5ème Conférence Contre la Disparition Forcée, célébrée à Diyarbakir
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La 5ème Conférence Internationale Contre ka Disparition Forcée, -la 1ère a été réalisé du 17 au 19 mai 1966 à Istanbul, a été organisée à Amed-(appelé officiellement Diyarbakir par l'Etat colonialiste turc) une ville du Kurdistan du Nord. Dans la première conférence - qui a été célébrée avec succès, malgré les prohibitions, attaques et détention par l'Etat turc en 1966- se sont retrouvés des proches des disparus et des défenseurs des Droits de l'Homme de 14 pays différents, et entendant le besoin d'une organisation internationale, ont fondé ICAD. Le Comité International Contre Les Disparitions. ICAD a organisé sa seconde Conférence en 1997 à Bogota (Colombie) avec ANDAS, la troisième, en, 1999 à Manille (Iles Philippines) en association avec Karapatan et la quatrième, en 2002 à Nuremberg (Allemagne).

Du 16 au 20 mai 2006, ICAD a organisée sa cinquième Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées, avec YAKAY-DER (Association de Soutient et Solidarité avec les Familles des Disparus) fondée par des proches des disparus kurdes. Les appels à la Conférence e les préparations ont commencé en mai 2006 et au total ont participé 175 délégués (48 d'entre eux, des délégués internationaux) de 20 pays différents. Dans les groupes de travail organisés sous les tires "Violations des Droits de l'Homme, disparition et perspectives de lutte". "Stratégies de guerre et la réalité au Moyen Orient aujourd'hui" et "Poli-tiques de l'économie néolibéral et néolibéralisme", la Conférence qu'a été organisée sous le thème principal de "Guerre et occupation: violations des droits de l'homme, torture et disparition forcée" a jeté la lumière encore une fois sur la relation entre les disparitions, les violations de droit de l'homme et le système capitaliste de répression et exploitation existante.

Malgré les efforts de l'Etat turc pour affaiblir la participation à la Conférence, refusant de donner des visas à des délégués qui souhaitaient venir des quelques pays africains et de l'Irak, en interdisant le concert à l'air libre qui était prévu dans le programme de la Conférence, en enregistrant toute la Conférence avec des caméras vidéo, en enregistrant les données personnelles des orateurs et en essayant de les arrêter, les participants à la Conférence ont montré vaillamment le haut degré de barbarie des disparitions et des violations des droits de l'homme.

La Conférence a commencé avec une manifestation assisse, organisée en commémoration des ceux qui ont disparu sous détention policière, et a continué avec plusieurs activités, comme une conférence de presse, une exposition pour les disparus, plantation des arbres, visionnage des films, des discours des familles des disparus, les sessions principales de la conférence, les groupes de travail et la commémoration de Vedat Aydin devant sa tombe, lequel était un des dirigeants de la IHD (Association des Droits de l'Homme) et qui a été assassiné par l'Etat. Pendant toute la Conférence, qui a commencée dans la rue et qui a conclue dans la rue, les proches des disparus ont mis en relief leurs exigences qu'il soit éclairci ce qui est arrivé avec les disparus et que les fosses communes soient ouvertes. Malgré que la police molestait à cause, de l'utilisation des mots comme "Kurdistan", "Guérill», "Serhildan (soulèvement)", "Etat assassin" et leurs menaces contre ceux qu'utilisaient des telles paroles, beaucoup des proches des disparus ont continué et insisté dans l'usage de ces paroles dans leurs discours et ceci signifie un coup à la figure de l'Etat colonialiste turc.

Organiser la 5ème Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées à Amed, qui est une porte vers le Moyen Orient, où les guerres, occupations, disparitions et violations des droits de l'homme, arrivent de manière encore plus concentrée dans les dernières années et qui est le centre des disparitions, massacres et méthodes de la guerre sale, qui ont augmenté à nouveau récemment en Turquie et Kurdistan du Nord, était la réponse du front des ouvriers et travailleurs à l'Etat fasciste turc et à l'impérialisme, du sionisme, de l'occupation et du colonialisme et pour avancer la lutte unie des peuples. A souligné son soutient à la lutte du peuple argentin et aux mères de la Place de Mai, à la lutte du peuple Mapuche au Chili et à la lutte du peuple colombien. La Conférence, où aussi ont été exprimé solidarité et salutatio 0éux prisonniers politiques, est devenu un moyen pour construire la solidarité internationale.

Autre fait qui a montré à nouveau l'importance de mener une conférence internationale a été le fait que pendant le travail de préparation de la conférence, a été dévoilé que 400 personnes de plus sont disparus en détention policière, en Turquie et Kurdistan du Nord, de celles qui avaient été répertoriées avant la Conférence.

Les Marxistes Léninistes Communistes -lesquels ont commencé à luter contre la politique de l'Etat et contre la disparition, avec la campagne pour Hasan Ocak, qui ont initiée les Meres du Samedi, et ont élevé la lutte au niveau international, en organisant la 1ère Conférence Contre les Disparitions Forcées- dix années après ils ont mené leur lutte au Kurdistan, avec la 5ème Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées, en mobilisant ses forces dans le processus de préparation de la Conférence, avec leur travail des masses e avec ses efforts et contributions pendant la Conférence.

 

 

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5ème Conférence Contre la Disparition Forcée, célébrée à Diyarbakir
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La 5ème Conférence Internationale Contre ka Disparition Forcée, -la 1ère a été réalisé du 17 au 19 mai 1966 à Istanbul, a été organisée à Amed-(appelé officiellement Diyarbakir par l'Etat colonialiste turc) une ville du Kurdistan du Nord. Dans la première conférence - qui a été célébrée avec succès, malgré les prohibitions, attaques et détention par l'Etat turc en 1966- se sont retrouvés des proches des disparus et des défenseurs des Droits de l'Homme de 14 pays différents, et entendant le besoin d'une organisation internationale, ont fondé ICAD. Le Comité International Contre Les Disparitions. ICAD a organisé sa seconde Conférence en 1997 à Bogota (Colombie) avec ANDAS, la troisième, en, 1999 à Manille (Iles Philippines) en association avec Karapatan et la quatrième, en 2002 à Nuremberg (Allemagne).

Du 16 au 20 mai 2006, ICAD a organisée sa cinquième Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées, avec YAKAY-DER (Association de Soutient et Solidarité avec les Familles des Disparus) fondée par des proches des disparus kurdes. Les appels à la Conférence e les préparations ont commencé en mai 2006 et au total ont participé 175 délégués (48 d'entre eux, des délégués internationaux) de 20 pays différents. Dans les groupes de travail organisés sous les tires "Violations des Droits de l'Homme, disparition et perspectives de lutte". "Stratégies de guerre et la réalité au Moyen Orient aujourd'hui" et "Poli-tiques de l'économie néolibéral et néolibéralisme", la Conférence qu'a été organisée sous le thème principal de "Guerre et occupation: violations des droits de l'homme, torture et disparition forcée" a jeté la lumière encore une fois sur la relation entre les disparitions, les violations de droit de l'homme et le système capitaliste de répression et exploitation existante.

Malgré les efforts de l'Etat turc pour affaiblir la participation à la Conférence, refusant de donner des visas à des délégués qui souhaitaient venir des quelques pays africains et de l'Irak, en interdisant le concert à l'air libre qui était prévu dans le programme de la Conférence, en enregistrant toute la Conférence avec des caméras vidéo, en enregistrant les données personnelles des orateurs et en essayant de les arrêter, les participants à la Conférence ont montré vaillamment le haut degré de barbarie des disparitions et des violations des droits de l'homme.

La Conférence a commencé avec une manifestation assisse, organisée en commémoration des ceux qui ont disparu sous détention policière, et a continué avec plusieurs activités, comme une conférence de presse, une exposition pour les disparus, plantation des arbres, visionnage des films, des discours des familles des disparus, les sessions principales de la conférence, les groupes de travail et la commémoration de Vedat Aydin devant sa tombe, lequel était un des dirigeants de la IHD (Association des Droits de l'Homme) et qui a été assassiné par l'Etat. Pendant toute la Conférence, qui a commencée dans la rue et qui a conclue dans la rue, les proches des disparus ont mis en relief leurs exigences qu'il soit éclairci ce qui est arrivé avec les disparus et que les fosses communes soient ouvertes. Malgré que la police molestait à cause, de l'utilisation des mots comme "Kurdistan", "Guérill», "Serhildan (soulèvement)", "Etat assassin" et leurs menaces contre ceux qu'utilisaient des telles paroles, beaucoup des proches des disparus ont continué et insisté dans l'usage de ces paroles dans leurs discours et ceci signifie un coup à la figure de l'Etat colonialiste turc.

Organiser la 5ème Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées à Amed, qui est une porte vers le Moyen Orient, où les guerres, occupations, disparitions et violations des droits de l'homme, arrivent de manière encore plus concentrée dans les dernières années et qui est le centre des disparitions, massacres et méthodes de la guerre sale, qui ont augmenté à nouveau récemment en Turquie et Kurdistan du Nord, était la réponse du front des ouvriers et travailleurs à l'Etat fasciste turc et à l'impérialisme, du sionisme, de l'occupation et du colonialisme et pour avancer la lutte unie des peuples. A souligné son soutient à la lutte du peuple argentin et aux mères de la Place de Mai, à la lutte du peuple Mapuche au Chili et à la lutte du peuple colombien. La Conférence, où aussi ont été exprimé solidarité et salutatio 0éux prisonniers politiques, est devenu un moyen pour construire la solidarité internationale.

Autre fait qui a montré à nouveau l'importance de mener une conférence internationale a été le fait que pendant le travail de préparation de la conférence, a été dévoilé que 400 personnes de plus sont disparus en détention policière, en Turquie et Kurdistan du Nord, de celles qui avaient été répertoriées avant la Conférence.

Les Marxistes Léninistes Communistes -lesquels ont commencé à luter contre la politique de l'Etat et contre la disparition, avec la campagne pour Hasan Ocak, qui ont initiée les Meres du Samedi, et ont élevé la lutte au niveau international, en organisant la 1ère Conférence Contre les Disparitions Forcées- dix années après ils ont mené leur lutte au Kurdistan, avec la 5ème Conférence Internationale Contre les Disparitions Forcées, en mobilisant ses forces dans le processus de préparation de la Conférence, avec leur travail des masses e avec ses efforts et contributions pendant la Conférence.