En Turquie il y a eu des actions demandant la liberté immédiate de Ahmed Saadat, le secrétaire général du FPLP (Front Populaire de la Libération de la Palestine) et ses camarades, lesquels avaient été séquestrés par l'Etat sioniste israélien, le 14 mars, pendant un assaut à la prison de Jéricho, soutenu par les EEUU et la Grande Bretagne. La ESP (Plateforme Socialiste des Opprimés) a condamné la séquestration de Saadat en organisant un blocage de rue devant le consulat d'Israël le jour suivant. L'Association de la Solidarité avec le Peuple Palestinien (FHDD), a crié des consignes comme "liberté pour Ahmed Saadat", EEUU assassin, dehors du Moyen Orient" et les "prisonniers palestiniens ne sont pas seuls" dans son action du 18 mars, qui a eu lieu devant du consulat britannique à Istanbul. La Coordination Contre la Guerre d'Irak, a aussi condamné l'assaut en dépliant une pancarte qui disait: "A bas l'impérialisme et le sionisme israélien, liberté pour Ahmed Saadat", dans le même lieu au même temps.

Tandis que l'IHD (Association kevleri, ont envoyés des Droits de l'Homme), la ESP, la SGD (Association de la Jeunesse Socialiste), Barikat, Partizan et Halkevleri, ont envoyé des fax de proteste au consulat israélien dans la ville d'Adana, les participants des actions organisées par la ESP à Izmir, ANkara et Antakya ont souligné que Saadat n'est pas seul. La voit haute des jeunes étudiants contre la loi CPE en France, a été saluée en Turquie avec des actions organisées avec le soutient de la ESP et la SGD. Le 24 mars, la ESP a organisé une action devant le consulat français à Istanbul et a salué la lutte de la jeunesse française. Pendant l'action, les militants de la ESP, portaient des pancartes qui disait par exemple: "Doivent être retirés le CPE en France et le GSS en Turquie", en France triomphera la rébellion". Le 21 mars, les activistes de la SGD et de la ESP portaient des panneaux avec des consignes comme "Dehors le CPE", "Villepin, Chirac et Sarkozy retirez-vous", "les ouvriers et travailleurs français ne sont pas seuls", pendant son action face au consulat français à Izmir.