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Dans le 21ème siècle, dans le chemin de la Révolution d’Octobre, LE SOCIALISME LIBERERERA LE MONDE !
La Révolution d’Octobre 1917 est une date où on a mis fin à l’esclavage salarial et a été fondé le pouvoir de la classe ouvrière et du travail en Russie. C’est le jour où le socialisme, comme une obligation historique, a commencé à se réaliser avec les « Soviets », lesquels ont été les organes du pouvoir de l’Union Soviétique. Le fait que les discussions et les ré évaluations sur la Révolution d’Octobre continuent, malgré que 89 années se soient écoulées, montre que la Révolution d’Octobre n’est pas limitée seulement à la Russie, mais qu’elle a un caractère international. Aujourd’hui aussi, la Révolution d’Octobre montre le chemin au prolétariat mondial et aux peuples opprimés, et continue à être une source d’inspiration pour eux.
La Révolution d’Octobre est un saut en avant qui a ouvert le chemin de la pratique du socialisme, que jusqu’à lors était seulement une théorie, et qui a converti la théorie dans une force matérielle. La Révolution d’Octobre à montré au monde entier que le concept de la bourgeoisie comme quoi « le capitalisme est éternel et le socialisme n’est qu’une utopie inapplicable » n’est que démagogie. La Révolution d’Octobre est l’expression d’un saut en hauteur des méthodes de lutte, des formes d’organisation et de style de vie des classes exploitées, surtout le prolétariat, et une expression de l’orientation de l’humanité du monde capitalisme à un monde socialiste. Dans ce sens, la Révolution d’Octobre est un saut en qualité dans le développement historique, c’est la première phase de la transition du monde basé dans l’exploitation, au monde que ne connaît pas l’exploitation. A ouvert l’ère des révolutions prolétaires. Le prolétariat mondial et l’humanité ont vécu et vu le changement et la transformation dans la vie des gens, crée par la pratique du socialisme, dans les exemples de l’Union Soviétique et d’autres pays socialistes. Avec le pouvoir socialiste comme produit de la Révolution d’Octobre, a été mis fin à l’exploitation et l’oppression des classes qui s’exercent sur la classe ouvrière et, avec la construction du socialisme a été mise fin au chômage, la faim et la pauvreté. Les questions d’éducation, santé et habitat ont été résolues d’une manière que jamais auparavant n’avait été vue dans les pays capitalistes. Une lutte a été conduite contre les bases matérielles sociales de l’oppression sur les femmes, contre la propriété privée. A été mise fin aux sanglants conflits et aux massacres basées dans les préjugés et les contradictions nationales, ethniques et religieuses. Alors que l’URSS était une mosaïque, les nations et les peuples ont vécu en égalité, libres, dignes et fraternellement.
La classe ouvrière et les travailleurs sont rentrés dans le chemin de la participation active dans la vie politique, social, économique et culturelle. La Révolution d’Octobre a désintégré le système économique mondial, « le champ de l’impérialisme mondial ». Suite à la direction de l’économie d’une manière centralisée et planifiée, et à la loi économique fondamentale du socialisme, l’économie socialiste dans l’Union Soviétique, a eu un succès très grand et appréciable. Ce grand succès dans le domaine économique a aussi influencé les pays intégrés au système capitaliste. Quelques pays se sont orientés vers un développement économique planifié ; au capitalisme d’Etat, mais dans un sens formel. La bourgeoisie a du pratiquer ce qu’on appelle « état de bien-être », sous la pression des succès économiques et politiques du socialisme. Les impressionnantes conséquences de l’écrasement du fascisme avec la lutte décisive de l’Armée Rouge et des peuples de l’Union Soviétique et du renforcement du système socialiste partout dans le monde, ceci s’est aussi reflété dans les pays impérialistes et capitalistes de diverses manières. La sympathie de la classe ouvrière et des travailleurs vers le socialisme a augmenté. Les partis bourgeois ont utilisé le nom et les symboles du socialisme, y compris les partis fascistes, ont abusé du prestige du socialisme, en utilisant le nom de « national socialiste ». Ce sont les conséquences appréciables des empreintes ineffaçables et de la pratique du socialisme, que quelques uns des partis et des gouvernements de la bourgeoisie monopoliste portent encore le « socialisme » dans leurs noms aujourd’hui, quand la bourgeoisie impérialiste et ses idéologues disent que « le socialisme est mort ».
Le prolétariat et les peuples du monde sont face au socialisme
La révolution et le socialisme dans l’Union Soviétique ont été le soutient principal des nations et des peuples que souffraient beaucoup de l’esclavage et de la dépendance colonialiste. Aussi aujourd’hui, les guerres populaires en Asie et au Népal, les luttes révolutionnaires et les gouvernements anti-impérialistes en Amérique Latine et la résistance iraquienne, libanaise et palestinienne au Moyen Orient, ressentent et souffrent de l’absence du système socialiste. Nous voyons que la fraternité et la liberté des peuples sous les conditions du socialisme, a laissé sa place à des sanglants conflits nationaux, ethniques et religieux très durs aux Balkans, au Moyen Orient, en Asie et en Afrique. Il est prouvé encore une fois de plus que l’égalité totale des nations et des langues opprimées et la fraternité et liberté des peuples sont seulement possibles avec le socialisme. Les mouvements internationaux des masses, produit de la destruction et de la faillite sociale crée par les attaques de la globalisation impérialiste, les recherches et les tentatives de « un autre monde » pour la classe ouvrière, les travailleurs et la jeunesse en Allemagne, France, Grèce et d’autres pays européens, montrent seulement l’orientation vers le socialisme dans le 21ème siècle. Malgré que les forces communistes et révolutionnaires soient désorganisées, disperses, spontanées et inefficaces aujourd’hui, la base sociale matérielle du socialisme est plus mature qu’hier, autant dans chaque pays que dans les régions et au niveau international. Le prolétariat mondial aujourd’hui possède les riches expériences des luttes pour le socialisme ainsi que la pratique du socialisme. Les opportunités, les dynamiques et les conditions de lutte pour le socialisme, ont augmenté. Les contradictions et les conflits économiques, sociaux et nationaux au niveau international, réveils et soulèvements des masses, recherches et orientations, la fondation des organisations et les partis révolutionnaires, le développement de ses actions et de ses luttes montrent cette réalité. En voyant cette vague des mouvements, réveils, orientations et actions des masses de base dans le monde, la bourgeoisie impérialiste et ses collaborateurs natifs forment des institutions fascistes réactionnaires, signent des accords et des lois internationales et attaquent les révolutionnaires et communistes. L’attaque contre notre parti PCML de septembre 2006 forme partie de cette attaque international. A principes du 21ème siècle, la classe ouvrière et les peuples du monde se sont mis face au socialisme à nouveau. La révolution et le socialisme sont sur l’agenda. Car la recherche d’un « autre monde » est le socialisme. Les attaques de la bourgeoisie impérialiste et de se idéologues contre le marxisme léninisme et ses efforts pour faire oublier à l’humanité les succès de la Révolution d’Octobre et de la travestir, mais n’auront pas du succès. Aujourd’hui, les partis communistes se trouvent face au devoir de tirer des leçons de la Révolution d’Octobre et de la construction du socialisme dans l’URSS et sa destruction en 1956, pour vaincre le système capitaliste. Aussi, les partis communistes se trouvent face au devoir d’intervenir, avec la perspective de la libération social, dans la lutte anti-impérialiste et dans la lutte de libération nationale des peuples opprimés et des nations dépendantes, et face au devoir de diriger cette lutte. Les premières années du 21ème siècle montrent que la victoire du socialisme et la base matérielle du socialisme, qui a mûri déjà avant, se retrouvent avec leurs propres forces subjectives, la base du capitalisme tombera et le prolétariat et l’humanité arriveront à un monde sans frontières, sans exploitation et sans classes. La Révolution d’Octobre a ouvert un nouveau chemin. Le PCML marchera dans ce chemin de la Révolution d’Octobre.
PCML Comité Central octobre 2006
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