La stratégie de l'Etat Majeur pour mobiliser les « Forces Désarmées, les ONG»
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L'armée n'a pas mobilisé les « Organisations Non Gouvernementales », ni pendant le Coup d'Etat du 27 mai 1960, ni du 12 mars de 1971, ni du 12 septembre de 1980 pour ces coups d'état. Dans ces occasions a pris le pouvoir politique utilisant des avions, des blindés et des fusils, en occupant quelques positions (radios, stations TV, etc.) et déclarant les motifs du Coup d'Etat. L'armée n'a pas lancé un quatrième coup d'état après du coup d'état fasciste du 12 septembre 1980. Cependant a annoncé divers mémorandums lesquels on tous atteint leur objectif. Autant le mémorandum du 28 février 1997, comme le mémorandum du 27 avril 2007, le thème était le même : »Le danger de la Charia ».
Dans ces deux mémorandums a été signalé « le danger de la Charia » et ont essayé de diviser la société en l'obligeant à décider « s'ils sont en faveur de la Charia ou de la laïcité ».
La société organisée en partis politiques, en syndicats, dans les chambres des différentes professions, dans les universités et dans les associations, comme aussi dans les secteurs que ne sont pas organisés, ont été obligés sous la direction de l'armée à prendre partie dans une polarisation réactionnaire.
Dans les deux mémorandums ont essayé d'obtenir leur objectif en utilisant les « Organisations Non Gouvernementales ». Dans les « Meetings pour la République » organisés par ces organisations, avant et après le mémorandum du 27 avril sous la direction de l'armée, des millions des personnes ont rempli les rues.
Dans les deux mémorandums, l'armée a déclaré que l'objectif principal est de lutter contre le danger de la Charia. Cependant, les déclarations et les événements ont démontré que ceci est démagogique et que l'objectif principal de l'armée est de lutter contre la lutte nationale kurde et le mouvement révolutionnaire.
L'armée, que n'a pas pu ou n'a pas eu besoin de mobiliser les masses pendant les processus des coups d'état, cette fois les a mobilisée et conduit dans les rues, à travers des « Organisations Non Gouvernementales » pendant les périodes des mémorandums, montrant ouvertement le gouvernement comme cible. Ainsi, l'armée a réduit la colère cumulée au sein de la société contre le système d'un coté et de l'autre coté, fourni les efforts pour créer une ample base pour son véritable objectif qui est son idée de liquider le mouvement révolutionnaire et communiste et d'anéantir le mouvement national kurde en provoquant le chauvinisme. Pour arriver à ses obscurs objectifs, l'armée a implémenté la stratégie d'utilisations des mases.
Il était clair qu'après les « Meetings pour la République », seraient organisés les meetings de l'antipathie au peuple kurde. Ceci pouvait se voir dans la déclaration de l'Etat Majeur du 8 juin 2007 où ils disaient le suivant : »L'espoir des Forces Armées turques est que la nation turque sacrée montre un reflet de la réaction massive contre ce type d'actions terroristes L'armée maintenant essaye de mobiliser les masses, lesquelles a amenées dans les rues dans les meetings du processus avant et après le mémorandum du 27 avril, pour une guerre contre la nation kurde.
Ilker Basbug, le général en chef que commande l'infanterie des Forces Armés, essaye d'expliquer dans sa déclaration datée du 27 juin dernier, ce qui veut dire l'Etat Majeur avec l'expression de « reflet de la réaction massive » Un « reflet », en accord avec les méthodes démocratiques », « loin de la violence »,
« respectueux des lois», « qui n'a pas d'objectifs politiques » »qui représente le résultat de la peine et de la colère causées par la terreur » ! A continuation disent que les « Forces Armées ne peuvent jamais avoir la volonté de créer un conflit social ». Tous ces mots son de la démagogie. C'est premièrement l'Etat et son armée qu'implémente la violence dans le contexte des « règles démocratiques » sur ceux qu'exigent leurs droits, que s'opposent à l'oppression et à l'exploitation et que défendent leur identité nationale. C'est l'Etat et son armée qui provoque et implémente la violence et qui sérieusement viole les lois. Pour cette raison, le dit « reflet », qui demandent des masses ne peut être un « reflet qui n'a pas d'objectifs politiques». Contre lesquelles peut montrer les secteurs sociaux empoissonnés par le chauvinisme ou la « nation turque sacrée » dans son ensemble un « reflet de réaction massive » ? La dictature fasciste demande des masses qu'elles montrent leur « reflet massif » contre lesquels elle-même considère comme ennemi. Ainsi, les cibles sont le mouvement kurde national et le mouvement révolutionnaire et communiste comme est exprimé dans le mémorandum. Cette cible a déjà été signalée dans le mémorandum avec les mots suivants : « Tous ceux qui s'opposent à la compréhension « Quel bonheur de dire : je suis turc ! » sont et seront l'ennemi de la République de Turquie ». Appelant à une « réaction massive », l'armée appelle en réalité aux lynchages massifs. Avec cet appel, l'armée essaye de faire des masses, lesquelles elle conduit en Turquie et au Kurdistan du Nord, partie de ses efforts pour créer un « silence de mort ». L'ordre est la suivante : Attaquez n'emporte quel révolutionnaire, communiste, n'emporte qui que parle de la lutte nationale sous le nom de montrer un « reflet massif ». Effectivement, nous pouvons dire que cet appel a joué u grand rôle dans la tentative de lynchage d'un guérillero kurde, blessé à l'hôpital. Avec leurs méthodes des luttes légales et illégales, avec la pression des masses et les provocations organisées par eux-mêmes, avec l'utilisation coordonnée des formes et des méthodes civils et militaires le front de l'armée fasciste tente de sortir victorieux du conflit entre les camarillas d'un coté et obtenir ses objectifs, mentionnés dans le mémorandum d'un autre coté. Ils obtiennent du soutient au mémorandum à travers les « Meetings pour la République », réalisent des sommets antiterroristes l'un après l'autre, organisent des « Meetings pour condamner la Terreur » pour augmenter la colère sociale et demandent à la société de montrer « un reflet massif ». L'armée fait tout ceci pas avec ses soldats, ses canons et ses rifles, mais à travers les « Organisations Non Gouvernementales ». Il les dirige seulement. Nous passons presque pour une période de « deux pouvoirs ». Le gouvernement ne peut pas imposer sa volonté. L'Etat Majeur fait des déclarations beaucoup plus fréquemment qu'avant. Trouve un prétexte pour chaque déclaration et ainsi, pratiquement rend le gouvernement inefficace et fait de la politique de facto. Aujourd'hui, en dehors de la volonté du gouvernement, aussi une autre volonté, celle de l'armée est en vigueur. Après le mémorandum du 28 février, s'est aussi produit un tel période de « deux pouvoirs », qui a continué jusqu'à que l'armée ait trouvé sa cible. Maintenant, nous observons le même processus encore une fois, mais d'une manière plus dure.
La dictature fasciste prépare sa base des masses, des troupes et sa police pour une terreur d'état totale, organisant des meetings un après l'autre, réalisant des sommets antiterroristes et donnant des attributions additionnelles à la police. La dictature fasciste à déjà pris sa décision finale pour créer un « silence de mort » en Turquie et au Kurdistan du Nord:

 

 

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L'armée n'a pas mobilisé les « Organisations Non Gouvernementales », ni pendant le Coup d'Etat du 27 mai 1960, ni du 12 mars de 1971, ni du 12 septembre de 1980 pour ces coups d'état. Dans ces occasions a pris le pouvoir politique utilisant des avions, des blindés et des fusils, en occupant quelques positions (radios, stations TV, etc.) et déclarant les motifs du Coup d'Etat. L'armée n'a pas lancé un quatrième coup d'état après du coup d'état fasciste du 12 septembre 1980. Cependant a annoncé divers mémorandums lesquels on tous atteint leur objectif. Autant le mémorandum du 28 février 1997, comme le mémorandum du 27 avril 2007, le thème était le même : »Le danger de la Charia ».
Dans ces deux mémorandums a été signalé « le danger de la Charia » et ont essayé de diviser la société en l'obligeant à décider « s'ils sont en faveur de la Charia ou de la laïcité ».
La société organisée en partis politiques, en syndicats, dans les chambres des différentes professions, dans les universités et dans les associations, comme aussi dans les secteurs que ne sont pas organisés, ont été obligés sous la direction de l'armée à prendre partie dans une polarisation réactionnaire.
Dans les deux mémorandums ont essayé d'obtenir leur objectif en utilisant les « Organisations Non Gouvernementales ». Dans les « Meetings pour la République » organisés par ces organisations, avant et après le mémorandum du 27 avril sous la direction de l'armée, des millions des personnes ont rempli les rues.
Dans les deux mémorandums, l'armée a déclaré que l'objectif principal est de lutter contre le danger de la Charia. Cependant, les déclarations et les événements ont démontré que ceci est démagogique et que l'objectif principal de l'armée est de lutter contre la lutte nationale kurde et le mouvement révolutionnaire.
L'armée, que n'a pas pu ou n'a pas eu besoin de mobiliser les masses pendant les processus des coups d'état, cette fois les a mobilisée et conduit dans les rues, à travers des « Organisations Non Gouvernementales » pendant les périodes des mémorandums, montrant ouvertement le gouvernement comme cible. Ainsi, l'armée a réduit la colère cumulée au sein de la société contre le système d'un coté et de l'autre coté, fourni les efforts pour créer une ample base pour son véritable objectif qui est son idée de liquider le mouvement révolutionnaire et communiste et d'anéantir le mouvement national kurde en provoquant le chauvinisme. Pour arriver à ses obscurs objectifs, l'armée a implémenté la stratégie d'utilisations des mases.
Il était clair qu'après les « Meetings pour la République », seraient organisés les meetings de l'antipathie au peuple kurde. Ceci pouvait se voir dans la déclaration de l'Etat Majeur du 8 juin 2007 où ils disaient le suivant : »L'espoir des Forces Armées turques est que la nation turque sacrée montre un reflet de la réaction massive contre ce type d'actions terroristes L'armée maintenant essaye de mobiliser les masses, lesquelles a amenées dans les rues dans les meetings du processus avant et après le mémorandum du 27 avril, pour une guerre contre la nation kurde.
Ilker Basbug, le général en chef que commande l'infanterie des Forces Armés, essaye d'expliquer dans sa déclaration datée du 27 juin dernier, ce qui veut dire l'Etat Majeur avec l'expression de « reflet de la réaction massive » Un « reflet », en accord avec les méthodes démocratiques », « loin de la violence »,
« respectueux des lois», « qui n'a pas d'objectifs politiques » »qui représente le résultat de la peine et de la colère causées par la terreur » ! A continuation disent que les « Forces Armées ne peuvent jamais avoir la volonté de créer un conflit social ». Tous ces mots son de la démagogie. C'est premièrement l'Etat et son armée qu'implémente la violence dans le contexte des « règles démocratiques » sur ceux qu'exigent leurs droits, que s'opposent à l'oppression et à l'exploitation et que défendent leur identité nationale. C'est l'Etat et son armée qui provoque et implémente la violence et qui sérieusement viole les lois. Pour cette raison, le dit « reflet », qui demandent des masses ne peut être un « reflet qui n'a pas d'objectifs politiques». Contre lesquelles peut montrer les secteurs sociaux empoissonnés par le chauvinisme ou la « nation turque sacrée » dans son ensemble un « reflet de réaction massive » ? La dictature fasciste demande des masses qu'elles montrent leur « reflet massif » contre lesquels elle-même considère comme ennemi. Ainsi, les cibles sont le mouvement kurde national et le mouvement révolutionnaire et communiste comme est exprimé dans le mémorandum. Cette cible a déjà été signalée dans le mémorandum avec les mots suivants : « Tous ceux qui s'opposent à la compréhension « Quel bonheur de dire : je suis turc ! » sont et seront l'ennemi de la République de Turquie ». Appelant à une « réaction massive », l'armée appelle en réalité aux lynchages massifs. Avec cet appel, l'armée essaye de faire des masses, lesquelles elle conduit en Turquie et au Kurdistan du Nord, partie de ses efforts pour créer un « silence de mort ». L'ordre est la suivante : Attaquez n'emporte quel révolutionnaire, communiste, n'emporte qui que parle de la lutte nationale sous le nom de montrer un « reflet massif ». Effectivement, nous pouvons dire que cet appel a joué u grand rôle dans la tentative de lynchage d'un guérillero kurde, blessé à l'hôpital. Avec leurs méthodes des luttes légales et illégales, avec la pression des masses et les provocations organisées par eux-mêmes, avec l'utilisation coordonnée des formes et des méthodes civils et militaires le front de l'armée fasciste tente de sortir victorieux du conflit entre les camarillas d'un coté et obtenir ses objectifs, mentionnés dans le mémorandum d'un autre coté. Ils obtiennent du soutient au mémorandum à travers les « Meetings pour la République », réalisent des sommets antiterroristes l'un après l'autre, organisent des « Meetings pour condamner la Terreur » pour augmenter la colère sociale et demandent à la société de montrer « un reflet massif ». L'armée fait tout ceci pas avec ses soldats, ses canons et ses rifles, mais à travers les « Organisations Non Gouvernementales ». Il les dirige seulement. Nous passons presque pour une période de « deux pouvoirs ». Le gouvernement ne peut pas imposer sa volonté. L'Etat Majeur fait des déclarations beaucoup plus fréquemment qu'avant. Trouve un prétexte pour chaque déclaration et ainsi, pratiquement rend le gouvernement inefficace et fait de la politique de facto. Aujourd'hui, en dehors de la volonté du gouvernement, aussi une autre volonté, celle de l'armée est en vigueur. Après le mémorandum du 28 février, s'est aussi produit un tel période de « deux pouvoirs », qui a continué jusqu'à que l'armée ait trouvé sa cible. Maintenant, nous observons le même processus encore une fois, mais d'une manière plus dure.
La dictature fasciste prépare sa base des masses, des troupes et sa police pour une terreur d'état totale, organisant des meetings un après l'autre, réalisant des sommets antiterroristes et donnant des attributions additionnelles à la police. La dictature fasciste à déjà pris sa décision finale pour créer un « silence de mort » en Turquie et au Kurdistan du Nord: