DES OPERATIONS MILITAIRES AU KURDISTAN DU NORD : LE VIEUX RUGISSEMENT DE L'ETAT FASCISTE TURCO
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Les sérieuses pertes des forces militaires turques devant les actions actives des guérillas du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan)) dans les derniers mois et le fiasque de la concentration militaire avec 250 mil soldats au Kurdistan du Nord ont conduit le gouvernement et l’armée turque, encore une fois de plus à faire des déclarations sur une « opération aux frontières ».

Le fait que 15 soldats turcs aient été tués par les guérillas du PKK seulement dans deux jours, a forcé le Premier Ministre T. Erdogan à faire une déclaration pleine de colère. Il a menacé le peuple kurde en disant que « la réunion de cabinet de demain est assujetti à beaucoup des choses ». C’est lui aussi qu’avait dit que « l’intervention nécessaire sera menée à bout peu importe que le sujet soit une femme ou un enfant » devant le soulèvement du peuple kurde à Diyarbakir il y a trois mois.

L’Etat turc colonialiste continue ave sa politique traditionnelle de négation et anéantissement des droits nationaux et démocratiques du peuple kurde. Malgré la sévérité des conséquences politiques, militaires et économiques de cette politique, il continue à charger les épaules des masses populaires turques avec cette politique.

Malgré que l’encre du « document stratégique de vision » signé par les EE.UU, continue à ^être mouillée, et malgré les objections levées par son « associé stratégique», le premier ministre, furieux, T. Erdogan a annoncé qu’ils ont pris la décision d’une opération aux frontières. Ross Wilson, l’ambassadeur des EE.UU à Ankara, n’a pas tardé à exprimer que la « Turquie ne peut réaliser aucune opération aux frontières par soi même ». Alors, T Erdogan a dit que les ambassadeurs ne sont pas ceux que peuvent prendre la décision et qu’eux-mêmes ont déjà pris la décision et la mèneront à bien. Cette déclaration a été suivie par l’opposition à l’opération de la part des EE.UU. Les jours à venir montreront quelles dimensions prendra cette crise ou quelles manœuvres seront menées seulement par tromperie.

Ce n’est pas un hasard que le rugissement du régime fasciste sur une opération aux frontières a coïncidé avec la nouvelle Loi Antiterroriste (TMY) et avec le processus de la guerre sioniste d’Israël contre la Palestine et le Liban. Israël pouvait continuer avec les attaques jusqu’à une nouvelle situation au niveau régionale ; jusqu’à une guerre régionale que s’étend. Et il n’y a pas de doute que ces attaques continuent à être menés en respectant les objectifs et les politiques stratégiques des EEUU. En réalité, la première déclaration de la Secrétaire d’Etat des EE.UU, C. Rice, est sur « l’inconvenance d’un cesse le feu immédiat ». Et l’existence d’une relation de l’Iran, la Syrie et l’Irak avec cette agression cet un autre fait. Nous devons aussi mentionner que la concentration de 250 mil soldats et de l’armée turque au Kurdistan du Nord et ses déclarations sur une opération aux frontières, représente aussi un aspect d’une préparation pour les développements possibles dans la région. La pratique de la TMY et les préparatifs pour une opération a aussi l’aspect d’être une aide psychologique à l’armée turque, démoralisée et aux masses influencées par le chauvinisme turc.

Entre 1983 et 2000, les forces de l’armée turque ont organisée « opérations aux frontières », contre les forces du PKK au Kurdistan du Sud (Kurdistan Iraquien) 24 fois. Chacune de ces opérations a été organisée avec l’objectif de « finir avec le PKK », et la majorité de celles-ci ont été réalisées conjointement avec le KDP (Parti Démocratique du Kurdistan) de Barzani. Mais toutes ces opérations se sont finies en échec. Car la guérilla était le peuple. C’était l’honneur du peuple kurde. Menait une grande lutte contre les occupants. Les guérilléros/as avaient versés leur sang et leur sueur à la pierre et à la terre des montagnes, vallées et villages, où ils luttaient. Luttaient par la liberté. Le Kurdistan a donné des dizaines des milliers de ses fils et filles comme des martyrs et des centaines des milliers de ceux-ci comme des captifs. Le peuple kurde, opprimé a commencé déjà à vivre la liberté à travers de leur position et de la renaissance nationale honorable, et il n’est plus possible pour eux de régresser ni d’accepter l’humiliation nationale.

L’Etat turc colonialiste n’obtiendra pas la victoire non plus cette fois. Il le sait aussi. Car les forces politiques au Kurdistan du Sud, le KDP et la PUK (Union Patriotique du Kurdistan) ont annoncé que cette fois ils sont contre l’opération. Les EE.UU ont exprimé leur opposition. L’UE et les pays de la région peuvent aussi refuser une agression possible. C’est un autre fait que les dynamiques et les partis révolutionnaires en Turquie augmenteront la lutte conjointement au mouvement national kurde contre un possible attaque.

Il est possible que l’Etat turc puisse choisir la voie de bombarder ou d’entrer ou sortir du Kurdistan du Sud avec une force limitée- de la même manière que l’Iran l’a fait- avec les EE.UU en fermant les yeux ; car une occupation ou une agression au delà de ce ci peut laisser l’Etat turc face à face avec les forces des EE.UU, iraquiennes et kurdes du Sud. Et peut provoquer une guerre régionale.

Le premier ministre turc, T. Erdogan a affirmé qu’Israël « implémente une force inadéquate », mais au même temps a légalisé le fait d’ouvrir le feu contre ceux qui n’obéissent pas l’ordre d’arrêter. Il n’a pas non plus douté d’implémenter une force inadéquate avec une armée de 250 mil soldats prêts pour une guerre au Kurdistan, avec leurs menaces sur les opérations aux frontières et à travers des bombardements dans des montagnes et forêts. Il a exprimé que les enfants palestiniens avaient été tués sans pitié par Israël, mais il n’a même pas hésité à exprimer que les enfants kurdes peuvent être tués aussi. Il est indiscutable qu’ils ont implémenté et vont implémenter une force inadéquate dans ces zones.

Le PCML a répondu chacun des attaques du régime fasciste colonialiste contre le peuple kurde et les forces du PKK avec sensibilité et réflexion politique jusqu’à présent. Comme les patriotes socialistes, ceux de l’Organisation du Kurdistan du PCML ont toujours été les défenseurs décidés des revendications nationales et démocratiques du peuple kurde et ont donné une lutte considérable pour cette cause. Ils combattront encore une fois avec la même volonté et détermination révolutionnaire contre cette menace d’agression.

Pourra avoir expédition militaire au Kurdistan mais jamais victoire !

 

 

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Les sérieuses pertes des forces militaires turques devant les actions actives des guérillas du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan)) dans les derniers mois et le fiasque de la concentration militaire avec 250 mil soldats au Kurdistan du Nord ont conduit le gouvernement et l’armée turque, encore une fois de plus à faire des déclarations sur une « opération aux frontières ».

Le fait que 15 soldats turcs aient été tués par les guérillas du PKK seulement dans deux jours, a forcé le Premier Ministre T. Erdogan à faire une déclaration pleine de colère. Il a menacé le peuple kurde en disant que « la réunion de cabinet de demain est assujetti à beaucoup des choses ». C’est lui aussi qu’avait dit que « l’intervention nécessaire sera menée à bout peu importe que le sujet soit une femme ou un enfant » devant le soulèvement du peuple kurde à Diyarbakir il y a trois mois.

L’Etat turc colonialiste continue ave sa politique traditionnelle de négation et anéantissement des droits nationaux et démocratiques du peuple kurde. Malgré la sévérité des conséquences politiques, militaires et économiques de cette politique, il continue à charger les épaules des masses populaires turques avec cette politique.

Malgré que l’encre du « document stratégique de vision » signé par les EE.UU, continue à ^être mouillée, et malgré les objections levées par son « associé stratégique», le premier ministre, furieux, T. Erdogan a annoncé qu’ils ont pris la décision d’une opération aux frontières. Ross Wilson, l’ambassadeur des EE.UU à Ankara, n’a pas tardé à exprimer que la « Turquie ne peut réaliser aucune opération aux frontières par soi même ». Alors, T Erdogan a dit que les ambassadeurs ne sont pas ceux que peuvent prendre la décision et qu’eux-mêmes ont déjà pris la décision et la mèneront à bien. Cette déclaration a été suivie par l’opposition à l’opération de la part des EE.UU. Les jours à venir montreront quelles dimensions prendra cette crise ou quelles manœuvres seront menées seulement par tromperie.

Ce n’est pas un hasard que le rugissement du régime fasciste sur une opération aux frontières a coïncidé avec la nouvelle Loi Antiterroriste (TMY) et avec le processus de la guerre sioniste d’Israël contre la Palestine et le Liban. Israël pouvait continuer avec les attaques jusqu’à une nouvelle situation au niveau régionale ; jusqu’à une guerre régionale que s’étend. Et il n’y a pas de doute que ces attaques continuent à être menés en respectant les objectifs et les politiques stratégiques des EEUU. En réalité, la première déclaration de la Secrétaire d’Etat des EE.UU, C. Rice, est sur « l’inconvenance d’un cesse le feu immédiat ». Et l’existence d’une relation de l’Iran, la Syrie et l’Irak avec cette agression cet un autre fait. Nous devons aussi mentionner que la concentration de 250 mil soldats et de l’armée turque au Kurdistan du Nord et ses déclarations sur une opération aux frontières, représente aussi un aspect d’une préparation pour les développements possibles dans la région. La pratique de la TMY et les préparatifs pour une opération a aussi l’aspect d’être une aide psychologique à l’armée turque, démoralisée et aux masses influencées par le chauvinisme turc.

Entre 1983 et 2000, les forces de l’armée turque ont organisée « opérations aux frontières », contre les forces du PKK au Kurdistan du Sud (Kurdistan Iraquien) 24 fois. Chacune de ces opérations a été organisée avec l’objectif de « finir avec le PKK », et la majorité de celles-ci ont été réalisées conjointement avec le KDP (Parti Démocratique du Kurdistan) de Barzani. Mais toutes ces opérations se sont finies en échec. Car la guérilla était le peuple. C’était l’honneur du peuple kurde. Menait une grande lutte contre les occupants. Les guérilléros/as avaient versés leur sang et leur sueur à la pierre et à la terre des montagnes, vallées et villages, où ils luttaient. Luttaient par la liberté. Le Kurdistan a donné des dizaines des milliers de ses fils et filles comme des martyrs et des centaines des milliers de ceux-ci comme des captifs. Le peuple kurde, opprimé a commencé déjà à vivre la liberté à travers de leur position et de la renaissance nationale honorable, et il n’est plus possible pour eux de régresser ni d’accepter l’humiliation nationale.

L’Etat turc colonialiste n’obtiendra pas la victoire non plus cette fois. Il le sait aussi. Car les forces politiques au Kurdistan du Sud, le KDP et la PUK (Union Patriotique du Kurdistan) ont annoncé que cette fois ils sont contre l’opération. Les EE.UU ont exprimé leur opposition. L’UE et les pays de la région peuvent aussi refuser une agression possible. C’est un autre fait que les dynamiques et les partis révolutionnaires en Turquie augmenteront la lutte conjointement au mouvement national kurde contre un possible attaque.

Il est possible que l’Etat turc puisse choisir la voie de bombarder ou d’entrer ou sortir du Kurdistan du Sud avec une force limitée- de la même manière que l’Iran l’a fait- avec les EE.UU en fermant les yeux ; car une occupation ou une agression au delà de ce ci peut laisser l’Etat turc face à face avec les forces des EE.UU, iraquiennes et kurdes du Sud. Et peut provoquer une guerre régionale.

Le premier ministre turc, T. Erdogan a affirmé qu’Israël « implémente une force inadéquate », mais au même temps a légalisé le fait d’ouvrir le feu contre ceux qui n’obéissent pas l’ordre d’arrêter. Il n’a pas non plus douté d’implémenter une force inadéquate avec une armée de 250 mil soldats prêts pour une guerre au Kurdistan, avec leurs menaces sur les opérations aux frontières et à travers des bombardements dans des montagnes et forêts. Il a exprimé que les enfants palestiniens avaient été tués sans pitié par Israël, mais il n’a même pas hésité à exprimer que les enfants kurdes peuvent être tués aussi. Il est indiscutable qu’ils ont implémenté et vont implémenter une force inadéquate dans ces zones.

Le PCML a répondu chacun des attaques du régime fasciste colonialiste contre le peuple kurde et les forces du PKK avec sensibilité et réflexion politique jusqu’à présent. Comme les patriotes socialistes, ceux de l’Organisation du Kurdistan du PCML ont toujours été les défenseurs décidés des revendications nationales et démocratiques du peuple kurde et ont donné une lutte considérable pour cette cause. Ils combattront encore une fois avec la même volonté et détermination révolutionnaire contre cette menace d’agression.

Pourra avoir expédition militaire au Kurdistan mais jamais victoire !