Les élections générales de 2007 et les opportunités révolutionnaires
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La polarisation du conflit entre l'armée turque et l'AKP - Parti du Gouvernement- autour des élections présidentielles qui est presque arrivée au niveau d'une crise du régime s'est conclue avec le fait que le parlement actuel s'est rendu inefficace et par une prise de l'initiative de la part de l'armée. Site à ceci, le parlement a du décider des élections générales avancées du 22 juillet 2007.
Après la décision des élections générales avancées, l'armée s'est efforcée en réduire et limiter la force de l'AKP en obligeant les partis bourgeois de droite et de la nommée gauche, à se réorganiser dans la ligne du DYP-ANAP et du HP-DSP et en consolidant le CHP d'un coté. D'un autre coté, continue avec beaucoup d'efforts dans ses tentatives pour empêcher que les représentants du peuple kurde et les forces démocratiques et révolutionnaires gagnent des espaces au parlement. Le système électoral contient un quota de 10% des votes au niveau de la Turquie et du Kurdistan du Nord, afin de maintenir les représentants du peuple kurde et des groupes révolutionnaires et démocratiques en dehors du parlement. Dans le passé, l'Etat bourgeois turc a réussi à empêcher que les représentants du peuple kurde, lesquels avaient gagné 2 millions de votes dans les élections, s'unissent dans le parlement.
Le DTP (Parti pour la Société Démocratique), un des représentants du peuple kurde, a décidé de participer dans les élections à travers des candidats indépendants, au lieu de le faire au nom du parti, à cause du quota de 10%. Suite à ceci, l'Etat bourgeois turc avec son armée, son gouvernement et avec l'opposition a pris des mesures pour exclure ses candidats indépendants et les forces révolutionnaires et démocratiques. Une des premières mesures a été la décision que les noms des candidats indépendants seraient écrits dans le suffrage commun. Autres pas étaient l'exclusion de ceux qu'avaient été jugés et condamnés pour un tribunal dans le passé, les détentions et la répression, et « l'état de siège » de facto dans quelques régions du Kurdistan du Nord.
Les efforts consentis avant pour former un front antifasciste et anti-chauviniste, composé de l'opposition évolutionnaire et démocratique, et du mouvement national kurde, contre le front militaire fasciste mené par l'armée et contre l'AKP islamiste, ont été accueillis avec une grande sympathie par les amples masses au début du processus, après la décision des élections avancées. Des appels ont été lancés pour former un « Bloc des candidats indépendants », comme le troisième front, avec les signatures de dizaines des milliers des personnes, menés par les intellectuels, et à travers des réunions massives dans les grandes villes. Malheureusement, il n'a pas été possible de réaliser une intervention unie dans les élections suite au fait que quelques forces du processus, pour former le front contre les dominants, le mouvement national kurde en premier lieu, considèrent le processus électoral seulement avec la perspective de gagner des espaces au parlement et excluent les communistes et les socialistes de leurs plans et de leurs tactiques. D'autre part, les communistes ont signalé qu'un tel front pourrait être crée principalement dans les rues. Les communistes accentuent que les affrontements décisifs ne se produiront pas dans les boîtes de suffrages, mais dans les rues, pendant une telle période, dans laquelle la dictature fasciste appelle des millions de personnes dans les rues, pour écraser le mouvement national kurde et les forces révolutionnaires, et essaye d'organiser les masses à travers des actions des rues, basées sur le chauvinisme et la réaction. Les communistes expriment que les forces progressistes, révolutionnaires et communistes doivent conquérir les rues et développer la lutte militante des masses contre les provocations chauvinistes de la dictature pour gagner le processus électoral du 22 juillet.
Du au processus mentionné, la Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), une des forces principales de la période pour construire un front, a décidé d'organiser sont travail pour le processus électoral autour de ses propres candidats socialistes indépendants. A ouvert des bureaux électoraux dans les villes où participent dans les élections, à travers des candidats socialistes indépendants. D'un autre coté, a décidé de soutenir les candidats indépendants du DTP au Kurdistan, au lieu de nommer ses propres candidats, afin de défendre le peuple kurde et augmenter la fraternité contre la répression, la propagande chauviniste et les tentatives racistes de lynchage organisés par la dictature fasciste pour exclure les candidats du peuple kurde.
Les communistes agissent avec la perspective d'utiliser le processus électoral, qui est une période pendant lequel les masses montrent plus d'intérêt par la politique, d'une manière plus effective pour le travail révolutionnaire.
Pendant sa campagne électorale, les communistes hissent le drapeau de l'égalité et de la fraternité des peuples contre le racisme et le nationalisme, de la liberté de la classe ouvrière et des travailleurs, de l'expression, l'action et l'organisation, de la formation de la résistance populaire unie contre les attaques néolibéraux, qui trainent la classe ouvrière et les masses travailleuses à la faim, au chômage et à la pauvreté, de mettre fin à la dépendance à l'impérialisme, l'annulation des relations avec toutes les organisations impérialistes telles que le FMI, La Banque Mondiale, l'OTAN e l'U.E., et l'annulation de toutes les dettes extérieures. Pendant cette période, les communistes lèvent aussi les thèmes de la liberté, de l'égalité des peuples, de la révolution et du socialisme dans les quartiers ouvriers et dans les zones de production, arrivent à des millions d'ouvriers et des travailleurs, et augmentent leur espoir pour un monde sans exploitation et sans oppression. Organisent leur travail électoral d'une manière planifiée et disciplinée avec l'esprit de toucher des amples masses et de les éclairer, de leur donner la conscience et de les organiser pour la révolution et le socialisme. En déchiffrant l'état, les partis, le parlement et l'armée bourgeois, à travers son travail électoral, montrent à la classe ouvrière et aux mases travailleuses que doivent se retourner contre le système bourgeois et donner la face à la révolution et au socialisme pour l'émancipation. Les communistes mènent la campagne électorale avec la perspective de canaliser les masses à s'organiser pour la révolution. Le travail électoral inclus aussi l'organisation du mouvement et de la lutte des masses dans les rues, contre les plans d'une guerre civile réactionnaire et les attaques du fascisme.
Pour résumer, la campagne électorale des communistes est menée dans le contexte du thème suivant : Contre le capitalisme, l'impérialisme, le fascisme, le chauvinisme, les putschistes et les patrons, la seule voie est la révolution, la seule solution est le socialisme.

 

 

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Après la décision des élections générales avancées, l'armée s'est efforcée en réduire et limiter la force de l'AKP en obligeant les partis bourgeois de droite et de la nommée gauche, à se réorganiser dans la ligne du DYP-ANAP et du HP-DSP et en consolidant le CHP d'un coté. D'un autre coté, continue avec beaucoup d'efforts dans ses tentatives pour empêcher que les représentants du peuple kurde et les forces démocratiques et révolutionnaires gagnent des espaces au parlement. Le système électoral contient un quota de 10% des votes au niveau de la Turquie et du Kurdistan du Nord, afin de maintenir les représentants du peuple kurde et des groupes révolutionnaires et démocratiques en dehors du parlement. Dans le passé, l'Etat bourgeois turc a réussi à empêcher que les représentants du peuple kurde, lesquels avaient gagné 2 millions de votes dans les élections, s'unissent dans le parlement.
Le DTP (Parti pour la Société Démocratique), un des représentants du peuple kurde, a décidé de participer dans les élections à travers des candidats indépendants, au lieu de le faire au nom du parti, à cause du quota de 10%. Suite à ceci, l'Etat bourgeois turc avec son armée, son gouvernement et avec l'opposition a pris des mesures pour exclure ses candidats indépendants et les forces révolutionnaires et démocratiques. Une des premières mesures a été la décision que les noms des candidats indépendants seraient écrits dans le suffrage commun. Autres pas étaient l'exclusion de ceux qu'avaient été jugés et condamnés pour un tribunal dans le passé, les détentions et la répression, et « l'état de siège » de facto dans quelques régions du Kurdistan du Nord.
Les efforts consentis avant pour former un front antifasciste et anti-chauviniste, composé de l'opposition évolutionnaire et démocratique, et du mouvement national kurde, contre le front militaire fasciste mené par l'armée et contre l'AKP islamiste, ont été accueillis avec une grande sympathie par les amples masses au début du processus, après la décision des élections avancées. Des appels ont été lancés pour former un « Bloc des candidats indépendants », comme le troisième front, avec les signatures de dizaines des milliers des personnes, menés par les intellectuels, et à travers des réunions massives dans les grandes villes. Malheureusement, il n'a pas été possible de réaliser une intervention unie dans les élections suite au fait que quelques forces du processus, pour former le front contre les dominants, le mouvement national kurde en premier lieu, considèrent le processus électoral seulement avec la perspective de gagner des espaces au parlement et excluent les communistes et les socialistes de leurs plans et de leurs tactiques. D'autre part, les communistes ont signalé qu'un tel front pourrait être crée principalement dans les rues. Les communistes accentuent que les affrontements décisifs ne se produiront pas dans les boîtes de suffrages, mais dans les rues, pendant une telle période, dans laquelle la dictature fasciste appelle des millions de personnes dans les rues, pour écraser le mouvement national kurde et les forces révolutionnaires, et essaye d'organiser les masses à travers des actions des rues, basées sur le chauvinisme et la réaction. Les communistes expriment que les forces progressistes, révolutionnaires et communistes doivent conquérir les rues et développer la lutte militante des masses contre les provocations chauvinistes de la dictature pour gagner le processus électoral du 22 juillet.
Du au processus mentionné, la Plateforme Socialiste des Opprimés (ESP), une des forces principales de la période pour construire un front, a décidé d'organiser sont travail pour le processus électoral autour de ses propres candidats socialistes indépendants. A ouvert des bureaux électoraux dans les villes où participent dans les élections, à travers des candidats socialistes indépendants. D'un autre coté, a décidé de soutenir les candidats indépendants du DTP au Kurdistan, au lieu de nommer ses propres candidats, afin de défendre le peuple kurde et augmenter la fraternité contre la répression, la propagande chauviniste et les tentatives racistes de lynchage organisés par la dictature fasciste pour exclure les candidats du peuple kurde.
Les communistes agissent avec la perspective d'utiliser le processus électoral, qui est une période pendant lequel les masses montrent plus d'intérêt par la politique, d'une manière plus effective pour le travail révolutionnaire.
Pendant sa campagne électorale, les communistes hissent le drapeau de l'égalité et de la fraternité des peuples contre le racisme et le nationalisme, de la liberté de la classe ouvrière et des travailleurs, de l'expression, l'action et l'organisation, de la formation de la résistance populaire unie contre les attaques néolibéraux, qui trainent la classe ouvrière et les masses travailleuses à la faim, au chômage et à la pauvreté, de mettre fin à la dépendance à l'impérialisme, l'annulation des relations avec toutes les organisations impérialistes telles que le FMI, La Banque Mondiale, l'OTAN e l'U.E., et l'annulation de toutes les dettes extérieures. Pendant cette période, les communistes lèvent aussi les thèmes de la liberté, de l'égalité des peuples, de la révolution et du socialisme dans les quartiers ouvriers et dans les zones de production, arrivent à des millions d'ouvriers et des travailleurs, et augmentent leur espoir pour un monde sans exploitation et sans oppression. Organisent leur travail électoral d'une manière planifiée et disciplinée avec l'esprit de toucher des amples masses et de les éclairer, de leur donner la conscience et de les organiser pour la révolution et le socialisme. En déchiffrant l'état, les partis, le parlement et l'armée bourgeois, à travers son travail électoral, montrent à la classe ouvrière et aux mases travailleuses que doivent se retourner contre le système bourgeois et donner la face à la révolution et au socialisme pour l'émancipation. Les communistes mènent la campagne électorale avec la perspective de canaliser les masses à s'organiser pour la révolution. Le travail électoral inclus aussi l'organisation du mouvement et de la lutte des masses dans les rues, contre les plans d'une guerre civile réactionnaire et les attaques du fascisme.
Pour résumer, la campagne électorale des communistes est menée dans le contexte du thème suivant : Contre le capitalisme, l'impérialisme, le fascisme, le chauvinisme, les putschistes et les patrons, la seule voie est la révolution, la seule solution est le socialisme.