A la poubelle avec le projet de loi antiterroriste !
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L'Etat fasciste turc dessine à nouveau les limites de « la liberté d'opinion, d'action et d'organisation» en augmentant encore davantage la loi antiterroriste existante, avec le but d'empêcher la lutte de la classe ouvrière, du peuple kurde et des pauvres opprimés. Grâce à la lutte des ouvriers et des travailleurs depuis plusieurs années pour la « liberté d'opinion, d'action et d'organisation», l'Etat bourgeois a été obligé de donner un pas en arrière. Maintenant il ne peut pas avaler ces droits obtenus par la lutte. La Direction Centrale de la Lutte Antiterroriste laquelle s'est réuni pour la première fois depuis, octroi avec son projet de loi des autorités extraordinaires aux postes administratifs. Les dispositions du projet réveillent des préoccupations y compris entre différentes forces à l'intérieur du régime.

Selon le projet de loi, n'emporte qui pourrait être terroriste. Chaque action des opprimés peut être incluse dans la catégorie de « terreur». Avec le point clé du projet, les « mesures préventives» sous la seule suspicion de qu'il serait possible de commettre un crime, la police aurait l'autorité de retirer les droits et libertés d'une personne sans rendre des comptes à personnes. Le fait que dans le sens juridique, le projet de loi offre beaucoup des possibilités d'interprétation, résulte que l'agir arbitraire de la police devient la loi.

Dès maintenant la solidarité internationale est un crime! Au même temps, la nouvelle loi antiterroriste est un obstacle pour la classe ouvrière et les peuples opprimés pour amplifier leur solidarité internationale. C'est un crime de se solidariser avec le peuple palestinien, lequel lutte contre le sionisme israélien ou avec le peuple iraquien lequel défend sa patrie contre l'occupation yankee, est même un crime de saluer leur lutte. La loi antiterroriste est aussi une attaque à la solidarité et à la lutte internationale.

A la poubelle avec le projet de loi antiterroriste!

La Plateforme Socialiste des Opprimés, ESP, continue avec sa campagne contre la loi antiterroriste avec des actions comme déclarations de presse, occupations des édifices du Parti AKP, actions de s'enchaîner dans des lieux symboliques avec des chaînes, conférences, ramassages de signatures, des marches avec des flambeaux et d'autres actions similaires, en premier lieu à Istanbul comme aussi à Izmir, Adana, Ankara, Eskisehir, Mersin, Sivas, Hatay, Bursa et Dersim. Pendant qu'ils distribuaient au peuple des volants avec le titre « A la poubelle le projet de loy antiterroriste !», à Bursa, Dersim, Ankara, Sivas, des marches avec des flambeaux ont été organisées à Istanbul-Okmeydani et Kartal, comme aussi à Adana-Sakirpasa. Ils ont allumé des pancartes dans des ponts, croissements, édifices hauts avec des consignes comme :

« A la poubelle avec le projet de loi antiterroriste, liberté d'opinion, action et organisation !». A Izmir, ont éclairé les ouvriers et travailleurs sur la loi antiterroriste avec des postes d'information et des journaux murales. Ceux de l'ESP se sont enchaînés dans les piliers de la place du Taksim et ont bloqué ainsi le trafic.

Le 19 octobre, les activistes de la ESP à Istanbul ont occupé l'édifice du Parti de la Justice et du Développement, AKP, le parti du gouvernement, dans le quartier Besiktas. Tandis qu'à Bursa, l'Union des Femmes Travailleuses (EKB) a adressé des fax ai TBMM (Parlement turc) le 15 octobre en demandant le refus du projet de loi antiterroriste, la EKB d'Izmir, a organisé une action à la place de Konak. Pendant la nuit du 24 octobre, les jeunes des SGD (Associations Socialistes de la Jeunesse) et la ESP ont mené à but une marche de flambeaux à Istanbul-Esenyurt contre la loi antiterroriste.

La ESP, ainsi que les autres partis et organisations révolutionnaires, démocratiques, progressistes, continuent avec la lutte antiterroriste à travers différentes actions. A Mersin, le HOC (Front des Droits et Libertés) a demandé le refus de la loi antiterroriste avec une action le 5 octobre devant le bureau de l'administration régionale du AKP. Le 8 octobre, divers partis et organisations de masses démocratiques, entre eux la ESP, ont annoncé avec une déclaration de presse, dans la place du Taksim à Istanbul, qu'ils augmenteront « la lutte contre le projet de loi antiterroriste». Le 16 octobre il y a eu une déclaration de presse, dans laquelle, a aussi participé la ESP à Istanbul devant le TUYAP et ont déplié une pancarte commune avec les paroles suivantes: « le Code Pénal Turc et le projet de Loi antiterroriste, sont des ennemis de la liberté d'opinion, de presse et publication». Le 18 octobre, la ESP, Partizan, DHP, IHD et Halkervleri ont protesté contre la nouvelle loi antiterroriste à Adana avec une déclaration. A Istanbul La Plateforme du Peuple de Gazi, a protesté contre la Loi antiterroriste en organisant une manifestation dans l'ancien commissariat de police.

Les Marxistes Léninistes Communistes continuaient à éclairer avec leur lutte contre la Loi antiterroriste, les ouvriers et travailleurs, le peuple kurde, sur leurs droits juridiques et augmentent la lutte avec le but de refuser la loi.

 

 

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L'Etat fasciste turc dessine à nouveau les limites de « la liberté d'opinion, d'action et d'organisation» en augmentant encore davantage la loi antiterroriste existante, avec le but d'empêcher la lutte de la classe ouvrière, du peuple kurde et des pauvres opprimés. Grâce à la lutte des ouvriers et des travailleurs depuis plusieurs années pour la « liberté d'opinion, d'action et d'organisation», l'Etat bourgeois a été obligé de donner un pas en arrière. Maintenant il ne peut pas avaler ces droits obtenus par la lutte. La Direction Centrale de la Lutte Antiterroriste laquelle s'est réuni pour la première fois depuis, octroi avec son projet de loi des autorités extraordinaires aux postes administratifs. Les dispositions du projet réveillent des préoccupations y compris entre différentes forces à l'intérieur du régime.

Selon le projet de loi, n'emporte qui pourrait être terroriste. Chaque action des opprimés peut être incluse dans la catégorie de « terreur». Avec le point clé du projet, les « mesures préventives» sous la seule suspicion de qu'il serait possible de commettre un crime, la police aurait l'autorité de retirer les droits et libertés d'une personne sans rendre des comptes à personnes. Le fait que dans le sens juridique, le projet de loi offre beaucoup des possibilités d'interprétation, résulte que l'agir arbitraire de la police devient la loi.

Dès maintenant la solidarité internationale est un crime! Au même temps, la nouvelle loi antiterroriste est un obstacle pour la classe ouvrière et les peuples opprimés pour amplifier leur solidarité internationale. C'est un crime de se solidariser avec le peuple palestinien, lequel lutte contre le sionisme israélien ou avec le peuple iraquien lequel défend sa patrie contre l'occupation yankee, est même un crime de saluer leur lutte. La loi antiterroriste est aussi une attaque à la solidarité et à la lutte internationale.

A la poubelle avec le projet de loi antiterroriste!

La Plateforme Socialiste des Opprimés, ESP, continue avec sa campagne contre la loi antiterroriste avec des actions comme déclarations de presse, occupations des édifices du Parti AKP, actions de s'enchaîner dans des lieux symboliques avec des chaînes, conférences, ramassages de signatures, des marches avec des flambeaux et d'autres actions similaires, en premier lieu à Istanbul comme aussi à Izmir, Adana, Ankara, Eskisehir, Mersin, Sivas, Hatay, Bursa et Dersim. Pendant qu'ils distribuaient au peuple des volants avec le titre « A la poubelle le projet de loy antiterroriste !», à Bursa, Dersim, Ankara, Sivas, des marches avec des flambeaux ont été organisées à Istanbul-Okmeydani et Kartal, comme aussi à Adana-Sakirpasa. Ils ont allumé des pancartes dans des ponts, croissements, édifices hauts avec des consignes comme :

« A la poubelle avec le projet de loi antiterroriste, liberté d'opinion, action et organisation !». A Izmir, ont éclairé les ouvriers et travailleurs sur la loi antiterroriste avec des postes d'information et des journaux murales. Ceux de l'ESP se sont enchaînés dans les piliers de la place du Taksim et ont bloqué ainsi le trafic.

Le 19 octobre, les activistes de la ESP à Istanbul ont occupé l'édifice du Parti de la Justice et du Développement, AKP, le parti du gouvernement, dans le quartier Besiktas. Tandis qu'à Bursa, l'Union des Femmes Travailleuses (EKB) a adressé des fax ai TBMM (Parlement turc) le 15 octobre en demandant le refus du projet de loi antiterroriste, la EKB d'Izmir, a organisé une action à la place de Konak. Pendant la nuit du 24 octobre, les jeunes des SGD (Associations Socialistes de la Jeunesse) et la ESP ont mené à but une marche de flambeaux à Istanbul-Esenyurt contre la loi antiterroriste.

La ESP, ainsi que les autres partis et organisations révolutionnaires, démocratiques, progressistes, continuent avec la lutte antiterroriste à travers différentes actions. A Mersin, le HOC (Front des Droits et Libertés) a demandé le refus de la loi antiterroriste avec une action le 5 octobre devant le bureau de l'administration régionale du AKP. Le 8 octobre, divers partis et organisations de masses démocratiques, entre eux la ESP, ont annoncé avec une déclaration de presse, dans la place du Taksim à Istanbul, qu'ils augmenteront « la lutte contre le projet de loi antiterroriste». Le 16 octobre il y a eu une déclaration de presse, dans laquelle, a aussi participé la ESP à Istanbul devant le TUYAP et ont déplié une pancarte commune avec les paroles suivantes: « le Code Pénal Turc et le projet de Loi antiterroriste, sont des ennemis de la liberté d'opinion, de presse et publication». Le 18 octobre, la ESP, Partizan, DHP, IHD et Halkervleri ont protesté contre la nouvelle loi antiterroriste à Adana avec une déclaration. A Istanbul La Plateforme du Peuple de Gazi, a protesté contre la Loi antiterroriste en organisant une manifestation dans l'ancien commissariat de police.

Les Marxistes Léninistes Communistes continuaient à éclairer avec leur lutte contre la Loi antiterroriste, les ouvriers et travailleurs, le peuple kurde, sur leurs droits juridiques et augmentent la lutte avec le but de refuser la loi.