Dans le mois dernier, en Turquie et au Kurdistan du Nord, ont eu lieu beaucoup d'actions. Tandis que les mesures néolibérales et la concentration des attaques aux droits démocratiques étaient dans le centre des protestes de la classe ouvrière et des opprimés, continuaient aussi les actions destinées à demander des comptes aux auteurs des provocations organisés de la part des « contre-forces» de l'Etat, dans la ville de Semdinli, en Kurdistan du Nord. Dans son 5ème anniversaire, le massacre dans les prisons du 19 décembre, a été le thème des divers-es actions, dès manifestations et meetings pacifiques aux bombardements et manifestations hors la loi avec des pistolets. Après les provocations persistantes, lynchages, la terreur des détentions et emprisonnements, encore un cas de violation en détention policière, a été inclus à l'acte criminel de l'Etat. Sevda Aydin, activiste du centre culturelle et d'art révolutionnaires, a été violée pendant sa détention policière. Conti-nuaient, sous diverses formes, des attaques contre el peuple kurde, même des descentes de police contre des journaux et mis à feu des bâtiments des partis politiques.
Orhan Pamuk, un auteur connu internationalement est devenu la cible d'une provocation civile fasciste, pendant le jugement où il était accusé suite à sa déclaration dans une revue suisse:«Approximativement 30000 kurdes et un million d'arméniens ont été assassinés en Turqui». Seulement ce cas est suffisant pour montrer la grande menace et danger dans lesquels se trouve la liberté d'opinion en Turquie. Le dernier mois de l'année 2005, les travailleurs de Turquie et du Kurdistan du Nord ont augmenté leur lutte dans ce contexte.
Nous vaincrons la terreur d l'isolement !
Le 19 décembre 2000, a été menée une opération dans une vingtaine des prisons et malgré la résistance de plusieurs jours, dans laquelle ont été assassinés 28 révolutionnaires et il y a eu beaucoup des blessés par coups, bombes à gaz et des produits chimiques, les prisonniers ont été transférés à des cellules d'isolement du type F, construites récemment. L'isolement dans des prisons du type F continue à ce jour. Tandis que le jour anniversaire du 19 décembre 2000, les organisations révolutionnaires et démocrates ont organisé différentes actions et protestes, la ESP (Plateforme Socialiste des Opprimés) a mené une campagne contre la détention en isolement. Les activistes de l'ESP ont signalé que les assassins et responsables du massacre du 19 décembre 2000, opèrent aujour-d'hui à Semdinli. Il a été lié la campagne contre l'isolement avec un appel contre les actions de provocation en Semdinli et a été dit : « Les Serhildans (soulèvements) vaincront à Semdinli et dans les cellules d'isolement la vie vaincra».
Pendant la campagne commencé en novembre et qui a duré un mois, ont été distribué des pamphlets, prononcé des discours d'agitation dans les rues et ont organisés des débats afin d'éclaircir les travailleurs sur les objectifs de l'Etat avec les cellules d'isolement. Les activistes de l'ESP ont appelé les ouvriers et les travailleurs à prendre position contre la détention en isolement, par divers moyens comme des barrages dans les rues et mettre des pancartes dans des ponts connus. Dans la semaine, commençant avec le 19 décembre, ont organisé conjointement avec d'autres groupes révolutionnaires, des déclarations de presse et des meetings dans plusieurs villes. Le PCML a conduit des actions de violence révolutionnaire et ainsi a demandé des comptes pour le massacre du 19 décembre 2000. Le 19 décembre 2005, le PCML a organisé des actions armées hors la loi, avec des cocktails molotov dans quelques quartiers d'Istanbul. Le 20 décembre a organisé une action hors la loi avec des cocktails molotov dans une place dans le quartier d'Istanbul Taksim, où il est interdit de réaliser des actions depuis 30 ans et a fixé une pancarte avec la consigne « nous vaincrons la terreur de l'isolement». Le PCML a dit que cette action soit au même temps une réponse à l'interdiction pour les travailleurs de faire des actions au Taksim. Aussi, il a annoncé qu'il continuera à demander des comptes pour le massacre du 19 décembre2000, et que finalement hissera le drapeau du socialisme dans les forteresses du fascisme. Le 21 et 22 décembre 2005, les milices du PCML ont allumé le feu à des voitures de luxe, dans les quartiers bourgeois et ainsi ont porté le feu à Istanbul allumé à Paris par les migrants. Dans une déclaration à la 20 de décembre 2005 Istanbul-Taksim presse a été dit :
« Malgré une résistance héroïque, ont été assassinés 28 détenus révolutionnaires dans les agressions du 19 décembre 2000 sur 20 prisons différentes. Nous n'avons pas oublié qui a planifié et réalisée ce massacre et nous continueront à leur demander des comptes. La dictature fasciste continue avec la terreur de l'isolement et la répression dans les prisons du type F, introduits avec le massacre du 19 décembre 2000. Mais les prisonniers révolutionnaires offrent encore résistance contre les massacres et les dures conditions d'isolement dans les prisons. Le drapeau de la lutte révolutionnaire continue à être haut à l'intérieur et à l'extérieur des prisons».
La population de Semdinli n'est pas seule !
En novembre 2005, les contre forces de l'Etat ont été surpris sur le fait dans la ville de province de Semdinli au Kurdistan du Nord, par la population kurde au moment où ils perpétraient un attentat avec des bombes. A la suite de ceci, les travailleurs en Turquie, et surtout au Kurdistan du Nord, ont organisé beaucoup d'actions diverses afin de demander des comptes pour les actions à Semdinli et obtenir éclaircissement sur les crimes de la contre guérilla. Tandis que le peuple kurde au Kurdistan du Nord a répondu aux actions de la ville dans la province de Semdinli avec des Serhildans (soulèvements), les travailleurs dans l'ouest ont br»lé des torch-es pour ainsi exprimer leur protestation. Dans ces actions a été demandé surtout le châtiment de des auteurs des faits à Semdinlli, la dissolution du JITEM (Service d'Intelligence de la Gendarmerie) et d'autres organisations des contre guérilla. Un groupe composé par des organisations révolutionnaires, organisations de masses démocratiques et intellectuelles, entre celles-ci aussi la ESP, sont parties à Semdinli et ont mené des enquêtes. Ainsi ont amené les revendications du peuple kurde : liberté et fraternité aux ouvriers et travailleurs de toute la Turquie. Les visites des chefs de la CIA et du FBI, et des représentants de l'OTAN en Turquie et la visite du général Yasar Büyükanit aux Etats-Unis, étaient aussi à l'ordre du jour des ouvriers et des opprimés, au marge des protestes contre les attentats aux bombes à Semdinli.
Dans les proteste contre les actions en Semdinli, surtout les actions de violence révolutionnaire dans l'ouest ont pris une importance particulière. Le PCML a bombardé les bâtiments des activistes du MHP, lesquels ont un rôle de direction dans les forces fascistes dans les contre actions et a jeté des cocktails molotov. Au Kurdistan du Nord, des maisons des forces de police deviennent la cible de la violence révolutionnaire du PCML. Le PCML demande des comptes aux forces fascistes, lesquelles sont aussi responsables du massacre du 19 décembre 2000, et a manifesté :» nous n'accepteront pas que des bandes fascistes attisent l'adversité entre les peuple».
L'Etat rendra comptes pour les nombreux cas des violations pour lesquels il est mandataire !
Le 12 novembre 2005, Sevda Aydin, travailleuse du centre culturel et d'art révolutionnaire « Ekin», a été séquestrée en pleine rue et violée par la police. En marge du récent concept d'a-gression de l'Etat, a montré lui-même, a travers la terreur croissante des détentions contre les forces révolutionnaires et patriotes, les attaques à la population kurde, les lynchages et la provocation à Semdinli, et avec le dernier cas de violation en détention préventive, que continuera à utiliser ses sales méthodes de guerre.
Après cet événement, les camarades du centre culturel « Ekin», ont organisé ensemble avec bien d'autres, comme des organisations démocratiques des femmes, entre celles-ci la EKB, différentes actions de solidarité sou la consigne « L'Etat violeur rendra des comptes !», dans diverses villes de Turquie et du Kurdistan du Nord, comme Istanbul, Izmir et Ankara.
La violation en détention préventive était une méthode torture très utilisé par la dictature fasciste. La campagne avec son congrès final, organisé par l'EKB, dans l'année 1998 contre le harcèlement sexuel et la violation en détention préventive, a pu, jusqu'un certain point, refouler cette agression. De cette manière ont montré publiquement le visage violeur de l'Etat.
Les travailleurs se rencontrent contre les attaques néolibérales à Ankara
Le 17 décembre 2005, 50 000 travailleurs, venant des différentes villes de Turquie et du Kurdistan, se sont retrouvés à Ankara dans un meeting organisé par de syndicats et des organisations ouvrières contre le budget de l'Etat pour 2006, imposé par le FMI et contre quelques attaques néolibéraux, quelques uns, déjà passé sous forme des lois et d'autres encore pas. Les activistes de la ESP, avaient distribué des pamphlets avant le meeting avec le contenu « Les ouvriers et travailleurs doivent utiliser le grand meeting à Ankara avec le but de demander des comptes du capital et du gouvernement de l'AKP, dans une résistance populaire unifiée. A travailler ! et ont appelé les ouvriers et travailleurs à exprimer leur force. Avec ce meeting la lutte s‘est unifiée contre les attaques néolibérales, ave la lutte contre les attaques fascistes de l'Etat, entre autres, à Semdinli.
|