Du PKK au KONGRA-GEL
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Le parti ouvrier du Kurdistan (PKK), qui a fait son irruption en 1984 dans le Kurdistan du Nord, et qu'après détenait le rôle directeur dans la lutte nationale révolutionnaire avec sa lutte de guérilla, pendant les années 1990-1992 a étendu la guerre aux villes, les villes du Kurdistan ont été témoin des soulèvements des masses. En 1993, le mouvement national révolutionnaire a été confronté pour la première fois à des sérieux problèmes et dans le processus suivant des tendances conciliatrices se sont développés et le mouvement à pris une direction réformiste. Pendant cette période, il s'est incliné et s'est libéré des idées, concepts et symboles socialistes. Le fait de que le mouvement révolutionnaire turc a échoué pour ouvrir le deuxième front pour refouler la dictature fasciste ou pour étendre la révolution nationale kurde en Turquie, Le blocus idéologique et politique des EEUU et des réactionnaires impérialistes du monde et la perpétuelle guerre sale de la dictature fasciste colonialiste turque ont eu une grande importance pour la concentration de la ligne réformiste du mouvement national kurde et ils se sont vus dans l'obligation de se rendre.

Dans son 3éme Congrès, le PCML a fait la constations suivante : en ce qui concerne la défaite du PKK, la ligne d'ÖCALAN dans le procès pénal à Imrali et l'approbation de cette ligne par le PKK :» avec l'expulsion du président du PKK de la Syrie, le colonialisme fasciste à donné un pas important, lequel devait perturber l'équilibre stratégique dans sa faveur, avec l'emprisonnement d'ÖCALAN grâce à une conspiration internationale, l'équilibre stratégique a été déséquilibré d'une manière évidente et certaine en faveur de l'Etat bourgeois turc. La ligne de Imrali de Abdullah ÖCALAN est la ligne du piétinement idéologique, de rompre la volonté politique, de la défaite et de l'anéantissement. En adoptant et confirmant la ligne dans son 7éme Congrès, le PKK passe d'une ligne petite bourgeoise nationale révolutionnaire à une ligne petite bourgeoise nationale réformiste.

En accord avec cette ligne, le PKK a commencé par la suite absolument et ouvertement à chercher une solution de la question Kurde à cotés de la bourgeoisie. Il a préparé les conditions et les sentiers idéologiques, politiques et organisationnels pour ceci. Comme orientation à une solution impérialiste il se dissout et fonde le KADEK. Le KADEK a annoncé qu'il rentre dans un processus de changement stratégique et nie le droit à l'autodétermination des nations. Avec sa ligne politique, laquelle ne reconnaît pas le conflit avec l'Etat, et avec son programme, qui contient seulement des revendications démocratiques limitées et lequel décrit une solution pacifique et démocratique. Le KADEK avait pour rôle de limiter et pacifier les dynamiques révolutionnaires des kurdes oppressés, lesquelles sont encore vivantes.

Le KADEK, qui a décrit l'occupation en Irak par les EEUU comme « colonialisme démocratique», commence à chercher une solution de la question kurde à l'intérieur de la marge de la politique des EEUU dans la région. Mais, à ce jour, il n'est toujours pas arrivé à un résultat de la « road map» qui a présenté à l'Etat turc. Et malgré tous leurs efforts, il ne sera pas accepté comme interlocuteur. En suite, il a mis touts ses espoirs dans la recherche d'une solution à l'intérieur des frontières pré-établies par les EEUU. Comme conséquence et nécessité de cette attitude, il liquide le KADEK. Cette fois il change son nom par KONGRA-GEL.

Avec leurs déclarations et leur programme, qui ont été publiés après, KONGRA-GEL défend le point de vue qui nie la libération nationale et des classes. Premièrement, a essayé de résoudre la question kurde aux cotés du colonialisme dans un chemin nommé « politique de paix». Mais, ceci n'a donné aucun résultat. Actuellement il essaye de la résoudre en donnant des pas vers les exigences de l'impérialisme yanqui. KONGRA-GEL a présenté sa fondation comme une contribution à la politique régionale et aux plans des EEUU dans le Moyen Orient.

Avec cette attitude, laquelle est une expression de l'influence forte de la barbarie impérialiste, qui a été distribuée depuis les années 90 avec des consignes comme : « le socialisme est mort» et avec l'attaque idéologique du nouveau ordre mondial, KONGRA-GEL prends un rôle dans lequel il archive les dynamiques révolutionnaires du mouvement national kurde, affaibli les conquêtes de la lutte de libération nationale et dirige le peuple kurde vers des solutions illusoires. Avec le changement de nom, KONGRA-GEL essaye d'empêcher des attaques communs de l'impérialisme yanqui et du fascisme colonialiste turc et de créer les conditions - que ne pouvait pas avoir avec le KADEK- pour devenir un parti légal ou semi légal et faire de la politique avec une base légal.

Notre parti, le PCML, défend le droit à l'autodétermination de la nation Kurde en incluant le droit d'unification de la nation Kurde, laquelle est séparée en quatre parties et qui lutte pour ceci.

Comme force d'avant-garde de la révolution unie en Turquie et au Kurdistan du Nord ; le PCML bien entendu, mène les revendications démocratiques de la nation Kurde au prolétariat et établi un lien juste entre la revendication de la libération nationale et sociale de la nation Kurde avec un point de vue socialiste. Le PCML uni son travail entier ayant pour but les Républiques Soviétiques Unies en Turquie et au Kurdistan du Nord.

 

 

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Le parti ouvrier du Kurdistan (PKK), qui a fait son irruption en 1984 dans le Kurdistan du Nord, et qu'après détenait le rôle directeur dans la lutte nationale révolutionnaire avec sa lutte de guérilla, pendant les années 1990-1992 a étendu la guerre aux villes, les villes du Kurdistan ont été témoin des soulèvements des masses. En 1993, le mouvement national révolutionnaire a été confronté pour la première fois à des sérieux problèmes et dans le processus suivant des tendances conciliatrices se sont développés et le mouvement à pris une direction réformiste. Pendant cette période, il s'est incliné et s'est libéré des idées, concepts et symboles socialistes. Le fait de que le mouvement révolutionnaire turc a échoué pour ouvrir le deuxième front pour refouler la dictature fasciste ou pour étendre la révolution nationale kurde en Turquie, Le blocus idéologique et politique des EEUU et des réactionnaires impérialistes du monde et la perpétuelle guerre sale de la dictature fasciste colonialiste turque ont eu une grande importance pour la concentration de la ligne réformiste du mouvement national kurde et ils se sont vus dans l'obligation de se rendre.

Dans son 3éme Congrès, le PCML a fait la constations suivante : en ce qui concerne la défaite du PKK, la ligne d'ÖCALAN dans le procès pénal à Imrali et l'approbation de cette ligne par le PKK :» avec l'expulsion du président du PKK de la Syrie, le colonialisme fasciste à donné un pas important, lequel devait perturber l'équilibre stratégique dans sa faveur, avec l'emprisonnement d'ÖCALAN grâce à une conspiration internationale, l'équilibre stratégique a été déséquilibré d'une manière évidente et certaine en faveur de l'Etat bourgeois turc. La ligne de Imrali de Abdullah ÖCALAN est la ligne du piétinement idéologique, de rompre la volonté politique, de la défaite et de l'anéantissement. En adoptant et confirmant la ligne dans son 7éme Congrès, le PKK passe d'une ligne petite bourgeoise nationale révolutionnaire à une ligne petite bourgeoise nationale réformiste.

En accord avec cette ligne, le PKK a commencé par la suite absolument et ouvertement à chercher une solution de la question Kurde à cotés de la bourgeoisie. Il a préparé les conditions et les sentiers idéologiques, politiques et organisationnels pour ceci. Comme orientation à une solution impérialiste il se dissout et fonde le KADEK. Le KADEK a annoncé qu'il rentre dans un processus de changement stratégique et nie le droit à l'autodétermination des nations. Avec sa ligne politique, laquelle ne reconnaît pas le conflit avec l'Etat, et avec son programme, qui contient seulement des revendications démocratiques limitées et lequel décrit une solution pacifique et démocratique. Le KADEK avait pour rôle de limiter et pacifier les dynamiques révolutionnaires des kurdes oppressés, lesquelles sont encore vivantes.

Le KADEK, qui a décrit l'occupation en Irak par les EEUU comme « colonialisme démocratique», commence à chercher une solution de la question kurde à l'intérieur de la marge de la politique des EEUU dans la région. Mais, à ce jour, il n'est toujours pas arrivé à un résultat de la « road map» qui a présenté à l'Etat turc. Et malgré tous leurs efforts, il ne sera pas accepté comme interlocuteur. En suite, il a mis touts ses espoirs dans la recherche d'une solution à l'intérieur des frontières pré-établies par les EEUU. Comme conséquence et nécessité de cette attitude, il liquide le KADEK. Cette fois il change son nom par KONGRA-GEL.

Avec leurs déclarations et leur programme, qui ont été publiés après, KONGRA-GEL défend le point de vue qui nie la libération nationale et des classes. Premièrement, a essayé de résoudre la question kurde aux cotés du colonialisme dans un chemin nommé « politique de paix». Mais, ceci n'a donné aucun résultat. Actuellement il essaye de la résoudre en donnant des pas vers les exigences de l'impérialisme yanqui. KONGRA-GEL a présenté sa fondation comme une contribution à la politique régionale et aux plans des EEUU dans le Moyen Orient.

Avec cette attitude, laquelle est une expression de l'influence forte de la barbarie impérialiste, qui a été distribuée depuis les années 90 avec des consignes comme : « le socialisme est mort» et avec l'attaque idéologique du nouveau ordre mondial, KONGRA-GEL prends un rôle dans lequel il archive les dynamiques révolutionnaires du mouvement national kurde, affaibli les conquêtes de la lutte de libération nationale et dirige le peuple kurde vers des solutions illusoires. Avec le changement de nom, KONGRA-GEL essaye d'empêcher des attaques communs de l'impérialisme yanqui et du fascisme colonialiste turc et de créer les conditions - que ne pouvait pas avoir avec le KADEK- pour devenir un parti légal ou semi légal et faire de la politique avec une base légal.

Notre parti, le PCML, défend le droit à l'autodétermination de la nation Kurde en incluant le droit d'unification de la nation Kurde, laquelle est séparée en quatre parties et qui lutte pour ceci.

Comme force d'avant-garde de la révolution unie en Turquie et au Kurdistan du Nord ; le PCML bien entendu, mène les revendications démocratiques de la nation Kurde au prolétariat et établi un lien juste entre la revendication de la libération nationale et sociale de la nation Kurde avec un point de vue socialiste. Le PCML uni son travail entier ayant pour but les Républiques Soviétiques Unies en Turquie et au Kurdistan du Nord.