LA LUTTE CONTRE LA DETENTION EN ISOLEMENT ET LA NOUVELLE LOI PENALE AUGMENTE
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La nouvelle Loi Pénale est un maillon de la chaîne de l'esclavage qui met la dictature fasciste autour du cou des prisonniers révolutionnaires, de la classe ouvrière et des travailleurs de la Turquie, avec le but d'intensifier l'exploitation et la pauvreté. L'Etat Turc veut passer cette loi avant le sommet de l'UE du 17 décembre (dans ce sommet, sera prise la décision sur le début de négociations d'adhésion de la Turquie). Avec cette loi, l'Etat est en train d'essayer de casser la volonté de prisonniers révolutionnaires et d'obtenir qu'ils s'avouent vaincus idéologiquement.

Il leur oblige de porter des vêtements uniformisés, à effectuer des travaux forcés et à se soumettre à toutes les lois et ordres fascistes. Ils essayent de dissuader les combattants pour la liberté et le socialisme, lesquels ont été arrêtés dans le contexte de leur lutte contre la dictature fasciste et internés dans les prisons d'isolement du type F, ils essayent dans leur lutte de les transformer en figures humaines qu'arrêtent de penser, de produire et d'offrir résistance. Mais, l'Etat bourgeois turc a oublié quelque chose: les prisonniers révolutionnaires n'ont pas accepté ses ordres, y compris sous la dictature militaire fasciste, après le coup d'Etat du 12 septembre 1980. Ils ont fait des grands sacrifices et ils ont opposé une résistance réussie avec différents moyens de lutte, y compris avec des grèves de la faim et des grèves de la faim jusqu'à la mort. contre le port des vêtements uniformisés et les ordres fascistes. Aussi aujourd'hui, les prisonniers communistes et révolutionnaires continuent le chemin que des centaines des martyrs ont ouvert pour eux. Notre Parti a perdu beaucoup des cadres et des militants dans la lutte pour les prisons, entre eux Hüseyin Demircioglu, membre du Comité Central de notre Parti PCML, Tuncay Yilidirim et Hüseyin Kayaci. Hüseyin Demircioglu a participé dans la grève de la faim jusqu'à la mort de 1966 avec sa consigne « Je suis en premier ligne» et a marché en défiant les oppresseurs vers la mort.

Une grande partie des forces qui luttent contre la détention en isolement et la nouvelle Loi Pénale, se sont unies et augmentent leurs protestes ensemble dans la rue afin de que la Loi ne soit pas votée dans le Parlement. Les opposants de la détention en isolement, défendent les prisonniers révolutionnaires lesquels offrent résistance dans les prisons, ils n'accepteront pas les ordres fascistes, et, sont fermement décidés de faire résonner les voix des prisonniers révolutionnaires par tout en Turquie et en Kurdistan du Nord. Ils le font, d'un coté pour éclairer les ouvriers et travailleurs sur ces « lois d'esclavage» et d'un autre coté pour protester avec différentes actions contre le projet de loi. Chaque jour ont lieu des nombreuses actions dans la rue et dans des différentes places et centres de résistance, comme par exemple dans des assemblées de discussion, actes, marches, pose des pancartes, distribution des volants et grèves de la faim.

Les plateformes fondées contre la détention en isolement mènent presque tous les jours des actions dans plusieurs villes de Turquie. Le 11 octobre, les participants de ces plateformes se sont réunis à Ankara et ont annoncé qu'ils empêcheront le vote de la loi au Parlement, et criaient des consignes comme « Nous exigeons la dérogation du projet de la Loi Pénale», « Jamais ne pourra être cassée la volonté des prisonniers révolutionnaires», « Les prisonniers révolutionnaires sont notre dignité», « Non aux vêtements uniformisés dans les prisons», « Les prisonniers révolutionnaires ne se rendront pas», et»Nous ferons arrêter l'isolement dans les prisons du type F ainsi qu'à Imrali».

Tandis que le mouvement national kurde lutte pour la levée de l'isolement d'Abdullah Öcalan, lequel se trouve dans l'île d'Imrali, le mouvement révolutionnaire et communiste lutte depuis 4 ans pour la levée de la détention d'isolement dans les prisons d'isolement du Type 4. A ce jour, les deux groupes se sont unis dans la lutte sous la consigne « Non à l'isolement des prisons du type F jusqu'à Imrali».

Les grèves de la faim de la Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), et sa campagne « les ouvriers veulent la liberté», avec laquelle éclairent les ouvriers et incorporent aussi la lutte contre l'isolement dans les prisons, leurs marches dans lesquelles allument des flambeaux et diverses autres actions en forment partie aussi. De plus, l'Association de Droits de l'Homme (IHD) a organisé des assemblées, des congrès et ont effectué de déclarations de presse. Le syndicat Tekstil-Sen (textile) et Limter-Is (Port et Digue) ont organisé des protestes à partir de la base ouvrière, l'Union des Femmes Travailleuses (EKB) et le Front des Droits et des Libertés (HÖC), ont mené à bout des protestes aussi.

Le PCML a joué un rôle important autant dans la fondation comme dans l'activation de la plateforme « Union contre la détention en isolement» et des plateformes similaires, ainsi que dans le renforcement de la lutte contre la nouvelle Loi Pénale.

 

 

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La nouvelle Loi Pénale est un maillon de la chaîne de l'esclavage qui met la dictature fasciste autour du cou des prisonniers révolutionnaires, de la classe ouvrière et des travailleurs de la Turquie, avec le but d'intensifier l'exploitation et la pauvreté. L'Etat Turc veut passer cette loi avant le sommet de l'UE du 17 décembre (dans ce sommet, sera prise la décision sur le début de négociations d'adhésion de la Turquie). Avec cette loi, l'Etat est en train d'essayer de casser la volonté de prisonniers révolutionnaires et d'obtenir qu'ils s'avouent vaincus idéologiquement.

Il leur oblige de porter des vêtements uniformisés, à effectuer des travaux forcés et à se soumettre à toutes les lois et ordres fascistes. Ils essayent de dissuader les combattants pour la liberté et le socialisme, lesquels ont été arrêtés dans le contexte de leur lutte contre la dictature fasciste et internés dans les prisons d'isolement du type F, ils essayent dans leur lutte de les transformer en figures humaines qu'arrêtent de penser, de produire et d'offrir résistance. Mais, l'Etat bourgeois turc a oublié quelque chose: les prisonniers révolutionnaires n'ont pas accepté ses ordres, y compris sous la dictature militaire fasciste, après le coup d'Etat du 12 septembre 1980. Ils ont fait des grands sacrifices et ils ont opposé une résistance réussie avec différents moyens de lutte, y compris avec des grèves de la faim et des grèves de la faim jusqu'à la mort. contre le port des vêtements uniformisés et les ordres fascistes. Aussi aujourd'hui, les prisonniers communistes et révolutionnaires continuent le chemin que des centaines des martyrs ont ouvert pour eux. Notre Parti a perdu beaucoup des cadres et des militants dans la lutte pour les prisons, entre eux Hüseyin Demircioglu, membre du Comité Central de notre Parti PCML, Tuncay Yilidirim et Hüseyin Kayaci. Hüseyin Demircioglu a participé dans la grève de la faim jusqu'à la mort de 1966 avec sa consigne « Je suis en premier ligne» et a marché en défiant les oppresseurs vers la mort.

Une grande partie des forces qui luttent contre la détention en isolement et la nouvelle Loi Pénale, se sont unies et augmentent leurs protestes ensemble dans la rue afin de que la Loi ne soit pas votée dans le Parlement. Les opposants de la détention en isolement, défendent les prisonniers révolutionnaires lesquels offrent résistance dans les prisons, ils n'accepteront pas les ordres fascistes, et, sont fermement décidés de faire résonner les voix des prisonniers révolutionnaires par tout en Turquie et en Kurdistan du Nord. Ils le font, d'un coté pour éclairer les ouvriers et travailleurs sur ces « lois d'esclavage» et d'un autre coté pour protester avec différentes actions contre le projet de loi. Chaque jour ont lieu des nombreuses actions dans la rue et dans des différentes places et centres de résistance, comme par exemple dans des assemblées de discussion, actes, marches, pose des pancartes, distribution des volants et grèves de la faim.

Les plateformes fondées contre la détention en isolement mènent presque tous les jours des actions dans plusieurs villes de Turquie. Le 11 octobre, les participants de ces plateformes se sont réunis à Ankara et ont annoncé qu'ils empêcheront le vote de la loi au Parlement, et criaient des consignes comme « Nous exigeons la dérogation du projet de la Loi Pénale», « Jamais ne pourra être cassée la volonté des prisonniers révolutionnaires», « Les prisonniers révolutionnaires sont notre dignité», « Non aux vêtements uniformisés dans les prisons», « Les prisonniers révolutionnaires ne se rendront pas», et»Nous ferons arrêter l'isolement dans les prisons du type F ainsi qu'à Imrali».

Tandis que le mouvement national kurde lutte pour la levée de l'isolement d'Abdullah Öcalan, lequel se trouve dans l'île d'Imrali, le mouvement révolutionnaire et communiste lutte depuis 4 ans pour la levée de la détention d'isolement dans les prisons d'isolement du Type 4. A ce jour, les deux groupes se sont unis dans la lutte sous la consigne « Non à l'isolement des prisons du type F jusqu'à Imrali».

Les grèves de la faim de la Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), et sa campagne « les ouvriers veulent la liberté», avec laquelle éclairent les ouvriers et incorporent aussi la lutte contre l'isolement dans les prisons, leurs marches dans lesquelles allument des flambeaux et diverses autres actions en forment partie aussi. De plus, l'Association de Droits de l'Homme (IHD) a organisé des assemblées, des congrès et ont effectué de déclarations de presse. Le syndicat Tekstil-Sen (textile) et Limter-Is (Port et Digue) ont organisé des protestes à partir de la base ouvrière, l'Union des Femmes Travailleuses (EKB) et le Front des Droits et des Libertés (HÖC), ont mené à bout des protestes aussi.

Le PCML a joué un rôle important autant dans la fondation comme dans l'activation de la plateforme « Union contre la détention en isolement» et des plateformes similaires, ainsi que dans le renforcement de la lutte contre la nouvelle Loi Pénale.