Le peuple kurde a surpris la contre guérilla en flagrant délit
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Le 9 novembre 2005, la JITEM (Organisation du service secret de la gendarmerie) a bombardé une librairie dans le département de Semdinli, au Kurdistan du Nord. A été assassiné un patriote kurde et 2 autres ont été blessés. Dans l'espace de deux mois, le peuple de Semdinli a vécu 17 provocations et massacres de la part du régime colonialiste fasciste, mais, cette fois a attrapé avec détermination et héroïsme les terroristes du JITEM qui lancent des bombes. Deux soldats vêtus en civil et un transfuge ont été remis à l'Etat. Montrant une grande vigilance politique, attention et initiative, ne se sont pas laissés entraîner par la haine des masses ni par les sentiments et n'ont pas tués les auteurs du crime, lequel au fond avaient bien mérité la mort. Avec les armes utilisées pour le délit, les plans d'attaque, les listes noires et les bombes de la contre guérilla ont été remis à leur propriétaire, ça veut dire à l'Etat. Et maintenant la bombe a explosée dans les mains de l'Etat.

L'Etat devient fou en essayant de cacher cet événement. Ainsi que les membres de la contra guérilla, ils ont fait feux sur le procureur qui dirigeait la enquête là bas, le député Esat Canan, lequel se trouvait en ce moment et sur le peuple. Un patriote de plus a été assassiné là bas.

L'opinion publique turque parle de ces événements à Semdinli, comme le second Susurluk (nom d'une agglomération dans la région Egée de Turquie), dans l'affaire de Susurluk il s'agit d'un accident de la circulation le 3 novembre 1996, laquelle a mis en évidence la relation organique du tringle : maffia-Etat-politique.

Ceci veut dire que Susurluk est devenu un synonyme du réseau des relations sales et obscures de l'Etat fasciste. Les preuves et les auteurs du crime de contre provocation que se concentrait dans le triangle Yüksekova-Semdinli-Haklari, sont sortis à la lumière du jour conjointement avec les commandants. Pas seulement ont été dévoilés les soldats du JITEM , lesquels avaient été surpris, les armes, les plans et les listes noires, mais aussi les commandants à travers les déclarations. Le commandant est l'Etat Majeur turc, probablement le futur chef de l'Etat Majeur Y Büyükanit, a confessé son rôle en tant que commandant et sa complicité en disant lorsqu'il se référait à un des auteurs du crime de la contre guérilla « Ali es un homme bon, il ne commet pas des crimes». Il a mentionné que les forces du PKK sont venues déjà au printemps de l'Irak vers la Turquie et ont amenés avec eux des grandes quantités d'explosif C-4 et qu'ils réaliseraient des actions avec celui-ci. Le général qui a été encerclé a voulu boycotter l'enquête et jeter la responsabilité des contre actions sur le PKK en mentionnant dans le journal de qu'il y avait beaucoup d'explosifs partout.

La contre action menée à Semdinli n'est pas une action de l'Etat dans l'Etat, ni d'un groupe à l'intérieur de l'Etat que agisse indépendamment. Il ne s'agit pas d'une action locale et pas non plus d'un hasard. Bien au contraire, c'est la répétition de la politique de négation et d'anéantissement traditionnel des contres attaques du régime fasciste lequel est bien connu pour ce type de politique.

L'affaire de Semdinli fait partie du concept d'attaque total, lequel a commencé le 21 mars 2005, dans la ville de Mersin, avec l'hystérie chauviniste contre la manifestation de Newroz, contre le peuple kurde et contre les révolutionnaires de Turquie et qui a continué avec les lynchages à Trabzon, Gemlik, Rize et d'autres villes.

Les contre attaques poursuivent la finalité de casser et démoraliser le peuple kurde et le mouvement révolutionnaire, à travers de menaces et d'intimidations, de rendre inoffensives les dynamiques de lutte, d'interrompre le lien des masses patriotes kurdes avec les guérilleros.

Poursuivent le but d'augmenter la pression réactionnaire fasciste à l'opposition sociale à travers de la guerre sale psychologique, soutenue par les médias. Il s'agit de légitimer juridiquement ces attaques par la nouvelle loi d'exécution pénale récemment adoptée, le Code Pénal Turc et la loi antiterroriste.

La résistance du peuple kurde à la vie à la mort, un mouvement militant de masses avec des actions illégales el la pratique de Serhildans (soulèvements), sa marche contre les assassinats et tanks, la participation de douzaines de milliers dans les funérailles, les actions s'étendant encore de la part de forces progressistes et révolutionnaires de l'Ouest font peur aux classes dominantes. Cette peur se voit aussi dans les discours, promesses et menaces du Premier Ministre T. Erdogan pendant les visites à Semdinli et Haklari, qui ont été réalisées soudainement et sans information antérieure.

Mais quelles étaient les conditions politiques ou événements qui causaient l'explosion de la bombe de la contre guérilla dans la librairie et dans les mains de l'Etat.

Sans aucun doute, on ne peut considérer les conditions politiques sans considérer l'occupation de l'Irak par les EEUU, au Moyen rient et la question kurde en Turquie et non plus sans considérer les contradictions et les conflits des groupuscules des classes dominantes en Turquie.

L'occupation de l'Irak par les EEUU a amené à des nouvelles proportions de forces et à des nouveaux balances en Irak et au Moyen Orient, et a permis la naissance des différentes volontés et mouvements à base politique, nationale et religieuse à des nouvelles alliances et tendances.

La formation d'une fédération au Kurdistan du Sud (Kurdistan iraquien) ou la « formation d'Etat» sous la coupe des EEUU, la visite de Barzani comme«Président de la Fédération du Kurdistan»

aux EEUU, Angleterre, Italie, etc. et ses déclarations, l'élection de Talabani comme président de l'Etat d'Irak et faits semblables, pas seulement ce sont des faits importants pour l'Irak, mais aussi pour le Moyen Orient tout entier et les trois autres parties du Kurdistan. Ces événements dans le domaine national, économique et culturel sont tentants pour tous les kurdes dans cette région. Dans les sentiments et souhaits nationaux des kurdes, dans leur conscience et dans leurs têtes, ces faits signifient un point décisif historique. D'autre part, le peuple kurde au Kurdistan du Nord s'est libéré par sa lutte nationale qui mène depuis 25 ans. Se développe encore d'avantage le réveil national, le soulèvement, la conscience pour l'action et l'organisation. Nous pouvons dire que la nation kurde au Moyen Orient est passée avec sa conscience nationale, sa volonté, ses actions et revendications à une phase que ne peut être annulée. Les EEUU, et l'UE, l'Iran, La Syrie et le régime colonialiste turc, voient aussi la même chose. Les«lignes rouges» de l'Etat bourgeois turc ont disparues. Jusqu'à que, à cause des forces militaires des EEUU, il ne peut intervenir au Kurdistan du Sud.

Les événements en Irak vont vers la formation de trois états (chiites, sunnites et kurdes). Le PDK (Parti Démocratique Kurde) et la AKP (Alliance Kurde des Patriotes) aujourd'hui sont les loyaux collaborateurs des EEUU en Irak. Les EEUU pensent qu'ils peuvent réaliser sa politique stratégique, ses plans et attaques, concernant le Projet Grand Moyen Orient, en Syrie et en Iran, à travers ces partis, ceci veut dire, en s'appuyant dans le peuple kurde. Pour cette raison, dans cette région sont dans une « collaboration stratégique» avec le PDK et la AKP.

Le régime colonialiste turc voit un signe pour la séparation d'un Kurdistan uni.

Considère comme seule solution la politique de négation et d'anéantissement traditionnelle, s'il ne peut trouver une nouvelle politique et orientation face aux revendications nationales et démocratiques du peuple kurde au Kurdistan du Nord. Et alors, applique à nouveau les relations, méthodes et actions sales, obscures et sans règles.

En attendant, il s'est mis d'accord avec les EEUU et l'UE sur une solution de la question kurde « sans le PKK et sans A. Öcalan». Les EEUU et l'UE veulent qu'au Kurdistan du Nord se développe aussi une ligne politique selon le modèle du PDK et de la AKP. Les ambassadeurs yankees l'expriment ouvertement face au Maire kurde et aux représentants des organisations de masses. Et dans le rapport d'étude Turquie-UE, l'UE réfléchit sur le fait que « la source de terreur en Turquie est le PKK».

Le PKK et le mouvement national kurde voient aussi cette perspective et souhaitent l'utiliser. A cause de ceci, ont mis le point de mire des demandes nationales et politiques, qu'avaient perdu des points comme « autonomie», « Turquie démocratique», etc., un peut plus haut dans le nouveau processus, par exemple les droits nationaux et démocratiques et l'identité nationale des kurdes, garantis dans la Constitution, formulation des revendications comme acceptation de

Öcalan, comme « volonté nationale», fédération, etc. Il y a peu, Cemil Bakik, un des responsables du PKK, a appelé le peuple kurde, en partant des Serhildans dans les villes kurdes à « marcher vers l'Etat».

La Turquie et le Kurdistan du Nord vivent des jours équivalents à des points décisifs historiques. Dans ce processus incombent des devoirs importants au mouvement révolutionnaire et communiste : l'affirmation « un peuple qui oppresse un autre peuple ne peut être libre», signale le devoir actuel, br»lant, de la lutte démocratique, politique et de liberté, et l'histoire et la lutte internationale, au sens propre du terme, et la solidarité montrent le besoin d'une lutte unifiée avec le peuple kurde contre le concept d'attaque total.

Dans le concept d'attaque total, le PCML mène une lutte effective et politique autant avec des actions indépendantes, comme aussi avec des actions d'unité avec le mouvement patriote kurde contre les provocations et massacres que se développent sous la forme des lynchages et des contre actions. Se solidarise avec le peuple kurde à travers des meetings de masses, des actions comme construire des barricades, des luttes de rues, blocage des rues, des actions de violence des groupes et des masses contre les forces et institutions de la police et de l'armée à Istanbul, Ankara, Izmir et dans les villes kurdes comme Malatya et Antep.

 

 

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Le 9 novembre 2005, la JITEM (Organisation du service secret de la gendarmerie) a bombardé une librairie dans le département de Semdinli, au Kurdistan du Nord. A été assassiné un patriote kurde et 2 autres ont été blessés. Dans l'espace de deux mois, le peuple de Semdinli a vécu 17 provocations et massacres de la part du régime colonialiste fasciste, mais, cette fois a attrapé avec détermination et héroïsme les terroristes du JITEM qui lancent des bombes. Deux soldats vêtus en civil et un transfuge ont été remis à l'Etat. Montrant une grande vigilance politique, attention et initiative, ne se sont pas laissés entraîner par la haine des masses ni par les sentiments et n'ont pas tués les auteurs du crime, lequel au fond avaient bien mérité la mort. Avec les armes utilisées pour le délit, les plans d'attaque, les listes noires et les bombes de la contre guérilla ont été remis à leur propriétaire, ça veut dire à l'Etat. Et maintenant la bombe a explosée dans les mains de l'Etat.

L'Etat devient fou en essayant de cacher cet événement. Ainsi que les membres de la contra guérilla, ils ont fait feux sur le procureur qui dirigeait la enquête là bas, le député Esat Canan, lequel se trouvait en ce moment et sur le peuple. Un patriote de plus a été assassiné là bas.

L'opinion publique turque parle de ces événements à Semdinli, comme le second Susurluk (nom d'une agglomération dans la région Egée de Turquie), dans l'affaire de Susurluk il s'agit d'un accident de la circulation le 3 novembre 1996, laquelle a mis en évidence la relation organique du tringle : maffia-Etat-politique.

Ceci veut dire que Susurluk est devenu un synonyme du réseau des relations sales et obscures de l'Etat fasciste. Les preuves et les auteurs du crime de contre provocation que se concentrait dans le triangle Yüksekova-Semdinli-Haklari, sont sortis à la lumière du jour conjointement avec les commandants. Pas seulement ont été dévoilés les soldats du JITEM , lesquels avaient été surpris, les armes, les plans et les listes noires, mais aussi les commandants à travers les déclarations. Le commandant est l'Etat Majeur turc, probablement le futur chef de l'Etat Majeur Y Büyükanit, a confessé son rôle en tant que commandant et sa complicité en disant lorsqu'il se référait à un des auteurs du crime de la contre guérilla « Ali es un homme bon, il ne commet pas des crimes». Il a mentionné que les forces du PKK sont venues déjà au printemps de l'Irak vers la Turquie et ont amenés avec eux des grandes quantités d'explosif C-4 et qu'ils réaliseraient des actions avec celui-ci. Le général qui a été encerclé a voulu boycotter l'enquête et jeter la responsabilité des contre actions sur le PKK en mentionnant dans le journal de qu'il y avait beaucoup d'explosifs partout.

La contre action menée à Semdinli n'est pas une action de l'Etat dans l'Etat, ni d'un groupe à l'intérieur de l'Etat que agisse indépendamment. Il ne s'agit pas d'une action locale et pas non plus d'un hasard. Bien au contraire, c'est la répétition de la politique de négation et d'anéantissement traditionnel des contres attaques du régime fasciste lequel est bien connu pour ce type de politique.

L'affaire de Semdinli fait partie du concept d'attaque total, lequel a commencé le 21 mars 2005, dans la ville de Mersin, avec l'hystérie chauviniste contre la manifestation de Newroz, contre le peuple kurde et contre les révolutionnaires de Turquie et qui a continué avec les lynchages à Trabzon, Gemlik, Rize et d'autres villes.

Les contre attaques poursuivent la finalité de casser et démoraliser le peuple kurde et le mouvement révolutionnaire, à travers de menaces et d'intimidations, de rendre inoffensives les dynamiques de lutte, d'interrompre le lien des masses patriotes kurdes avec les guérilleros.

Poursuivent le but d'augmenter la pression réactionnaire fasciste à l'opposition sociale à travers de la guerre sale psychologique, soutenue par les médias. Il s'agit de légitimer juridiquement ces attaques par la nouvelle loi d'exécution pénale récemment adoptée, le Code Pénal Turc et la loi antiterroriste.

La résistance du peuple kurde à la vie à la mort, un mouvement militant de masses avec des actions illégales el la pratique de Serhildans (soulèvements), sa marche contre les assassinats et tanks, la participation de douzaines de milliers dans les funérailles, les actions s'étendant encore de la part de forces progressistes et révolutionnaires de l'Ouest font peur aux classes dominantes. Cette peur se voit aussi dans les discours, promesses et menaces du Premier Ministre T. Erdogan pendant les visites à Semdinli et Haklari, qui ont été réalisées soudainement et sans information antérieure.

Mais quelles étaient les conditions politiques ou événements qui causaient l'explosion de la bombe de la contre guérilla dans la librairie et dans les mains de l'Etat.

Sans aucun doute, on ne peut considérer les conditions politiques sans considérer l'occupation de l'Irak par les EEUU, au Moyen rient et la question kurde en Turquie et non plus sans considérer les contradictions et les conflits des groupuscules des classes dominantes en Turquie.

L'occupation de l'Irak par les EEUU a amené à des nouvelles proportions de forces et à des nouveaux balances en Irak et au Moyen Orient, et a permis la naissance des différentes volontés et mouvements à base politique, nationale et religieuse à des nouvelles alliances et tendances.

La formation d'une fédération au Kurdistan du Sud (Kurdistan iraquien) ou la « formation d'Etat» sous la coupe des EEUU, la visite de Barzani comme«Président de la Fédération du Kurdistan»

aux EEUU, Angleterre, Italie, etc. et ses déclarations, l'élection de Talabani comme président de l'Etat d'Irak et faits semblables, pas seulement ce sont des faits importants pour l'Irak, mais aussi pour le Moyen Orient tout entier et les trois autres parties du Kurdistan. Ces événements dans le domaine national, économique et culturel sont tentants pour tous les kurdes dans cette région. Dans les sentiments et souhaits nationaux des kurdes, dans leur conscience et dans leurs têtes, ces faits signifient un point décisif historique. D'autre part, le peuple kurde au Kurdistan du Nord s'est libéré par sa lutte nationale qui mène depuis 25 ans. Se développe encore d'avantage le réveil national, le soulèvement, la conscience pour l'action et l'organisation. Nous pouvons dire que la nation kurde au Moyen Orient est passée avec sa conscience nationale, sa volonté, ses actions et revendications à une phase que ne peut être annulée. Les EEUU, et l'UE, l'Iran, La Syrie et le régime colonialiste turc, voient aussi la même chose. Les«lignes rouges» de l'Etat bourgeois turc ont disparues. Jusqu'à que, à cause des forces militaires des EEUU, il ne peut intervenir au Kurdistan du Sud.

Les événements en Irak vont vers la formation de trois états (chiites, sunnites et kurdes). Le PDK (Parti Démocratique Kurde) et la AKP (Alliance Kurde des Patriotes) aujourd'hui sont les loyaux collaborateurs des EEUU en Irak. Les EEUU pensent qu'ils peuvent réaliser sa politique stratégique, ses plans et attaques, concernant le Projet Grand Moyen Orient, en Syrie et en Iran, à travers ces partis, ceci veut dire, en s'appuyant dans le peuple kurde. Pour cette raison, dans cette région sont dans une « collaboration stratégique» avec le PDK et la AKP.

Le régime colonialiste turc voit un signe pour la séparation d'un Kurdistan uni.

Considère comme seule solution la politique de négation et d'anéantissement traditionnelle, s'il ne peut trouver une nouvelle politique et orientation face aux revendications nationales et démocratiques du peuple kurde au Kurdistan du Nord. Et alors, applique à nouveau les relations, méthodes et actions sales, obscures et sans règles.

En attendant, il s'est mis d'accord avec les EEUU et l'UE sur une solution de la question kurde « sans le PKK et sans A. Öcalan». Les EEUU et l'UE veulent qu'au Kurdistan du Nord se développe aussi une ligne politique selon le modèle du PDK et de la AKP. Les ambassadeurs yankees l'expriment ouvertement face au Maire kurde et aux représentants des organisations de masses. Et dans le rapport d'étude Turquie-UE, l'UE réfléchit sur le fait que « la source de terreur en Turquie est le PKK».

Le PKK et le mouvement national kurde voient aussi cette perspective et souhaitent l'utiliser. A cause de ceci, ont mis le point de mire des demandes nationales et politiques, qu'avaient perdu des points comme « autonomie», « Turquie démocratique», etc., un peut plus haut dans le nouveau processus, par exemple les droits nationaux et démocratiques et l'identité nationale des kurdes, garantis dans la Constitution, formulation des revendications comme acceptation de

Öcalan, comme « volonté nationale», fédération, etc. Il y a peu, Cemil Bakik, un des responsables du PKK, a appelé le peuple kurde, en partant des Serhildans dans les villes kurdes à « marcher vers l'Etat».

La Turquie et le Kurdistan du Nord vivent des jours équivalents à des points décisifs historiques. Dans ce processus incombent des devoirs importants au mouvement révolutionnaire et communiste : l'affirmation « un peuple qui oppresse un autre peuple ne peut être libre», signale le devoir actuel, br»lant, de la lutte démocratique, politique et de liberté, et l'histoire et la lutte internationale, au sens propre du terme, et la solidarité montrent le besoin d'une lutte unifiée avec le peuple kurde contre le concept d'attaque total.

Dans le concept d'attaque total, le PCML mène une lutte effective et politique autant avec des actions indépendantes, comme aussi avec des actions d'unité avec le mouvement patriote kurde contre les provocations et massacres que se développent sous la forme des lynchages et des contre actions. Se solidarise avec le peuple kurde à travers des meetings de masses, des actions comme construire des barricades, des luttes de rues, blocage des rues, des actions de violence des groupes et des masses contre les forces et institutions de la police et de l'armée à Istanbul, Ankara, Izmir et dans les villes kurdes comme Malatya et Antep.