Liberté pour les prisonniers politiques du 10 septembre !
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Au mois de septembre, la dictature fasciste colonialiste a organisé une attaque contre notre parti, dans une dimension que nous rappelle les périodes des coups d'état fascistes. L'objectif principal de cette attaque de l'ennemi était de rompre la volonté de notre parti et de disperser et détruire sa ligne et ses forces. Cette attaque n'a pas seulement été conduite contre notre parti, mais bien plus loin, a été conduite avec l'objectif de détruire, désorganiser, marginaliser et rompre la légitimité des positions conquises par la classe ouvrière et les masses travailleuses, surtout, les positions révolutionnaires et socialistes qui sont en première file dans la lutte contre la dictature fasciste colonialiste.
Notre parti a compris cette attaque exactement avec ses objectifs et caractères politiques et les réponds de la même manière. Notre parti continue à développer sa lutte avec la détermination de décaper cette attaque et de prendre la première joie de victoire sur la dictature fasciste colonialiste.
De plus, celui-ci n'est pas la première attaque contre notre parti, de la dictature fasciste colonialiste, que leur explose dans les mains. Et, nous avons cumulée des nombreuses expériences dans notre histoire, dans ce contexte.
Nous avons pris les attaques passées du régime fasciste contre notre parti et d'autres forces révolutionnaires, pas comme une affaire de vengeance entre le régime et nous, mais comme des attaques contre l'espoir et la lutte de la classe ouvrière et des masses travailleuses, et nous l'avons répondu de la même manière. Cette dernière attaque a été répondue aussi de la même manière. Dans la période après la fondation de notre parti, devant le soulèvement de Gazi, en 1995, lequel a été répondu dans la ligne de devenir un parti dirigeant et qui a été conduit par notre parti, ont séquestré et fait disparaître notre camarade Hasan Ocak, comme une vengeance et menace contre notre parti. Le résultat a été exactement une défaite politique pour eux-mêmes. Devant cette attaque, notre parti a converti la haine cumulée contre des centaines des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires en Turquie et au Kurdistan du Nord, dans une lutte sous la forme d'une campagne politique. Le corps de Hasan a été retrouvé. Une position de lutte contre la torture et les disparitions forcées a été gagnée, laquelle s'est maintenue pendant des années. L'Etat a été surpris in fragrant et a été dénoncé. La torture d'abus et viols en détention est devenu un instrument pour dénoncer le régime fasciste. Les complots de l'état pour cataloguer les révolutionnaires et communistes comme des terroristes, détentions et emprisonnements ont été démasqués. Les attaques de la dictature fasciste a été un tremplin pour faire la classe ouvrière et les travailleurs comprendre le caractère du régime et les mobiliser à la lutte, ainsi que pour augmenter les luttes, pas seulement entre les révolutionnaires et l'état, mais entre les masses ouvrières et travailleuses et l'état conduite par les forces révolutionnaires.
Nous répondons et répondrons à cette dernière attaque, aussi dans cette ligne, avec le cumul de notre lutte depuis 12 ans, et de l'orientation après notre 3ème Congrès.
Ce qui est arrivé est une agression idéologique contre l'idée de la « lutte révolutionnaires en base à la violence armée en dehors des limites du système, non ? Alors nous allons utiliser les attaques pour parfaire notre marche dans cette même ligne et nous allons utiliser la violence révolutionnaire pour refouler ces attaques.
Les attaques sont une partie de l'affront contre le mouvement révolutionnaire et le mouvement national kurde, non ? Alors, nous allons convertir l'attaque dans un instrument pour augmenter la résistance unie contre la Loi Antiterroriste qu'a été approuvée avec ce but et pour consolider l'union et la solidarité entre les forces révolutionnaires et progressistes et du mouvement national kurde ; et nous allons convertir cette poussée en un instrument pour refouler les attaques.
C'est une tentative de la dictature fasciste pour rompre notre ligne de masses et notre volonté de mobiliser la classe ouvrière et les opprimés sur la base de leurs principaux problèmes, non ? Alors, nous augmenterons la lutte des masses contre la Loi Anti-terroriste et les attaques fascistes et nous ferons des nos liens profonds avec les masses, un instruments pour refouler ces attaques.
En somme, notre lutte contre les attaques sera menée à bout sur la base de la mobilisation des masses. L'objectif de la lutte sera de rendre la Loi Anti-terroriste inefficace et de l'envoyer à la poubelle en augmentant la lutte unie des forces progressistes, révolutionnaires et patriotes, contre la Loi Anti-terroriste, défendre activement les positions révolutionnaires et socialistes, qui sont dans la mire de l'attaque physique et idéologique avec l'objectif de les liquider, refuser la terreur de l'Etat, basé sur la Loi Anti-terroriste qu'a pour objectif de liquider le mouvement national kurde et le mouvement révolutionnaire, et empêcher les nouvelles attaques possibles, et vaincra aussi dans le sens physique, en obtenant l'objectif de la liberté des prisonniers.
Les objectifs idéologiques du régime fasciste ont échoué dès les premiers jours, ne donnant aucun pas en arrière, en continuant à marcher dans la même ligne que nous avons cumulée en 12 années et en donnant l'exemple des premiers à organiser une lutte unifiée.
Les premières réponses des organisations des masses qui ont été agressées, sont importantes et donnent une piste sur les affrontements à venir.
Les battues, arrestations et emprisonnements contre le journal ATLIM, ont été répondues avec la solidarité des intellectuels, écrivains, les revues et les journaux révolutionnaires et progressistes qui augmentent chaque jour et s'est formé une position de lutte unie, contre l'agression fasciste, basée dans la Loi Anti-terroriste, contre la presse adversaire autour du journal.
La ESP a répondu aux attaques basées sur la Loi Anti-terroriste, en lançant une campagne politique « Nous voulons liberté ». L'objectif de l'attaque était de la marginaliser et l'isoler des masses travailleuses, dont leurs problèmes sont défendus par la ESP, et qu'elle représente, rompre sa légitimité aux yeux de la classe ouvrière, les travailleurs et l'opinion publique démocratique et révolutionnaire, la légitimité conquise à travers sa lutte de 3 années autour de beaucoup des thèmes sociaux, tels que l'occupation d'Irak, l'envoi des troupes au Liban, les démolitions des maisons dans les quartiers ouvriers, les lois du travail que nous appelons « les lois d'esclavage » et de la refuser de la première file de la lutte sociale, où a été toujours été depuis sa fondation.
D'autre part, l'objectif de la ESP devant les attaques, a été de se maintenir dans ses positions dans la ligne des masses et amplifier son domaine d'action en défendant la demande de « liberté » des masses opprimées et exploitées et de la canaliser contre ces mêmes attaques. La ESP ne prends pas sa légitimité des lois de la dictature fasciste, mais que la prise de sa lutte dans la ligne de « lutte légitime de facto et (que crée des positions de facto -n.t.)» que la défend dans la même ligne.
La campagne « Nous voulons liberté », continue avec force, le journal ATILIM se trouve avec les masses dans les rues, maisons, quartiers et usines sous la consigne : « Plus d'ATILIM partout », la consigne « Nous voulons liberté », s'étend de main en main, de langue en langue, avec les panneaux, volants et consignes criées ; beaucoup d'actions des rue dans beaucoup des villes chaque jour,, avec le soutient de beaucoup des groupes progressistes et révolutionnaires ; les intellectuels, écrivains, syndicats participent dans cette lutte, à travers divers méthodes de lutte, un reflet et une lutte unie à la dimension que n'a pas été obtenue les jours quand la Loi Anti-terroriste était discutée au Congrès, grandit devant les attaques.
« L'objectif » sale (les attaques mentionnées ont été menés à bout dans le contexte de l'appelée « Opération d'Objectif », contre notre parti, n.t.) de la dictature a commencé à être inefficace et sa conspiration à échouer.

 

 

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Notre parti a compris cette attaque exactement avec ses objectifs et caractères politiques et les réponds de la même manière. Notre parti continue à développer sa lutte avec la détermination de décaper cette attaque et de prendre la première joie de victoire sur la dictature fasciste colonialiste.
De plus, celui-ci n'est pas la première attaque contre notre parti, de la dictature fasciste colonialiste, que leur explose dans les mains. Et, nous avons cumulée des nombreuses expériences dans notre histoire, dans ce contexte.
Nous avons pris les attaques passées du régime fasciste contre notre parti et d'autres forces révolutionnaires, pas comme une affaire de vengeance entre le régime et nous, mais comme des attaques contre l'espoir et la lutte de la classe ouvrière et des masses travailleuses, et nous l'avons répondu de la même manière. Cette dernière attaque a été répondue aussi de la même manière. Dans la période après la fondation de notre parti, devant le soulèvement de Gazi, en 1995, lequel a été répondu dans la ligne de devenir un parti dirigeant et qui a été conduit par notre parti, ont séquestré et fait disparaître notre camarade Hasan Ocak, comme une vengeance et menace contre notre parti. Le résultat a été exactement une défaite politique pour eux-mêmes. Devant cette attaque, notre parti a converti la haine cumulée contre des centaines des disparitions forcées et des exécutions extrajudiciaires en Turquie et au Kurdistan du Nord, dans une lutte sous la forme d'une campagne politique. Le corps de Hasan a été retrouvé. Une position de lutte contre la torture et les disparitions forcées a été gagnée, laquelle s'est maintenue pendant des années. L'Etat a été surpris in fragrant et a été dénoncé. La torture d'abus et viols en détention est devenu un instrument pour dénoncer le régime fasciste. Les complots de l'état pour cataloguer les révolutionnaires et communistes comme des terroristes, détentions et emprisonnements ont été démasqués. Les attaques de la dictature fasciste a été un tremplin pour faire la classe ouvrière et les travailleurs comprendre le caractère du régime et les mobiliser à la lutte, ainsi que pour augmenter les luttes, pas seulement entre les révolutionnaires et l'état, mais entre les masses ouvrières et travailleuses et l'état conduite par les forces révolutionnaires.
Nous répondons et répondrons à cette dernière attaque, aussi dans cette ligne, avec le cumul de notre lutte depuis 12 ans, et de l'orientation après notre 3ème Congrès.
Ce qui est arrivé est une agression idéologique contre l'idée de la « lutte révolutionnaires en base à la violence armée en dehors des limites du système, non ? Alors nous allons utiliser les attaques pour parfaire notre marche dans cette même ligne et nous allons utiliser la violence révolutionnaire pour refouler ces attaques.
Les attaques sont une partie de l'affront contre le mouvement révolutionnaire et le mouvement national kurde, non ? Alors, nous allons convertir l'attaque dans un instrument pour augmenter la résistance unie contre la Loi Antiterroriste qu'a été approuvée avec ce but et pour consolider l'union et la solidarité entre les forces révolutionnaires et progressistes et du mouvement national kurde ; et nous allons convertir cette poussée en un instrument pour refouler les attaques.
C'est une tentative de la dictature fasciste pour rompre notre ligne de masses et notre volonté de mobiliser la classe ouvrière et les opprimés sur la base de leurs principaux problèmes, non ? Alors, nous augmenterons la lutte des masses contre la Loi Anti-terroriste et les attaques fascistes et nous ferons des nos liens profonds avec les masses, un instruments pour refouler ces attaques.
En somme, notre lutte contre les attaques sera menée à bout sur la base de la mobilisation des masses. L'objectif de la lutte sera de rendre la Loi Anti-terroriste inefficace et de l'envoyer à la poubelle en augmentant la lutte unie des forces progressistes, révolutionnaires et patriotes, contre la Loi Anti-terroriste, défendre activement les positions révolutionnaires et socialistes, qui sont dans la mire de l'attaque physique et idéologique avec l'objectif de les liquider, refuser la terreur de l'Etat, basé sur la Loi Anti-terroriste qu'a pour objectif de liquider le mouvement national kurde et le mouvement révolutionnaire, et empêcher les nouvelles attaques possibles, et vaincra aussi dans le sens physique, en obtenant l'objectif de la liberté des prisonniers.
Les objectifs idéologiques du régime fasciste ont échoué dès les premiers jours, ne donnant aucun pas en arrière, en continuant à marcher dans la même ligne que nous avons cumulée en 12 années et en donnant l'exemple des premiers à organiser une lutte unifiée.
Les premières réponses des organisations des masses qui ont été agressées, sont importantes et donnent une piste sur les affrontements à venir.
Les battues, arrestations et emprisonnements contre le journal ATLIM, ont été répondues avec la solidarité des intellectuels, écrivains, les revues et les journaux révolutionnaires et progressistes qui augmentent chaque jour et s'est formé une position de lutte unie, contre l'agression fasciste, basée dans la Loi Anti-terroriste, contre la presse adversaire autour du journal.
La ESP a répondu aux attaques basées sur la Loi Anti-terroriste, en lançant une campagne politique « Nous voulons liberté ». L'objectif de l'attaque était de la marginaliser et l'isoler des masses travailleuses, dont leurs problèmes sont défendus par la ESP, et qu'elle représente, rompre sa légitimité aux yeux de la classe ouvrière, les travailleurs et l'opinion publique démocratique et révolutionnaire, la légitimité conquise à travers sa lutte de 3 années autour de beaucoup des thèmes sociaux, tels que l'occupation d'Irak, l'envoi des troupes au Liban, les démolitions des maisons dans les quartiers ouvriers, les lois du travail que nous appelons « les lois d'esclavage » et de la refuser de la première file de la lutte sociale, où a été toujours été depuis sa fondation.
D'autre part, l'objectif de la ESP devant les attaques, a été de se maintenir dans ses positions dans la ligne des masses et amplifier son domaine d'action en défendant la demande de « liberté » des masses opprimées et exploitées et de la canaliser contre ces mêmes attaques. La ESP ne prends pas sa légitimité des lois de la dictature fasciste, mais que la prise de sa lutte dans la ligne de « lutte légitime de facto et (que crée des positions de facto -n.t.)» que la défend dans la même ligne.
La campagne « Nous voulons liberté », continue avec force, le journal ATILIM se trouve avec les masses dans les rues, maisons, quartiers et usines sous la consigne : « Plus d'ATILIM partout », la consigne « Nous voulons liberté », s'étend de main en main, de langue en langue, avec les panneaux, volants et consignes criées ; beaucoup d'actions des rue dans beaucoup des villes chaque jour,, avec le soutient de beaucoup des groupes progressistes et révolutionnaires ; les intellectuels, écrivains, syndicats participent dans cette lutte, à travers divers méthodes de lutte, un reflet et une lutte unie à la dimension que n'a pas été obtenue les jours quand la Loi Anti-terroriste était discutée au Congrès, grandit devant les attaques.
« L'objectif » sale (les attaques mentionnées ont été menés à bout dans le contexte de l'appelée « Opération d'Objectif », contre notre parti, n.t.) de la dictature a commencé à être inefficace et sa conspiration à échouer.