Le PCML a été fondé le 10 septembre 1994. Les documents du Congrès de Fondation (1er Congrès) forme sa base théorique, politique et organisatrice. Cet événement historique qui s'appelle « La Révolution d'Unité» est un produit d la lutte menée à l'intérieur et entre les organisations, à partir de 1989 par les organisations précurseur du parti, lesquelles avaient l'idée « d'unité des communistes». Le TDKH (Mouvement Ouvrier Communiste Révolutionnaire de Turquie) et le TKIH (Mouvement Ouvrier Communiste de Turquie) s»unifient en 1991. En conclusion de la lutte qui a continuée pendant des années le TKH et le TKP/ML Hareketi (Parti Communiste de Turquie/Marxiste Léniniste Mouvement) ont célébré le Congrès d'Unité et le PCML-F (Parti Communiste Marxiste Léniniste Fondation) a été fondé. Dans la Première Conférence du Parti et de l'Unité qui a été réalisée en septembre 1995, a été obtenue l'unité entre le PCML-F et le TKP/ML (YIO) (Parti Communiste de Turquie/Marxiste Léniniste/Organisation de Reconstruction) et l'annexe « Fondation» a été aboli. Ainsi le PCML a été fondé à travers l'union de quatre organisations communistes. UN BREF APERCU DU MOUVEMENT COMMUNISTE AVANT LE PCML La première organisation communiste en Turquie, le TKP (Parti Communiste de Turquie), a été fondée par Mustafa Suphi et ses camarades l'année 1920 à Bacu. Le soutient de l'Internationale Communiste a été obtenu. Il mène une activité dans la ligne marxiste léniniste dans sa théorie et dans son action. Dans cette période M. Suphi et ses camarades ont essayé d'entrer au pays pour lutter contre l'occupation impérialiste en Turquie. N'avaient pas besoin de l'occulter à l'Etat turc ni à Mustafa Kemal. Mais la sympathie et l'attraction crée par la Révolution d'Octobre et par la pratique du socialisme a fait peur aux classes dominantes turques. Et ceux-ci ont noyé M. Suphi et ses 14 camarades dans la Mer Noire le 29 janvier 1921. Ceci a été un coup dur pour le TKP. Le TKP a soutenu le pouvoir bourgeois Kémaliste en Turquie, après la mort de M. Suphi. A adopté une ligne sociale chauviniste devant la question kurde. A attendu « démocratisation» et aussi « une révolution socialiste» de M. Kemal. Le TKP avait un caractère opportuniste dans cette période. L TKP est devenu en Turquie une branche du révisionnisme moderne à partir de 1956. Il n'avait pas réalisé une action ou influence politique notable dans la lutte pour la révolution et le socialisme. A cause de ceci, la période de 1921 à 1971 s'appelle les années du pacifisme et du réformisme du révisionnisme de 50 ans du TKP. Dans ce sens le mouvement révolutionnaire né en 1971, n'est pas issu d'un héritage sérieux révolutionnaire en dehors du TKP de 1921, sous la direction de m. Suphi. Le THKO (Armée de Libération Populaire de Turquie), THKP-C (Parti de la Libération Populaire de Turquie-Front) et TKP/ML (Parti Communiste de Turquie/Marxiste Léniniste) lesquels ont surgi dans l'année 1971 comme organisations révolutionnaires ont mis en miettes le révisionnisme, réformisme et collaborationnisme des classes avec leurs idées et actions révolutionnaires. Dans les années 1960, l'approfondissement de la différentiation sociale et des contradictions des classes, le développement de la conscience nationale kurde, l'influence des mouvements de jeunesse anti-impérialistes et antifascistes de 1968 dans le monde ont ouvert le chemin pour le développement de la vague des mouvements de la classe ouvrière, les masses travailleuses et la jeunesse universitaire de Turquie et du Kurdistan du Nord. Pendant ces années, les luttes de la jeunesse contre l'OTAN et la 6ème Flotte des EEUU, la résistance du 15 et 16 juin de la classe ouvrière, le fait que le TIP (Parti des Ouvriers de Turquie) avait gagné 15 places au parlement et des phénomènes similaires faisaient devenir les idées progressistes, révolutionnaires et socialistes dans une force matérielle à l'intérieur des masses. Le 12 mars 1971 a eu lieu le Coup d'Etat militaire. Ce Coup fasciste a été soutenu par l'impérialisme yankee. La bourgeoisie turque collaboratrice et les généraux ont initié la répression, l'illégalité et les restrictions prétendant que les droits et libertés partielles gagnées par la Constitution de 1961 « étaient trop pour le mouvement social». Les organisations que nous avons mentionnées plus haut, ont été vaincues par le Coup Militaire fasciste en luttant contre ce coup sous des conditions de proportions des forces inégales. Mais elles ont laissé des valeurs et des forces révolutionnaires et communistes en Turquie et au Kurdistan du Nord. La volonté révolutionnaire et la détermination de lutte, la solidarité révolutionnaire et la camaraderie de lutte qui est restées de ces jours jusqu'à aujourd'hui continuent à être la fermentation du mouvement révolutionnaire. Il n'y a pas de doute que la défaite de 1971 et la situation du Mouvement Communiste International ont été discutées aussi dans le champ révolutionnaire turc. Les cadres de THKO et quelques uns de THKP-C, ont évalué leurs lignes aventurières petites bourgeoises et ses opinions sur la question nationale kurde et la période du pouvoir Kémaliste, d'une manière critique. Ont décidé de lutter contre l'Union Soviétique sociale-impérialiste et contre le révisionnisme moderne. Ont adopté la ligne du PCC (Parti Communiste Chinois) et du PTA (Parti du Travail Albanais). Le TKP-ML avait adopté cette ligne de principe. Dans la deuxième moitié des années 70 le TDKP (Parti Communiste Révolutionnaire de Turquie) a été fondé à la place du THKO. Le TKB (Union des Communistes Révolutionnaires de Turquie) lequel s'était uni avec le TDKP, dans cette période s'est séparé de celui-ci et a continué son activité comme un groupe. Dans la deuxième moitié des années 80, un autre groupe qui s'appelait TDKH s'est séparé du DTKP. Et le THKP-C ML (qu'après prendrait le nom de TKH) a été fondé au lieu du THKP-C. Le TKP-ML s'est divisé en deux organisations dont les noms étaient TKP-MLet TKP-ML Hareketi. Nous pouvons dire que quelques excisions et divisions qui n'étaient pas basées sur des différences principales se sont réalisées dans le mouvement révolutionnaire ainsi que celles qui étaient inévitables. En étant séparées mais subissant influence l'une de l'autre et du mouvement international communiste, ces organisations et groupes ont obtenu un progrès théorique et politique dans une ligne parallèle jusqu'en 1979. Peut-être qu'elles avaient quelques différences dans leurs lignes politiques et dans leurs activités organisatrices mais leurs pratiques sociales montraient que tous marchaient dans le même sol. Une partie de ces groupes se sont auto annoncés comme groupe communistes après avoir refusé en 1979 « la théorie des trois monde» exposée par le Parti Communiste Chinois et après d'une lutte contre la pensée de Mao Tse Toung. Nous pouvons voire que le mouvement révolutionnaire et communiste a été confronté aux attaques du coup militaire fasciste quand il y avait une situation disperse, divisée et marquée par la spontanéité révolutionnaire. LE COUP MILITAIRE DE 1980 ET LE MOUVEMENT REVOLUTTIONNAIRE Les partis, les groupes et les organisations en Turquie que n'ont pas pu s'organiser comme une organisation révolutionnaire de guerre et ont eu une pratique politique à caractère spontané révolutionnaire ont souffert une défaite sérieuse des graves conséquences politiques, idéologiques et organisationnels devant le coup d'Etat militaire fasciste en 1980. Des dizaines de milliers des cadres et des militants révolutionnaires ont été emprisonnés, des centaines des milliers des partisans de la révolution ont été torturés et des milliers des révolutionnaires ont été assassinés. Entre 1980 et 1987 il y a eu une interruption de l'activité révolutionnaire ou l'activité a été très faible. Dans ces années, quand le mouvement révolutionnaire et communiste avait subi une grave défaite, le mouvement national kurde, sous la direction du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK), lequel est révolutionnaire nationaliste, a surgi en initiant la guerre des guérillas, après une courte période de préparation et d'organisation d'arrière garde au Kurdistan du Nord. Le PCML n'est pas né comme u produit de la spontanéité ou par hasard, mais complètement comme une nécessité fondamentale inévitable de la lutte des classes dans cette période historique. Car la grève de NETAS à Istanbul en 1987, la vague des mouvements de la classe ouvrière de 1989 qui s'appelait « le mouvement de Printemps», la grève générale et la résistance des miniers à Zonguldak signalaient notablement le manque ou la faiblesse d'une direction communiste. La lutte de libération nationale kurde était arrivée au niveau d'une révolution et les conditions d'avancer dans une lutte révolutionnaire unie étaient arrivées en accomplissant le devoir de « créer un mouvement ouvrier révolutionnaire» en Turquie. Le devoir de solidarité internationale avec le mouvement national kurde s'est manifesté avec toute sa force. Il n'y a pas de doute que pour accomplir ces devoirs historiques et politiques il fallait vaincre la situation désorganisée, disperse e inefficace du mouvement communiste. Les efforts et tentatives nés dans ces conditions politiques signifiaient au même temps une volonté et position révolutionnaires devant la ruine idéologique et organisationnelle crée par le procès de dissolution du révisionnisme moderne en Union Soviétique, dans les pays de l'Europe Centrale et de l'Europe de l'Est en 1989-1991 et la propagande contre révolutionnaire de la bourgeoisie impérialiste contre la théorie et la pratique du socialisme. Pour cette raison le PCML signifie aussi le désir d'accomplir les devoirs historiques et politiques nés de la révolution pour la libération nationale. C'est la nécessité d'unir la haine révolutionnaire de la classe ouvrière et du peuple kurde. Le PCML est le produit de l'ouverture d'un deuxième front, un front de la classe ouvrière dans l'ouest. Est une réponse à la demande et au désir des travailleurs de s'unir. UNE EXPERIENCE COURONEE DE SUCCES : LA LUTTE DES COMMUNISTES POUR S'UNIR ET SES RESULTATS. Les groupes communistes précurseurs du parti ont développés une méthode et un plan spécial pour s'unir. Cette expérience d'unité est une expérience importante autant pour l'unité des groupes et forces communistes dans chaque pays comme pour l'unité du mouvement international communiste. Premièrement agissent en partant d'une évaluation objective du mouvement communiste. Et ils ont fait les définitions fondamentales : Le mouvement communiste (et aussi le mouvement révolutionnaire) en Turquie est désorganisé, disperse, inefficace et pratique la spontanéité révolutionnaire. Cette situation montre le devoir de fixer une stratégie et une tactique dans le politique et dans l'organisationnel, de centraliser des communistes avec une volonté révolutionnaire et obtenir l'unité des ceux-ci. L'unité des communistes est un problème de principes et est un devoir politique actuel. En marge de son caractère de principe, affectent tous les individus et organisations communistes et nécessite une lutte que ne peut être repoussée à l'avenir. Les organisations communistes doivent créer la volonté et l'orientation vers l'unité pour la lutte d'en bas et d'en haut et pour les discussions planifiées. Le point de départ dans les activités d'unité a une relation avec les choses en commun et non dans les différences. Chaque organisation doit organiser des discussions à l'intérieur d'elles mêmes et aussi entre les diverses organisations. Les communistes de chaque organisation doivent participer dans les discussions en tant qu'individus. Il faut mener les discussions d'unité dans le processus pour développer l'action et la pratique politique mutuelle. La sécurité de l'unité des communistes est l'avancée et un saut en avant politique. Seulement avec une approximation et des relations de confiance en base à des relations réelles il est possible de surmonter les préjugés et les murs crées par certains groupes. Cette expérience et cette méthode spéciale d'unité du PCML est une conquête pour le mouvement international communiste. POUR QUOI LUTTE LE PCML? Le PCML dirige l'unité, politisation et l'organisation de la classe ouvrière et les masses travailleuses dans la lutte pour la libération et pour le socialisme pour finir avec le capitalisme, avec le système d'esclavage salarial ; il montre un grand degré de d'intérêt et de responsabilité face à tous les problèmes et lutte pour tous les opprimés. Créant des liens avec les masses à différents niveaux, le PCML s'occupe dans la lutte des masses avec toutes les petites et grandes contradictions entre le système capitaliste et les masses travailleuses ; lutte et mobilise les masses à la lutte. Sa manière de se rentrer en relation avec les masses est différente de celle des partis bourgeois que considèrent les masses comme des hordes et que les humilient et aussi des partis et organisations révolutionnaires petites bourgeoises qui regardent les masses avec mépris et qu'établissent de relations bureaucratiques avec elles. Cette manière qui a été exprimé avec le Congrès de Fondation comme « transformation dans l'activité mutuelle» comprend établir des relations avec les masses à l'intérieur de la lutte, les transformer à l'intérieur de la lutte et changer en apprenant des masses dans la lutte. L'objectif du PCML est faire tomber le capitalisme et construire le socialisme. Libérer la lutte d'émancipation du prolétariat qui est l'émancipation de l'humanité. Et lutter pour un monde sans frontières, sans exploitation, sans classes, sans état. Etant ainsi, le socialisme est le système qui sera fondé pour la classe et les masses travailleuses, l'objectif du PCML es de conduire la participation des ceux-ci dans la vie économique, politique et sociale. Le PCML appelle la classe ouvrière, les paysans travailleurs, les pauvres de la ville et de la campagne, le femmes travailleuses, la jeunesse, le peuple kurde et les intellectuels à lutter pour la révolution anti-impérialiste et démocratique et pour le socialisme afin de faire tomber le pouvoir bourgeois, qui est le n�ud des contradictions sociales de classes et nationales, pour établir le pouvoir ouvrier-travailleur. Le programme de la révolution anti-impérialiste et démocratique du PCML est basée dans l'Union Soviétique des Républiques Ouvrières-Travailleuses, dans l'unité volontaire, égale et libre des peuples de Turquie et du Kurdistan du Nord. Le PCML défend la révolution prolétaire et la dictature du prolétariat et lutte pour ceci pour arriver à un monde de communisme qui est l'émancipation du prolétariat et de l'humanité. Croit que les dures luttes des classes continueront devant le danger de restauration sous le pouvoir prolétaire et croit que la dictature du prolétariat sera une véritable démocratie, sera la démocratie socialiste et l'a comme objectif. La définition suivante sur la situation du Mouvement International Communiste prends lieu au programme du PCML « 14. Les révisionnistes modernes qui ont pris le pouvoir en Union Soviétique en 1956, ont initié un processus de destruction du socialisme et de restauration du capitalisme. La contre révolution, initiée par Krushchov et continué par la camarilla de Brezhnev, a converti l'Union Soviétique dans un pays social-impérialiste dans lequel dominait le Capitalisme Monopoliste d'Etat et la dictature du prolétariat a été substituée par la dictature d'une bourgeoisie bureaucratique. 16. La théorie marxiste-léniniste contemplait la possibilité de restauration du capitalisme dans une société socialiste sous les conditions de cercle impérialiste. A souligné que l'agression impérialiste, la contre-révolution interne et la trahison blanche à l'intérieur du parti ce sont les causes et chemins possibles pour ceci. La contre-révolution dans l'Union Soviétique a été possible par la dégénération bureaucratique et la trahison à l'intérieur du Parti. 17. Vers la fin des années 80, le champ révisionniste sous la direction de l'Union Soviétique a échoué, suivi par l'échec de la même Union Soviétique. La bourgeoisie mondiale a utilisé cet événement pour commencer une furieuse offensive idéologique. Dans tous leurs moyens de propagande a diffusé que « le socialisme est mort». La restauration du capitalisme en Albanie, l'e flambeau rebelle du socialisme, a été un élément essentiel de cet événement et de la conspiration impérialiste. A été une conséquence de la trahison liquidatrice. Le Parti du Travail d'Albanie, dirigé par Ramiz Alia, a donné le pouvoir aux serviteurs de l'impérialisme. En contraste avec le processus de restauration du capitalisme en Union Soviétique, initialement il y a eu une réaction des masses, mais le fait que les communistes à l'intérieur du Parti, et surtout à l'intérieur de la direction, n'ont pas risqué une guerre civil, a empêché le triomphe sur la contre-révolution au moyen de la violence révolutionnaire des ouvriers et des travailleurs. 19. Aujourd'hui, sauver l'abîme entre les conditions objectives et subjectives de la révolution mondiale prolétaire, ainsi comme constituer et fortifier les détachements communistes d'avant-garde de la classe ouvrière dans chaque pays, est d'importance vitale. Accomplir ce devoir, nécessite une lutte idéologique décidée et sans engagement contre els attaques idéologiques de la bourgeoisie, ainsi comme contre le maoïsme, le trotskisme et toutes les formes de révisionnisme». (Documents du Congrès d'Unité, p.47-48). LA LIGNE DE DEVELOPPEMENT POLITIQUE ET ORGANISATIONEL DU PCML Le PCML a développé les lignes principales de sa lutte politique dans sa propre pratique. Quelques unes de ces lignes principales sont tactiques et des consignes politiques, volonté révolutionnaire, intervention d'avant-garde, réflexe politique, capacité d'inclure et d'unir d'autres forces, des campagnes politiques actives, politique dirigée vers l'extérieur, utilisation de tous les moyens et formes de lutte. Le PCML a été la force la plus avancée avec son niveau de préparation et sa perspective de généraliser le soulèvement, pendant la rébellion de Gazi, un quartier des travailleurs à Istanbul. Le régime fasciste a tué Hasan Ocak, délégué du Congrès de Fondation, en détention policière. Le Parti a mené une campagne de lutte contre les disparitions en détention policière au nom de Hasan Ocak. Les consignes de ce processus ont été en premier lieu « ils l'ont arrêté vivant, vivant nous le voulons», après « nous voulons la liste des disparus», « Ne te taie pas, si tu te tais, tu seras le prochain». Les actions des Mères du Samedi ont commencé et ont exercé une grande pression sur le régime fasciste avec la campagne contre les disparitions. Cette lutte a été élevée à une échelle internationale avec la Conférence Internationale Contre les Disparitions, qui a été réalisée en mai 1996. De cette manière, la lutte contre les disparitions dans le monde a gagné une nouvelle position avec le Comité International Contre les Disparitions. Le 14 septembre 1995, la radio Mert FM a été prise d'assaut par les commandes rouges du PCML. Ils ont appelé les masses ouvrières et travailleuses au Parti pendant 40 minutes. Dans l'anniversaire du soulèvement de Gazi, en mars 1996, les commandos du PCML ont réalisé un assaut au district Sultanbeyli d'Istanbul, ils ont ouvert le feu sur les bâtiments des institutions d'Etat pendant longtemps et les ont détruites. Le PCML a réalisé la Première Conférence des Ouvriers à la fin de l'année 1985 pour se construire à l'intérieur de la classe ouvrière, pour devenir une force politique se nourrissant du mouvement de la classe ouvrière et pour surmonter le manque des relations entre le mouvement ouvrier et le mouvement communiste, qui continue à fuir par différents canaux. La Conférence a été organisée en forme clandestine. La Conférence des Ouvriers a servi à l'élévation du niveau de compréhension idéologique, politique et organisationnel des cadres participants, le développement de la compréhension du socialisme et de la critique actuelle du capitalisme, a fait des contributions importantes dans la compréhension de la relation entre la lutte économique et la lutte politique de la classe ouvrière et a été un moyen effectif pour éduquer les cadres. L'éclaircissement de la classe ouvrière et sa mobilisation à la lutte sont toujours à l'ordre du jour du parti. Tandis qu'il éclairci les ouvriers contre les agressions, l'oppression et l'exploitation du régime politique, des institutions impérialistes comme le FMI et la Banque Mondiale, l'organisation des ouvriers en syndicats et associations et importante pour le parti et il l'a dirigé dans cette direction. Il a fait des efforts pour s'approprier de chaque étincelle s'allumant dans la classe ouvrière contre les privatisations, la tertiarisation, et les licenciements, des attaques contre les droits d'association des ouvriers et pour augmenter et les étendre. La Conférence des Ouvriers qui ont été réalisées dans l'année 2005, ont été des importantes plateformes, où les ouvriers ont discuté, exprimé leurs mêmes problèmes et ont cherché des solutions dans les tribunes. 15 mil travailleurs ont participé dans le bloc PCML le 1er mai 1996, devant l'activité du parti dans un processus d'augmentation du mouvement des masses et l'appel à la manifestation du 1er mai. Le parti a perdu un ouvrier communiste, Hasan Albayrac, dans l'affrontement avec la police. Les militants du parti ont été la force la plus massive dans les affrontements installés après la manifestation. L'Organisation Communiste de la Jeunesse (KGO) a poussé le mouvement juvénile avec une forme d'intervention d'avant-garde pendant la lutte de la jeunesse universitaire en 1996. Les jeunes communistes ont continué avec une volonté et ténacité révolutionnaire la grève de la faim que les autres organisations juvéniles ne l'ont pas appuyé en la critiquant d'être « une action ordinaire et passive». Cette action, que signifiait un pas au delà d'une simple protestation, s'est généralisée à toutes les universités. Et la grève de la faim a mobilisé toute l'énergie et la haine cumulées par le mouvement juvénile pendant plusieurs années. Le 4 février, 5 mil jeunes sont entrés dans la Place de Taksim à Istanbul, que a té et continue à être interdite aux actions. Le 5 février, 3 mil jeunes ont pris la Place de Kizilay à Ankara. La PCML a signalé le chemin à la jeunesse « Aux rues, à l'action, à la liberté». La violation et l'abus sous détention policière est une agression très utilisée par le régime fasciste contre les femmes politiques. Le fait que Asiye Guzel Zeybek a écrit un livre sur ce que lui est arrivé en tant que femme et qui a souffert ce type d'agression, a été un levier de cette lutte contre l'agression de viol et d'abus sexuel. Une Conférence sur ce thème a été réalisée l'année 2000 par les femmes communistes. La Conférence contre le Viol et l'Abus Sexuel en Détention, a été réalisé après une activité politique de 6 mois. La Conférence a été témoin de l'honneur élevé, de la voix et de la bravoure des femmes turques et kurdes, lesquelles avaient souffert de la torture et des viols et ont été humiliées sexuellement pendant les détentions policières et les guerres. Les femmes ont exprimé à haute voix qu'elles avaient été violées et ont jugé l'Etat tortionnaire. Cette Conférence qui a laissé une grande influence et dans laquelle ont participé mil femmes, obtient un recul important de la torture sous forme de viol de l'Etat et ainsi a montré qu'elle a atteint ses objectifs. La nouvelle loi du travail, que dictait à la classe ouvrière des conditions d'esclavage dans le travail, a été approuvée à l'Assemblée Nationale accompagnée par un grand silence des syndicats et l'opposition en 2001. Le PCML a initié une activité contre cette nouvelle loi du travail, sous le nom de « marche du drapeau». Le drapeau bleu avec la consigne « non aux lois d'esclavage» flottait déjà dans les usines, dans les régions ouvrières et dans les quartiers des travailleurs dans une ou autre ville. La lumière déployée pour cette activité d'éclaircissement a produit un réveil d'énergie dans la lutte de la classe ouvrière et l'a incité. Le PCML est intervenu d'une manière révolutionnaire dans les élections du 3 novembre 2002 et du 28 mars 2004. Le PCML que s'organise légal et clandestinement, a utilisé les élections comme un instrument pour se retrouver avec les ouvriers et travailleurs et pour les mener vers le socialisme, comme alternative sans mépriser les opportunités de la lutte et l'activité légale et ouverte. Il y a des lignes de démarcation politiques fortes et des principes entre le PCML et les partis réformistes que déclarent la « légalité bourgeoise» à être son tout. Et aussi lutte contre la conception de boycott des élections comme une tactique « inchangeable» du mouvement révolutionnaire turc. En considérant les processus des élections comme un instrument de la propagande du socialisme et de la révolution, le PCML défi et passe outre la « légalité bourgeoise» d'une manière légitime. Les candidats socialistes indépendants ont organisé des meetings électoraux, se sont promené dans des véhicules avec des mégaphones, ont éclairci les masses avec le travail d'agitation. Le PCML est la force la plus détachée entre les organisations révolutionnaires qui donnent une active lutte politique dans notre région, contre l'agression et l'occupation impérialiste contre le moyen Orient. A été dans le centre du mouvement révolutionnaire dans la grande lutte contre le sommet de l'OTAN qu'a eu lieu en juin 2004 à Istanbul. A donné sa couleur aux affrontements dans les rues et la guerre des barricades le 29 juin, grâce au niveau de préparation, ses définitions tactiques et son ample horizon. A mené une lutte efficace contre le sommet de l'OTAN en utilisant toutes les formes et moyens de lutte. Le sommet de l'OTAN n'a pas pu être différé mais l'OTAN a été enfermée à Istanbul. L'année 2004, le PCML a utilisé le 10ème anniversaire de sa fondation comme instrument pour augmenter son activité politique, pour appeler les ouvriers, travailleurs, jeunes et les femmes aux files du parti. Au résumé Le PCML qui a obtenu l'unité des communistes avec la force de volonté révolutionnaire a prouvé le rôle de la volonté révolutionnaire dans sa propre pratique. Et après ceci il a fait de la volonté et de l'action révolutionnaire un concept principal pour solutionner les problèmes qui étaient arrivés dans son activité politique et organisationnelle. L'élan et le saut dans la lutte politique, les plans effectifs d'activité, le style d'intervention d'avant-garde, le réflexe politique, la violence révolutionnaire de la critique dans la vie de l'organisation, la lutte contre la spontanéité révolutionnaire et le bureaucratisme, et la confiance en soi même et l'initiative politique, l'organisation des cadres d'une manière révolutionnaire et la conscience des ceux-ci dans leur propre rôle, etc. ce sont les succès de la volonté révolutionnaire. La fondation du PCML par les organisations précurseurs, lesquels se sont dissolues pour former un parti fort, comme un besoin de la lutte des classes et au même temps, une critique de la pratique de la conception que idéalise l'organisation et que comprend l'organisation comme un objectif par soi même. En comprenant sans équivoque la relation entre l'objectif et l'instrument avec cette critique, les organes et les cadres du PCML ont commencé à utiliser divers moyens et formes de lutte, tactiques et consignes dans la lutte des classes avec un grand succès. Le PCML constamment a défié les limites dans son activité politique et organisationnelle. Est en train de vaincre l'attitude de maintenir le statu quo et l'opportunisme avec beaucoup des concepts comme : « avancer dans le chemin juste», « se mettre en marche», « la marche enthousiaste», « courir, sauter», « allons pour les masses», etc. La conception et les activités du PCML dans les coordinations et conférences régionales, son intervention révolutionnaire active dans le mouvement international des masses, sont importantes activités politiques. Selon l'opinion du PCML, les actions de violence révolutionnaire des masses ou des groupes contre la violence contre révolutionnaire, sont des instruments légitimes et effectifs de la lutte politique. Le PCML a augmenté le niveau d'organisation, déplie son organisation et l'étend. Cree des nouveaux moyens pour organiser les masses ou utilise les actuels d'une manière plus effective. Continue son activité d'une manière ininterrompue. Avance dans sa lutte avec des nouveaux centres et positions d'organisation et avec les organisations flexibles et indirectes. Mène une profonde et intense activité avec ses journaux et diverses organisations. Est dans ce processus d'approfondissement basé dans la répartition du travail et dans la spécialisation dans son activité révolutionnaire. Le PCML continue en avant avec sa pratique d'organiser et diriger ses propres forces présentes dans la ligne d'organiser et diriger les ouvriers et travailleurs et les masses, sous la consigne « du parti d'avant-garde au parti dirigeant». SUR LES TRACES DES MARTYRS LE PCML MARCHE VERS L'AVENIR La Turquie et le Kurdistan du Nord sont une région où se développe une dure lutte des classes. La lutte de libération et pour le socialisme se réalise sous des conditions des relations inégales des forces. Pour le moment, la bourgeoisie monopoliste collaboratrice et les grands propriétaires de terre, continuent à détenir le pouvoir et l'assurent par le militarisme et avec la force de la machine de guerre. L'histoire du régime colonialiste fasciste turc est remplie des agressions, de torture et massacres, contre les cadres révolutionnaires et communistes, lesquels sont les personnes d'avant-garde de la classe ouvrière et de nos peuples. La violence et oppression contre révolutionnaire, sont la politique fondamentale de ceci. Pour cette raison, des dizaines de milliers des fils et filles extraordinaires de nos peuples sont tombés dans la lutte entre la volonté révolutionnaire et la volonté contre révolutionnaire. Le PCML, qu'écrit son histoire lui-même, a perdu des douzaines des cadres et des militants dans la lutte politique. Chacun d'entre eux est devenu un drapeau rouge luttant dans des différents domaines de la lutte révolutionnaire. Ici quatre exemples : Huseyin Demircioglu, membre du Comité Central du PCML, est tombé dans la grève de la faim jusqu'à la mort en 1996. Il a été le maître de la révolution, le symbole de la volonté de la classe ouvrière et des travailleurs, focalisés vers la victoire. Il s'est affronté avant tout, à l'attaque de l'Etat qui sait, premièrement qu'il doit isoler les avant-gardes révolutionnaires pour suffoquer la classe ouvrière et les masses travailleuses. Avant de fixer les cadres du PCML qui ont participé à la grève de la faim jusqu'à la mort, dans la prison où il était, il a occupé son poste en disant « je dois être le premier». Il a participé dans la grève de la faim et est arrivé à l'éternité luttant pour les travailleurs. Ses derniers mots ont été « Biji Azadi» (Vive la Liberté). Hasan Ocak, le Comandant de Gazi a été assassiné en détention policière. Il a détruit la volonté contre révolutionnaire dans la torture, il a été une épopée de la résistance. Hasan Ocak est l'appel du peuple de Gazi contre le fascisme pour la liberté et la fraternité. Les peuples travailleurs de Turquie le connaissaient dans les barricades de Gazi, dans les affrontements de rues, dans la lutte contre les disparitions forcées. Les tortionnaires l'ont assassiné pour se venger du soulèvement de Gazi. Voulaient menacer le parti qui avait dirigé le soulèvement. Mais la séquestration et l'assassinat de Hasan, sont devenus une arme contre les hordes assassines. Suleyman Yeter était un dirigeant ouvrier communiste. Il a assumé beaucoup des devoirs de la lutte révolutionnaire depuis très jeune. Il a dirigé grèves et résistances ouvrières. Les quartiers bas, les barricades l'ont embrassé. Il a surpris avec sa lutte pour politiser et organiser la classe ouvrière. A été un appel à la rébellion contre le colonialisme. Il a lutté en première ligne contre les tentatives de lynchage politique et national contre les kurdes. Sous la torture il a défendu le parti, la révolution, le socialisme et la fraternité des peuples et a vaincu les tortionnaires dans ses propres cavernes. Il est devenu un symbole de la résistance à la torture. Tuncay Yildirim est tombé pendant le processus de résistance de grève de la faim jusqu'à la mort, initiée en 2000. Il est tombé comme le drapeau de la révolution le 21 mars 2001. Le jour où il est tombé c'était Newroz, la fête nationale du peuple kurde. Il a été le feu de renaissance au sens de la lutte des classes. Tandis que la grève de la faim a été rompue de l'extérieur, Tuncay Yildirim, lequel a été sorti de prison pendant qu'il était en grève de la faim, a donné un message de détermination aux volontés cassées. Il est rentré dans l'histoire comme le symbole du relèvement du parti. Le feu de la lutte ré allumé par T. Yildirim illumine le développement qui augmente et se forge du parti. Le PCML maintient vivants les martyrs et les valeurs et traditions générés par ceux-ci dans leur lutte. Les cadres et militants du Parti continuent à apprendre de tous les camarades tombés. LE PCML EST UN PAS EN AVANT POUR INCLURE ET RASSEMBLER LES FORCES Le PCML est une force, une volonté et une action révolutionnaire qui est né de l'unité des groupes communistes. Grâce à ceci, il a déjà la capacité d'inclure et de rassembler dans sa base même. Le PCML défend les valeurs et traditions révolutionnaires de 1971. En s'appropriant ces valeurs et traditions et essaye de les développer en unissant et rassemblant des forces différentes. Le concept de la " camaraderie des armes", qui représentait une intervention contre l'aliénation et l'attitude indifférente a commencé à se répandre entre les partis et groupes révolutionnaires et à devenir une source idéologique unificatrice dans les relations. Le rôle d'avant-garde qui a jugé le PCML est une source d'orgueil pour lui. Ses efforts et initiatives pour développer une « lutte unie» ou « l'unité des forces» entre les forces révolutionnaires, représente une grande avancée révolutionnaire. La fondation de la Coordination Centrale de la Prison en 1996, les plateformes de la jeunesse et les plateformes unies dans les quartiers des travailleurs, étaient les premiers pas vers la création d'une direction révolutionnaire unifiée. La Plateforme des Forces Révolutionnaires Unifiées, au mois de juin en 1998, est une expérience importante pour l'unification de la lutte de libération nationale kurde avec la lutte pour la révolution et le socialisme en Turquie. Le PCML a joué un rôle unificateur dans la fondation de la « Coordination, non à la guerre contre l'Irak», fondée contre l'occupation de l'Irak et dans la formation de « l'Union contre l'OTAN et contre Bush». L'ORGANISATION AU KURDISTAN DU PCML L'organisation au Kurdistan du PCML est basée dans la réalité de la nation kurde et est organisée comme une forme de la section du Kurdistan. Crée ses propres pratiques et son organisation spécifique. Mène son travail et actions révolutionnaires dans le contexte des contradictions et particularités du Kurdistan du Nord. Continue déterminé sa lutte contre la politique traditionnelle de négation et anéantissement, de l'Etat au Kurdistan du Nord, qui est sous la domination du régime fasciste colonialiste turc. Il sait aussi que la question kurde est un des principaux problèmes que nourrissent la réaction et le fascisme en Turquie, que les libertés politiques ne peuvent pas être obtenues en Turquie sans la liberté du peuple kurde et qu'une des bases de la révolution démocratique anti-impérialiste est la question de la liberté de la nation kurde. Le Congrès de Fondation du PCML que a souligné que les demandes nationales démocratiques de la nation kurde sont justes et légitimes a annoncé que la solution des autres problèmes fondamentaux « seulement peut être possible avec la reconnaissance du droit d'autodétermination de la nation kurde, ceci veut dire, d'établir son propre Etat». Le PCML défend la libération nationale kurde et la Fédération Soviétique Unie des travailleurs turcs et kurdes, et lutte pour ceci. A pris une décision comme composant et soutien du mouvement kurde de libération nationale. Le PCML lutte autant contre le chauvinisme dans le camp des ouvriers et des travailleurs turcs, comme aussi, contre le social chauvinisme à l'intérieur des organisations progressistes et révolutionnaires. Critique les partis de « ne pas comprendre la révolution kurde» dans son niveau de développement, dans la première moitié des années 90. Le PCML critique la défense d'Imrali d'Abdullah Ocalan (Imrali est une île dans la ; mer de Marmara, où le président du PKK, Abdullah Ocalan a été jugé et emprisonné), après 1999 et déclare que le PKK national révolutionnaire est devenu un parti petit-bourgeois national réformiste, à travers la décision du septième Congrès. Critique la capitulation idéologique, la volonté politique brisée et la liquidation à l'intérieur du mouvement national, du point de vue idéologique et politique. A déclaré que le PKK est devenu un parti national réformiste. Mais au même temps, essaye avec des actions indépendantes ou unifiées d'accomplir son devoir de lutte pour les revendications nationales et démocratiques du peuple kurde. En considérant la défaite de la révolution kurde et la structure sociale du Kurdistan, mais aussi en relief les problèmes des classes, autre la question nationale. L'Organisation au Kurdistan du PCML se développe organisationnelle et politiquement au Kurdistan du Nord avec son point de vue socialiste. LA CONCEPTION ET PRATIQUE DE L'INTERNATIONALISME DU PCML Le PCML « est engagé avec le principe de l'internationalisme prolétaire. Il est la section du mouvement communiste international dans notre pays». Il est convaincu que la lutte des classes est « essentiellement une lutte internationale», que les contradictions aggravées de l'impérialisme m»rissent aujourd'hui encore d'avantage les conditions matérielles de la révolution régionale et mondiale et créent des nouvelles opportunités et dynamiques. Le PCML mène ses travaux et relations internationales sur deux axes. Première, le problème des partis et le mouvement communiste. Le PCML a signalé dans son 3ème Congrès que "Le mouvement communiste international aujourd'hui souffre une crise idéologique et organisationnelle". Et s'approche du travail et de la pratique dans ce domaine avec l'objectif et la perspective de vaincre ce problème avec une intervention active et d'établir une nouvelle internationale. Croit dans la nécessité de développer et d'établir un nouveau style des relations internationales entre les partis et les organisations révolutionnaires et communistes. En partant de ceci, continue ses relations bilatérales avec les organisations et les paris communistes, et avec ceux qui sont en "processus de transition" et participe dans les associations régionales et internationales, formées par plusieurs partis et organisations. Croit que le nouveau style des relations internationales, doit être mené comme une manière de: 1) Mener les relations entre les partis sur la base d'égalité, indépendance et de critique et autocritique de camaraderie. 2) S'approcher aux relations internationales d'une manière non abstraite et générale, mais concrète et avec des actions dans son lien inséparable avec la pratique politique. 3) Etablir des relations de confiance et d'évaluer un ou autre, entre les partis "sur la base des discussions réelles". 4) Eviter des tendances nationalistes et des facteurs que nuit la lutte idéologique. Deuxième, le problème de la lutte anti-impérialiste. Les problèmes de la lutte régionale e internationale anti-impérialiste, est d'un très grand intérêt et constitue un des devoirs du PCML. Prend place dans les actions contre la globalisation impérialiste, dans les forums sociaux et dans les plateformes contre la guerre impérialiste. A comme objectif de créer un centre révolutionnaire anti-impérialiste et de se retrouver avec des éléments radicaux de ce mouvement. Agi avec la perspective d'établir des unités ou coordinations régionales de lutte anti-impérialiste. Parce que: a) la base de ceci est forte et les dynamiques, opportunités et conditions sont développés. b) il est possible de se rencontrer avec plusieurs organisations et partis progressistes, anti-fascistes, anti-impérialistes, révolutionnaires et communistes en base d'une plateforme mutuelle. c) des coordinations régionales de lutte anti-impérialiste font une importante contribution pour augmenter la lutte anti-impérialiste locale et internationale, et d) sert au renforcement et développement des relations entre les organisations et les partis révolutionnaires et communistes. LE MOUVEMENT DES FEMMES TRAVAILLEUSES CONNAIT TRES BIEN LE PCML Avec son travail communiste et démocratique entre les femmes, le PCML prends place à coté et dans le mouvement des ouvrières, femmes travailleuses employées de maison, femmes étudiantes et universitaires, femmes kurdes dont leurs langues et identités sont interdites. Dans le mouvement révolutionnaire turc, c'est l'état majeur de l'avant-garde de la lutte des femmes pour la liberté. Considère les femmes comme des sujets de la révolution et de la vie. défend et essaye d'avancer et de mettre à la lumière l'oeuvre, la conscience et la capacité de la femme, lesquelles n'est pas reconnues dans la société de classes. Il sait que la liberté sociale peut seulement être réalisée avec la réalisation de la liberté des femmes, dirige la lutte pour la liberté des femmes. A travers des Réunions des Femmes Travailleuses, organisées par ses précurseurs, le PCMLest devenu une force active dans l'organisation et le travail démocratique des femmes. A continué son travail en organisant des conférences centrales et locales de l'organisation des femmes. A porté la célébration du 8 mars, jour international des femmes travailleuses, dans notre pays à une ligne rouge dans les rues et sous les drapeaux rouges. En organisant la Conférence des Mères, travaillait pour faire devenir les femmes travailleuses, proches prisonniers ou des disparus révolutionnaires, l'objet de la lutte. A organisé le courage et la solidarité dans la Conférence contre le Viol et les Abus Sexuels, sous détention policière. Augmente la lutte contre les appelés "crimes d'honneur", et contre la répression réactionnaire. A fait du travail entre les jeunes femmes un élément important de son travail pour la femme. Le PCML lutte pour un système où les femmes soient les égaux des hommes dans toutes les domaines. Ce système est le socialisme. Du à que le socialisme aboli la propriété privée, prépare les conditions de la libération des femmes de l'esclavage domestique et social. Le PCML lutte pour organiser déjà, à partir de maintenant le mode des relations entre les femmes et les hommes qui se réaliseront sous la société socialiste. Crée des prototypes des femmes et d'hommes d'avenir libres dans ses files. Un de ces symboles de la femme militante, combattante, libre et nouvelle, est un martyr du PCML, Sengul Boran. L'ETOILE DU PCML: L'ORGANISATION JUVENILE COMMUNISTE (KGO) Le KGO pelle la jeunesse à luter pour un avenir libre, pour une société d'égalité et justice. Dans cette lutte, la KGO lutte en première ligne du mouvement juvénile avec sa volonté et action révolutionnaire. Mobilise l'objection de haine de la jeunesse contre le système pour la lutte pour un monde juste et libre. La KGO a été fondé en 1994, il s'agit d'une organisation juvénile dépendant du parti dans l'idéologique et indépendante dans l'organisationnel. Dirige le mouvement juvénile dès la lutte académique à la lutte pour la liberté. Comme une des principales forces dirigeantes du mouvement juvénile a réalisé des importantes initiatives. En 1994, a organisé la Conférence Démocratique du Collège, à la suite d'une enthousiaste et efficace campagne, dans laquelle ont participé des centaines d'étudiants. Le '4 et 5 février 1994 a terminé sa grève de la faim qui avait commencée avec l'occupation de l'Université de Yildiz Teknik en, avec une manifestation des masses, dans laquelle ont participé des milliers des jeunes et ont protesté contre les droits d'inscription imposés par le capitalisme. Le 18 mai 2001, la KGO dirigé l'action dans laquelle ont participé des milliers des jeunes, lesquels ont casé la barricade de la police dans la place de Kizilay à Ankara, en protestant contre le nouveau projet de loi de YOK (Conseil de la Haute Education), qui a soumis les universités sous le fer du capital. A participé dans la campagne pour l'introduction de la langue kurde comme matière dans les écoles. A avancée la lutte pour la liberté des jeunes femmes, en organisant la Conférence des Jeunes Femmes. La KGO a réalisé trois Congrès dans son histoire de lutte et a élu sa propre direction. A montré des exemples actifs de la pratique de la démocratie socialiste. A continué à inciter la capacité et le pouvoir révolutionnaire de la jeunesse. A élevé des vaillants combattants comme Özgur, Sengül, Erkkut et Aynur dans ses files. L'appel de la KGO est: "Jeunes étudiants, ouvriers, chômeurs, jeunes femmes, aux files de la KGO, pour créer son avenir et établir la société égalitaire, libre et juste, la société socialiste avec la lutte du parti! LE FRONT D'ART ET CULTURE DANS LA LUTTE DU PARTI Le PCML forme une alternative révolutionnaire et attractive dans le front d'art et culture. Agit dans l'objectif de réunir l'art et la culture dans les rues, avec le peuple et pour la vie. A mené l'art aux quartiers, aux provinces et dans les villages de montagne, contre la limitation de l'art aux lieux exclusifs des centres urbains. En traversant l"approche générale du mouvement révolutionnaire au front de l'art, converti son organisation de culture dans un fort centre productif. Eduque des dizaines des milliers des personnes avec ses activités culturelles et d'art et avec les réunions qu'il organise, à travers son organisation culturelle. Crée des oeuvres de cinéma politique dans le domaine du court métrage. C'est fait remarquer à travers ses ateliers de musique e de théâtre. Le PCML organise le front de l'art et culture, aussi comme une manière d'organiser l'intervention des intellectuels dans les problèmes concrets de la lutte politique. La consigne "Art pour la société, science pour l'humanité, politique pour la liberté" détermine les devoirs et responsabilités du front d'Art et Culture. Le PCML continue d'augmenter les fronts de lutte, entre lesquels, le plus importants ont été mentionnés, pour enrichir les moyens et méthodes pour organiser la classe ouvrière et les travailleurs. Le PCML, qui se trouve dans le processus de passer du parti d'avant-garde au parti dirigeant, continué son avancée révolutionnaire et déterminée sous le feu de l'ennemi.
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