur Israël ont causé « instabilité et crises de méfiance», en disant « Nous n'avons pas une baguette magique pour le PKK. Les ressources financiers du PKK sont en Europe» et en exprimant que l'Iran ne considère pas le PKK comme une organisation terroriste, l'ambassadeur des EEUU a expliqué qu'il ne considère pas une attaque militaire contre le PKK opportun dans les conditions actuelles, car ils ne souhaitent pas ouvrir un nouveau front alors qu'ils se battent dans le marécage iraquien. Ils savent qu'ils seraient en échec dans une attaque militaire contre le PKK. Et, ils ne souhaitent pas avoir des problèmes avec les forces kurdes en Kurdistan du Sud. De plus, il est une réalité connue que l'existence de la question kurde en Turquie, fait que la Turquie se soumette facilement, comme un esclave sous les ordres des EEUU. Un des ex présidents de la Turquie, Ecevit, a exprimé qu'il ne comprenait pas pourquoi la CIA, La Maussade et autres organisations d'intelligence, avaient donné A. Ocalan à l'Etat turc.

Les EEUU veulent utiliser la Turquie dans le harcèlement, pression et attaque contre l'Iran et la Turquie, et la préparer pour un possible bombardement. Et Turquie est sous la peur inquiète devant la possibilité d'un « Kurdistan indépendant et uni» au Moyen Orient. D'u coté souhaite continuer son alliance et affinité avec la Syrie et Iran contre le mouvement national kurde, car deux parties du Kurdistan sont dans ces régions, et d'un autre coté, pense qu'il peut empêcher la formation d'un « Etat kurde uni», non pas pour agir contre les EEUU, mais seulement pour la collaboration avec ceux-ci et avec Kurdistan du Sud. L'Etat fasciste et colonialiste vit la suffocation et la douleur de former ou d'éclaircir sa politique kurde nouvelle, sous les conditions des nouvelles relations de pouvoir d'alliances et volontés nouvelles au Moyen Orient, en Iran et en Turquie.