Une des expériences la plus importante du processus électorale du 22 juillet pour les ouvriers et travailleurs, ce sont les activités de la Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), qui a organisé une équipe des candidats indépendants avec des candidats socialistes pour les élections. L'ESP a présenté 8 personnes comme des candidats socialistes en Turquie, mais au Kurdistan a soutenu les candidats indépendants du DTP (Parti pour une Société Démocratique) suite à l'oppression qu'augmente et les provocations chauvinistes, contre la nation kurde et ses organisations légales, surtout le DTP. Tandis que la ESP a soutenu la candidate indépendante du troisième district électorale d'Istanbul, et prisonnière Sebahat Tuncel, dans quelques autres villes a aussi fait une campagne électorale pour quelques candidats qui ont été présentés comme des candidats unis du coté des forces révolutionnaires progressistes. L'avant-garde communiste a considéré la rue comme une arène de lutte incontournable. Pour cette raison, la propagande électorale complète a été organisée dans une ligne qui a mis la rue au centre. En le disant autrement, la propagande électorale de l'avant-garde communiste a impliquée l'organisation d'un mouvement de masses et la lutte dans la rue contre les plans réactionnaires d'une guerre civile et les attaques du fascisme. Dans ce cadre, les marxistes léninistes communistes ont transmis leur rêve de socialisme à des dizaines des milliers d'ouvriers et des travailleurs et ont réuni des centaines d'entre eux dans des actions, des parlements et des tribunaux dans les rues. Les marxistes léninistes communistes que considèrent ces tribunaux ces tribunaux et parlements de rue comme une forme d'organiser les forces dans la rue, ont essayé d'organiser la force de l'action de la rue à travers une agitation ample des masses. Au même temps, l'avant-garde communiste a profité de l'organisation des forces dans la rue pour la préparation concrète de la résistance révolutionnaire contre l'agression fasciste. -Les tribunaux de rue sont devenus dans la pratique des réponses à la conscience pour demander des comptes Les parlements de rue sont devenus une tribune d'où les ouvriers et travailleurs on discuté de leurs revendications à haute voix. Dans ces parlements on été discutés nos problèmes et revendications, stratégies des solutions et comment continuer. Spécialement les parlements de rue sont devenus un moyen spécifique dont leur implémentation ne doit pas être limitée au temps d'élections dans notre pays, mais elle peut être encore plus développée. Les parlements de rue ont développé la conscience pour une démocratie révolutionnaire et ont enrichi les ouvriers et travailleurs avec des expériences pour la lutte à venir. Autre résultat d'importance des élections du 22 juillet, est l'entrée de 22 candidats indépendants du DTP au parlement. A cause de la clause de 10 pour cent pour les partis politiques, le DTP avait décidé de participer avec des candidats indépendants aux élections. Tandis que quelques organisations ont appelé à boycotter les élections, d'autres ont profité de ce temps de travail pour leur propre travail politique. Laissant derrière les élections du 22 juillet, nous regardons le temps à venir que nous amènera une lutte encore plus dure, autant concernant les contradictions entre les camarillas des dominants, comme aussi du point de vue de la classe ouvrière et des travailleurs. L'incapacité de l'armée pour isoler l'AKP pendant les élections présidentielles peut mener à la radicalisation des contradictions dans ce contexte. Les plans et l'intérêt de la dictature fasciste pour envahir le Kurdistan du Sud continue à être un problème urgent, dont la solution est déplacée dans le temps pour après les élections. En partant de ceci, on peut supposer qu'après la victoire électorale de l'AKP, le front des généraux essayera tout le possible pour en fin des comptes prendre l'initiative par soi même. La question kurde continuera à être au premier plan de l'ordre du jour des dominants et l'oppression du peuple kurde et les jeux pervers contre lui, continueront. Ce que les ouvriers et les travailleurs attendent du nouveau gouvernement de l'AKP collaborateur, sont des nouvelles attaques néolibérales, dans le sens de la pauvreté économique et sociale et parallèlement la radicalisation de l'oppression fasciste et les prohibitions comme aussi des dures luttes. Nous, le PCML nous avons évalué les élections comme une période de temps dans lequel augmente l'intérêt des masses dans la politique et dans laquelle la lutte dans la rue est centrale, et pour cette raison nous travaillons avec l'objectif d'augmenter l'agitation et la propagande socialiste et d'organiser les masses pour la révolution et le socialisme. Après les élections, les marxistes léninistes communistes, travailleront avec l'objectif de transformer les potentialités révolutionnaires en sortant à la lumière du jour avec force matérielle. Alors, l'heure est venue d'organiser les conquêtes de la lutte électorale. Nous nous trouvons face au devoir de renforcer nos relations avec les ouvriers et travailleurs, avec lesquels nous avons pris contact. Nous avons pris une place dans leur conscience et dans leur cœur, maintenant nous devons organiser les moyens et les formes de lutte nécessaires pour donner des nouvelles tâches à des nouvelles forces, que nous avons connues pendant le processus des élections afin qu'elles participent dans nos activités dès maintenant. Face aux deux fronts des dominants, que se posent comme deux alternatives, notre parti mobilisera ses forces pour que les forces progressistes, révolutionnaires et socialistes entrent dans un processus pour s'organiser sous forme de « front ».
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